Copyright: Laurent Taudin www.unsitesurinternet.fr Le livret A ne rapportera bientôt plus que 1,75%, la bourse piétine, l'immobilier fléchit... le seul moyen de gagner à coup sûr reste finalement la défiscalisation. Grâce aux carottes fiscales, l'épargnant sait par avance combien il va gagner sans prendre - la plupart du temps - de risques inconsidérés. Seulement voilà, il devient de plus en plus difficile de se repérer dans le labyrinthe des produits de défiscalisation. Entre l'apparition d'un plafonnement global, égal à 25.000 euros plus 10% des revenus, le maintien du bouclier fiscal et les plafonds propres à chaque niche fiscale (lois Girardin, Malraux, Tepa...), il y a de quoi décourager les contribuables les plus imposés. Notre dossier vous permettra d'y voir plus clair. Chaque plafond est détaillé et nos experts vous apporteront leurs conseils pour optimiser au mieux vos produits de défiscalisation. Nous avons décortiqué tout spécialement la loi Tepa, encore récente, qui permet de déduire de son ISF 50 ou 75% des sommes investies dans une PME. Le principal enseignement de notre enquête ? Il n'y a pas de quoi s'affoler : le plafonnement global n'intervient qu'à partir de niveaux relativement élevés. Notre expert de BNP Paribas Banque privée a calculé le seuil de revenus annuels à partir duquel il est susceptible d'empêcher d'effacer la totalité de son impôt. Résultats? Ce "point mort" est de : 125.000 euros pour un célibataire 167.000 euros pour un couple marié ou pacsé 174.000 euros pour un couple marié avec 1 enfant 182.000 euros pour un couple marié avec 2 enfants 198.000 euros pour un couple marié avec 3 enfants Pour accéder aux articles de notre dossier, cliquez sur les liens ci-dessous.

latribune.fr

27 Juin 2009, 3:35

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