Grèce : que veut l'Allemagne ?

Le refus par Berlin des propositions grecques soulève cette question : pourquoi ? Revue des objectifs du gouvernement allemand dans cette partie de bras de fer...
Le ministre fédéral allemand des Finances, Wolfgang Schäuble, est inflexible. Pourquoi ?

Avant la réunion de l'Eurogroupe de ce vendredi, une question surgit irrémédiablement dans tous les esprits : que cherche l'Allemagne ? Le refus du compromis proposé par Athènes l'amène nécessairement. Aussi faut-il tenter d'y répondre.

L'objectif financier

La première hypothèse est celle des pertes financières. C'est la thèse utilisée la plus souvent, celle du « contribuable allemand. » Bild Zeitung, en début de semaine, titrait sur la perte des « 65 milliards d'euro » d'exposition de l'Etat allemand à la dette grecque. En France, on s'émeut régulièrement du « coût de l'annulation de la dette grecque. » Au-delà des polémiques sur ce coût, cette défense semble irrecevable. Syriza n'avait jamais réclamé d'annulation totale et le gouvernement Tsipras a renoncé à l'objectif d'un « haircut » (coupe dans le stock de dettes). Dans la lettre transmise hier à Jeroen Dijsselbloem, Yanis Varoufakis a souligné l'engagement d'Athènes à reconnaître ses engagements. Ceci n'exclut pas des aménagements dont Athènes veut parler pendant les six mois de prolongation de l'aide et qui seront, in fine, peu coûteux pour un contribuable allemand et qui toucheront sans doute quelques points de base d'intérêt en moins et un remboursement plus lissé. Mais n'oublions pas qu'aujourd'hui, la dette grecque au FESF doit déjà n'être remboursée intégralement qu'en 2056, celle aux Etats membres en 2041... Bref, le contribuable allemand n'y verra que du feu.

Un coût minime

Certes, il faudra faire un nouveau chèque à Athènes, sans doute une dizaine de milliards d'euros. Mais Yanis Varoufakis a été le premier à mettre en évidence l'absurdité d'une nouvelle dette européenne afin de rembourser les échéances de... la BCE. Ici, l'Allemagne est victime de ses principes. Si la BCE acceptait de repousser ce remboursement de 6,7 milliards d'euros prévus cet été, comme elle l'a fait en février 2013 pour l'Irlande, le chèque serait moindre. Et le risque équivalent. Enfin, ce chèque représente une dette indirecte, portée soit par le FESF, coquille vide représentant les Etats, soit par le MES, institution européenne. Dans les deux cas, le contribuable allemand garantit évidemment cette somme, mais ne contracte pas directement la dette. Il faudra un défaut pour qu'il paie (via la contraction d'une nouvelle dette). Enfin, la part allemande dans cette somme sera de 2,7 milliards d'euros, soit 1,3 % de la dette publique allemande. Un effort très supportable pour le pays. Et, rappelons-le, indolore compte tenu de la croissance des recettes fiscales allemandes et de celles des revenus des ménages, le tout s'appuyant sur un excédent courant qui ne se réduit pas et, qui, rappelons-le, n'est pas sans rapport avec la crise que vit la zone euro aujourd'hui.

Craindre moins les contribuables que les électeurs

Bref, si Berlin décidait d'accepter les conditions grecques, les contribuables allemands n'en seront pas moins pauvres ce week-end. Sauf que, évidemment, des forces politiques nouvelles ont émergé qui mettront l'accent sur ce nouvel engagement. Les Eurosceptiques d'Alternative für Deutschland (AfD), y verront un moyen de reprendre du poil de la bête sur le plan électoral, sans doute encore les Libéraux de la FDP. Bref, plus que les contribuables, c'est bien plutôt les électeurs que le gouvernement fédéral allemand cherche à ménager.

L'objectif de principe : le respect des « règles. »

Deuxième position : celui des principes. Dans son refus de la lettre grecque formulé jeudi 19 février au soir et rendus publics par plusieurs sources, on remarque l'utilisation à six reprises du terme « programme actuel » (« current programme »). La question est, pour le gouvernement fédéral, d'obtenir la réalisation et l'application de ce « programme. » On connaît l'argument : il y a des règles, il faut les respecter. Ceci est, cependant, un faux problème. Ce fameux « programme » a déjà été modifié à plusieurs reprises, et de façon substantielle, puisqu'il reposait sur des hypothèses économiques absurdes en termes d'effet des mesures d'austérité sur la croissance. En novembre 2012, on a donc revu de fond en comble le programme de mars 2012. Mieux même, ce programme de mars 2012 annulait en fait un précédent programme, établi en 2010, et qui avait si bien échoué qu'on avait dû procéder à la restructuration de la dette privée.

En réalité, dans une négociation entre créanciers et débiteurs, les « règles » sont fort mouvantes et dépendent de la situation du débiteur. Rien n'est moins commun que la révision des conditions de remboursement et des programmes qui les accompagnent. L'histoire des dettes des pays en développement le prouve, celle de l'Allemagne qui a demandé régulièrement entre 1919 et 1953 des réaménagements également.

Rappelons que la Grèce n'enfreint actuellement pas davantage les traités européens que l'Allemagne. Son déficit budgétaire est revenu dans les clous de Maastricht, sa dette publique est supérieure à 60 % du PIB, comme celle de l'Allemagne, et aucune ligne des traités européens obligent les pays à respecter des règles signés entre un Etat membres et ses créanciers. Les faillites partielles de la Grèce de 2011 et 2012 le prouvent. Bref, l'argument juridique avancé sans cesse par les Allemands ne tient pas davantage que celui de la défense du contribuable.

Accepter la responsabilité du créancier

Du reste, l'argument du principe et de la morale pourrait être renversé. Rappelons que tout créancier est responsable de ses engagements et que, lorsqu'il a accordé un prêt, il doit en assumer le risque. C'est, du reste, ce qu'Angela Merkel avait affirmé en 2011 pour justifier les coupes imposés aux créanciers privés : « vous avez pris des risques, payez-en le prix. » En « sauvant » la Grèce en 2010 par une augmentation de l'exposition du contribuable allemand, Angela Merkel et Wolfgang Schäuble, ont surtout permis aux banques allemandes de vendre leurs expositions à la dette grecque. C'est un choix politique qui était risqué puisque basée sur des hypothèses de croissance erronée. Que ces erreurs fussent de bonne ou de mauvaise foi, peu importe. Le gouvernement allemand a même persévéré, l'a imposé contre la volonté du gouvernement grec de George Papandréou qui, en novembre 2011, a tenté de soumettre cette politique à référendum, l'a renouvelé en mars 2012. Bref, il y a eu prise de risque. Il est donc moralement logique qu'Angela Merkel et Wolfgang Schäuble en assument les conséquences devant leurs mandants, autrement dit le contribuable allemand. Or, leur politique est plutôt celle de la fuite en avant et de la transmission du problème du remboursement de la dette grecque, qui se représentera, aux fameuses « générations futures » qu'ils prétendent protéger...

L'objectif politique

Dernière raison : elle est politique. Dans cette affaire, l'Allemagne cherche absolument à faire un exemple. Là encore, le document de motivation du refus de la réponse grecque est sans équivoque. Elle parle de « cheval de Troie. » On peut comprendre ce terme de deux façons. La première est que la proposition grecque permet in fine au gouvernement grec de respecter certaines de ses promesses électorales dans le cadre du programme. La deuxième est que, si l'on cède, le cas grec pourrait faire école et devenir le « cheval de Troie » d'une remise en cause de l'austérité au niveau européen.

L'architecture de la zone euro

Wolfgang Schäuble est l'artisan de la nouvelle gouvernance européenne mise en place après 2011 et qui s'appuie sur les directives Two-Pack, Six-Pack, sur le semestre européen, sur le traité instaurant le pacte budgétaire. La zone euro ainsi redéfinie établit comme priorité la stabilité budgétaire. Toute remise en cause de cet ordre ainsi établi représente, du point de vue allemand, le danger d'une nouvelle crise de la dette. Il y a donc nécessité de briser dans l'œuf toute tentative de modifier cette logique. Le combat devient alors politique. Il s'agit de montrer aux électeurs des pays européens qu'il est impossible de disposer de l'euro et de mener des politiques de relance ou des politiques économiques alternatives à celles promues désormais par les structures de la zone euro.

Vider le programme politique de Syriza

Il faut donc absolument non seulement faire un exemple dans le cas grec en prouvant que ces politiques sont impossibles. Voici pourquoi les concessions grecques, qui cherchent évidemment à ménager des marges de manœuvre pour l'application du programme de Syriza, ne peuvent satisfaire Berlin. Ce qu'il faut, c'est réduire à néant ce programme. Voici la vraie raison de l'attachement allemand au « programme actuel. » Il s'agit de montrer que l'élection du 25 janvier n'a absolument rien modifié. Qu'elle est neutre et n'a pas eu d'impact. Hier, dans le texte du refus allemand, on aura ainsi pu remarquer que Berlin posait deux conditions à son feu vert : que le gouvernement grec accepte le programme actuel en reprenant in extenso trois phrases dictée par le gouvernement fédéral et que ce gouvernement renonce aux « lois votées par le parlement cette semaine » concernant les mesures sociales et la hausse du salaire minimum.

Accepter la culture de stabilité ou sortir

L'objectif principal qui semble conduire le comportement allemand est donc celui d'une réduction à néant du programme de Syriza. Ainsi, l'architecture de la zone euro ne sera plus jamais menacée. Le choix qui se dissimule derrière cette détermination est moins un déni de démocratie qu'une mise au pas de la zone euro. Le choix pour les électeurs est alors, soit de rester dans la zone euro en acceptant la « culture de stabilité allemande », soit d'en sortir pour mener d'autres expériences. C'est la raison pour laquelle le sort de la zone euro se joue ce vendredi.

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Commentaires 131
à écrit le 28/02/2015 à 11:17
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l Allemagne souhaite de se sortir de la zone euro tout simplement. La politique est un plat qui se mange surgele he he

à écrit le 23/02/2015 à 10:44
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l'allemagne veut ruiner la grece depuis plus de 100ans elle a des dettes a payer quelle n'a jamais honorer des pillages commis entre 1914 et 1918 puis entre 1939 et 1945 sans oublier les impots quelle a perlever au peuple greque il faut pour le...

le 28/02/2015 à 11:18
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allez boire un verre d eau fraiche ca ira mieux apres

à écrit le 22/02/2015 à 9:19
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L'Allemagne veux bien prêter de l'argent mais elle veux de réforme structurel dans les pays, ensuite elle ne veux pas perdre sont investissement car elle dois rendre des compte à sa population, elle veux vien aider mais elle demande des efforts, elle...

le 28/02/2015 à 11:20
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vous parlez de la France?

à écrit le 21/02/2015 à 18:08
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La richesse et le standing de vie d un pays et de ses habitants c´est le résultat de sa productivité, de son activité économique et sa capacité de créer des richesses. Certains doivent travailler dur, avoir des succès sur les marchés, optimiser ...

le 22/02/2015 à 0:13
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@papa fox Beaucoup d'inexactitudes : "La Grèce n´a ni industrie performante ni ressources naturelles" Deux erreurs en une affirmation. L'industrie grecque regroupe 20% de la main d'oeuvre (400 000 personnes en industrie et 300 000 dans le bâti...

le 22/02/2015 à 13:58
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Et Oui !! industrie = 22 % agriculture = 7 % tourisme = 12 % total = 41 % du PNB Et d ou proviennent les autres 51 % ?? Transfert et aides sociales de tout genre ?

le 22/02/2015 à 14:10
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PIB € / habitant 2013 selon Eurostat : Pays bas = 38.300 Belgique = 35.600 Allemagne = 34.200 France = 32.100 Italie = 26.700 Grece 16.500 Pays baltes= 11.800 Pologne = 10.300 Bulgarie = 5.600 Ces chiffres font quand même refléc...

le 22/02/2015 à 20:16
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@papa fox Le reste, c'est les services (71 % du PNB et 68 % de la main-d'œuvre), dont les 12% de PNB du au tourisme qui y sont inclus. Donc pour clarifier on a : secteur primaire : 7 % du PNB et 12 % de la main-d'œuvre essentiellement l'agricul...

à écrit le 21/02/2015 à 16:30
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Avec cette décision les Européens se donnent le temps de préparer le GREXIT. Grèce dans 6 mois : out Z.E. Limpide! Les Allemands en ont juste "raz-le-casque-a-pointe"

à écrit le 21/02/2015 à 15:32
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ils veulent tout simplement Deuschexit et ce n'est pas la mer à boire leurs DM sont toujours en cours et les billets sont là Ils veulent laisser la Grèce, l'Espagne ,l'Italie et la France entre eux dans la zone euro. Ho ho

à écrit le 21/02/2015 à 15:21
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Il faut aussi regarder l’Allemagne, ou plus exactement ce parti-pris qui considère la politique de Merkel-Schäuble comme le parangon de l’efficacité, dans nos têtes. La fascination morbide que l’Allemagne, dans ce qu’elle a de pire, exerce sur les él...

le 21/02/2015 à 15:34
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trop long! Et en français de tous les jours cà donne quoi exactement?

le 21/02/2015 à 15:49
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Vous résumez parfaitement la situation Tsipras demande même pas l’aumône, il demande du temps pour remettre la machine économique grec en route celle-ci ayant été fracassé par la troïka.C'est cela l'avenir des nations européennes l'austérité comme pa...

le 21/02/2015 à 17:00
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C'est bien dit, comme cette culture que l'on étale et qui colle un peu, que seuls connaissent ceux qui y ont eu accès. Sauf que ce n'est pas vrai. L'Allemagne a payé, et vous le avez Jacques, des dommages de guerre par le partage qui a été fait entre...

le 21/02/2015 à 17:38
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Ca veut dire tout simplement que l’Allemagne de Merkel et Shauble considère que le modèle allemand doit-être le modèle européen. L'ambition de l'Allemagne est de faire de la zone euro et au delà de l'Europe toute entière la zone économique la plus c...

le 21/02/2015 à 20:30
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@Corso J'avoue que là, sur cet exercice, j'ai du mal à relier les deux bouts de votre rhétorique.

le 22/02/2015 à 14:25
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@ HAROUM= Il n est pas correct de parler d un « modèle allemand » mais plutôt d un «modèle Nord Européen» puisqu´il concerne tous les pays du Nord des Alpes et de la rive Est du Rhin. L Allemagne ne voulait pas l Euro car les conséquences étai...

à écrit le 21/02/2015 à 15:00
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La question est simple pour un environnement complexe : la Grèce va t-elle pouvoir mener sa politique de redressement du pays tout en abandonnant les politiques d'austérité que les Eurocrates jugent indispensables ? Si la Gréce réussissait son pari,...

à écrit le 21/02/2015 à 14:53
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Oui il ya de grand progrés qui restent à faire de la part de nombreux concitoyens qui confondent trop souvent les gouvernements avec leur peuple ! Pour l'heure il faut que les Eurocrates l

à écrit le 21/02/2015 à 14:50
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Moi je ne suis pas compétent en économie. Je trouve juste que Schauble ressemble à Gollum dans le seigneur des anneaux. Un anneau pour les gouverner tous.

à écrit le 21/02/2015 à 11:51
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facile de critiquer les grec ce ne sont eux les responsables mais les gouvernement . eux subissent comme nous pourque mettre la population au pilori alors qu il ne sont pas responsables un architecte me disait je met mon bateau dans un port grec c...

à écrit le 21/02/2015 à 11:27
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@lionel Gilles question : pourquoi les différents gouvernements grecs depuis 10 ans n'ont pas mis en place un cadastre -des fonds européens prévus n'ont jamais été versé et pour cause question : pourquoi le clergé grec -plus grand propriétaire immo...

le 21/02/2015 à 17:53
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@jftoulousain01 question 1 : le cadastre est en progrès. Je ne sais pas à quel point. Là où j'habite je pense qu'on a dépassé les 50 % (probablement 100% pour le chef-lieu de 10.000 habitants). Mais je me renseignerai plus précisement, pour ne pas a...

à écrit le 21/02/2015 à 10:34
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6 – D'autres questions ? Oui, une tout petite : où sont passés les 380 milliards d´aide versés à la Grèce ???

le 21/02/2015 à 13:11
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Aux banques essentiellement, et retour à l'Europe pour rachat de Dettes.

le 21/02/2015 à 16:47
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Il s'agissait de sauver l'Euro à tout prix. Que l'économie grecque s'effondre en conséquence, c'était un événement dommageable mais réellement secondaire pour la Troïka.

à écrit le 20/02/2015 à 20:17
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Je crois que Godin n'a pas lu le rapport de la Troika. Que contient-il ? Pourquoi Varouphakis et Tsipras veulent s'affranchir de ces comptes ? Que demontre t'il ? Schauble et les autres connaissent, eux, ce rapport..

à écrit le 20/02/2015 à 19:41
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Alors on récapitule : 1- Les Grecs ne travaillent pas, attendent que les olives tombent des arbres et ne vivent que du tourisme Non, l'industrie (16%) pèse plus que le l'agriculture (3,4%) dans le PIB grec (source Wikipedia English : Economy of ...

le 20/02/2015 à 20:21
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Clair, net et précis !

le 20/02/2015 à 20:54
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Ca fait du bien, de temps en temps !

le 21/02/2015 à 8:57
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arrêtez votre baratin pro grec, la grèce n'a aucune industrie et c'est un pays pauvre miséreux, y a rien. Ils importent tout, surtout leurs armes :sous marins, chars, acheté pour des milliards d'euros à l'allemagne pour jouer aux soldats face aux voi...

le 21/02/2015 à 10:31
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..300.000 dans les mines, le bâtiment et les carrières. Les labos pharmaceutiques arrivent en 2e position du secteur industriel ! Ces chiffres ne sont pas crédibles et ne manquent pas de ridicule . Qui les a inventés ??

le 21/02/2015 à 19:08
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@Papa Fox Mille excuses, il faut lire : 300 000 dans la construction et 14.000 dans les mines (charbon, aluminium, etc.). 50 coups de fouet pour moi-même :) Les cimenteries doivent être englobees dans la construction, tandis que les carrières (béto...

le 22/02/2015 à 20:35
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@blabl arrêtez de propager des clichés, SVP. Voici les exportations de la Grèce (année 2012, source Wikipedia English) : produits pétroliers raffinés ou dérivés, 38,88%, aluminium et dérivés 4,38%; équipements électriques et électroniques 3...

à écrit le 20/02/2015 à 18:55
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En tout cas, ce qu'elle ne veut pas, c'est que les Grecs recommencent leur gabegie et leurs fraudes sur le dos des créanciers en utilisant des clauses floues sur la soi-disant "flexibilité". Ce n'est pas compliqué à comprendre.Et l'arrogance des diri...

le 20/02/2015 à 19:34
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Mais ce sont précisément ces prédécesseurs de la Nouvelle Démocratie, si appréciés par la Troïka, et qui, au Parlement européen, sont dans le même groupe que la CDU et l'UMP, qui ont pratiqué gabegie et fraude, non pas au profit des Grecs en général ...

le 20/02/2015 à 20:27
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En quoi sont-ils liés par leurs prédécesseurs ? Ils ont été élu sur un programme opposé à leurs prédécesseurs, justement, ce n'est pas pour continuer sur la même voie alors que les électeurs leur ont donné le mandat de cesser cette mise au pas.

à écrit le 20/02/2015 à 18:17
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Hollande a rappelé que le Monde était dangereux. Il est conscient que les conflits entre Etats peuvent éclater à tout moment. Qu'il dise que la dissuasion nucléaire Française est un garantie et qu'il continue à moderniser l'arsenal nucléaire est rass...

à écrit le 20/02/2015 à 18:01
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Ce que veut l'allemagne? Tout d abord l allemagne n est pas Merkel et n est pas Schaueble. Un peu comme la france, les allemands ont elu des politi

à écrit le 20/02/2015 à 17:47
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ouais, je me dis qu'un gros coup est possible (un plus gros encore), mais bon ya des péteux, à commencer par M.... et H....qui rentrent d'Ukraine, ils tremblent, et puis y a le feu au Proche et au Moyen Orient, et puis en Libye et puis en Afrique...A...

à écrit le 20/02/2015 à 17:41
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C'est un peu comme faire avancer un prisonnier devant soi pour se garantir des mines cachées. L'Allemagne va tester avec la Grèce la sortie de l'euro et si l'exemple donne des résultats acceptables, elle sortira elle-même, vu qu'elle n'a plus grand-c...

le 20/02/2015 à 17:48
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comme idée j'y avais pas pensé, faut que j'y réfléchisse à fond.

à écrit le 20/02/2015 à 17:26
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si vous voulez arrêter le processus de destruction de l'industrie en France imposé et voulu par l'Allemagne, il faut boycotter les produits allemands. Ces produits sont identifiables grâce au code-barres. 400 à 440. Vive la France!

le 20/02/2015 à 18:06
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Nous boycottons, nous boycottons à tour de bras leurs piètres autos et leurs mauvaises bières. ... Nous achetons seulement français et italien, tellemnt meilleur, tellement plus sûr..

à écrit le 20/02/2015 à 17:24
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Je viens de lire dans un journal que "Les membres plus pauvres de la zone euro ne veulent pas financer la Grèce". Ca semble mal barre pour vos amis trotckystes d´Athenes. Mais, il y a l´espoir. C´est vous! Je vous suggere Mr. Godin, de foncder une ...

le 20/02/2015 à 20:15
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Mais personne ne demande aux pauvres de financer la Grèce. Syriza non plus. Il n'y a que dans votre morale de banquier qu'on voit ce type de scénario.

le 20/02/2015 à 21:30
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Analyse solidement argumentée, d'une admirable profondeur et d'une rare subtilité. On ne peut rien ajouter (même pas le nom du "Turck" inconnu), si ce n'est une nuance consolante : il n'y a pas que des trotskistes, car l'on sait de source sûre que M...

à écrit le 20/02/2015 à 17:21
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Que veut l'Allemagne ? Toujours la meme chose exterminer tous ceux qui ne lui ressemble pas

le 20/02/2015 à 18:08
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Heu.. C'est l'Allemagne qui a imposé l'euro ? Non ! C'est la France. On lui a forcé la main et pour qu'elle accepte, on lui a laissé le choix d'imposer ses conditions qui, on le savait, ne pouvait être autre chose que la stabilité monétaire. La Franc...

le 20/02/2015 à 19:18
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"Point barre" mais pour qui vous prenez vous TC la terreur? Un grand ami de la commission ou un représentant?

à écrit le 20/02/2015 à 17:11
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Inflexible ? Il y aura-t-il un jour un procès de Nuremberg pour crimes économiques contre l'Humanité , dont ce monsieur est complice ? Combien de suicides , de deséspérances , de pauvretés ?

à écrit le 20/02/2015 à 16:48
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La monnaie de singe par laquelle la Grèce tente d'arracher des faveurs comme si elles lui étaient dues est inadmissible et on comprend Schaüble de le sous-entendre. Les leçons quotidiennes de Romaric Godin sont admirables par la somme de travail qu'e...

à écrit le 20/02/2015 à 16:47
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le gouvernement allemand, veut peut être revenir au mark alors partons tous du navire tant qu'il a des chaloupes

à écrit le 20/02/2015 à 16:45
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les allemands c'est leur caractère et leur défaut: carrés mais psycho-rigides, faire en sorte de gagner la première manche par ko . Bon on les changera pas....mais pépère il nous saoûle avec l'orthodoxie. Les latins n'aiment que le bazar et ça tourne...

à écrit le 20/02/2015 à 16:39
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j ai suis pour que l'Allemagne sorte de d'Eurozone Non mais ce n'est pas vrai il faut quer la Grèce le Portugal l'Espagne l'Italie et surtout sur tout la France restent dans l' Eurozone n'est ce pas ?

à écrit le 20/02/2015 à 16:25
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Il est temps pour papa Schäuble de penser à la retraite. Il est allé un tout petit peu trop loin. Tout est une question de degré, mais là il a passé la ligne. Et son heure est passée.

le 20/02/2015 à 16:50
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Tout est une question de degré, et il dépasse les bornes!

le 20/02/2015 à 22:07
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m Schaueble a raison,qui veut payer?

à écrit le 20/02/2015 à 15:58
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La vraie question est celle du pouvoir dans l'Europe, et le problème de la dette grecque est seulement l'un des signes que le fonctionnement de la zone euro et l'action de la BCE jusqu'à l'arrivée de Draghi et même après ne visent pas à assurer la pr...

le 20/02/2015 à 20:57
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Bien vu !

à écrit le 20/02/2015 à 15:54
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Les Allemands comme d'autres se sont trompés en faisant l'Europe avec des pays aussi différents économiquement. Ils ont cru que les peuples qui font la substance et la force de chaque pays allaient s'incliner sans rien dire devant la finance et les e...

le 21/02/2015 à 10:51
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Non, les Allemands ne se sont pas trompés! Au contraire, ils avaient bien anticipé ce qu allait ariver. Le problème, c est la France , ( Mitterand) qui a forcé l Allemagne a joindre et créer l Euro = chantage . C etait soit l´Euro, soit veto d...

le 21/02/2015 à 10:51
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Non, les Allemands ne se sont pas trompés! Au contraire, ils avaient bien anticipé ce qu allait ariver. Le problème, c est la France , ( Mitterand) qui a forcé l Allemagne a joindre et créer l Euro = chantage . C etait soit l´Euro, soit veto d...

à écrit le 20/02/2015 à 15:02
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comme d'autres l'ont dit récemment, ou rappelé, à l'instar de Giscard (mais il faudrait vérifier ses dires), il est clair que la Grèce n'a jamais rien eu à faire dans la zone euro, et les conditions de son entrée, le prouve, on les connait elles so...

le 20/02/2015 à 16:10
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Laissez notre passer tranquille et venons aux faits. Depuis le 25 janvier 2015, la démocratie règne à nouveau en Grèce. En 2000 l'Europe avait accepté les faux chiffres pour passer à la monnaie €, alors là déjà nous avons un problème des deux côté....

à écrit le 20/02/2015 à 14:58
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je titrerais plutot ' le refus par la grece de respecter sa parole'

le 20/02/2015 à 16:33
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Cher Churchill, ce n'est pas tout à fait comme ça, je vous invite en Grèce pour deux jours à Athènes et vous comprendrez peut-être que veut dire crise humanitaire. Au fait, Churchill d'Anglettre et pas vous avait dit lutter comme un Grec, se référant...

le 21/02/2015 à 14:48
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@Barbara: on pourarit aussi te faire visiter certains quartiers de la capitale européenne de ton choix pour te faire réaliser que la vie n'est facile pour personne...sauf que les autres paient leurs dettes. On n'invite pas au restaurant en partant sa...

à écrit le 20/02/2015 à 14:57
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que Wolfgang Schäuble arrête de déconner. Sortir maintenant la Grèce, après l'avoir quasiment fini de la couler, ce n'est pas sérieux. Ce type fait peur, il a des airs de 39-45. Je suis d'accord avec le commentaire de "labete", qu'attend donc Merkel...

le 20/02/2015 à 15:33
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100% d'accord avec vous l'Allemagne dehors de l'Eurogroupe et je dirais meme plus dehors de l'UE non mais et dégage. On ne sera aussi bien entre nous ltous es pays due l'Europe du Sud n'est ce pas?^_^

le 20/02/2015 à 16:22
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Merci, ça fait chaud au coeur de voir encore des philhellènes. Tôt ou tard la vérité éclatera car rien ne peut être caché au soleil. Il est certain que les enjeux sont énormes sur les points économique, géopolitique, sociale et politique. Quoi qu...

à écrit le 20/02/2015 à 14:18
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Il ne faut pas confondre l'Allemagne et Schauble ! c'est lui qui fout le bazar . Il faut donc le virer, le mettre en minorité ne suffira pas. Quant à Merkel, l'atlantisme outrancier qu'elle affiche l'a rend dépassée par les évènements, comme Holland...

le 20/02/2015 à 17:31
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C'est pas les Allemands qui foutent le bazar comme vous dites. C'est ceux qui ne veulent pas payer leur dette malgré toutes les concessions faites par l'europe. Rappel des 130 milliards de dette racheté à la Grèce par France Allemagne. Et le nouveau ...

le 20/02/2015 à 18:04
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@Cordialement Vous aurait-il échappé qu'une dette privée c'est pas tout à fait la même chose qu'une dette publique?

le 20/02/2015 à 18:42
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@cordialement, puisque vous donnez le judicieux conseil de "se mettre à la place de l'autre" n'hésitez pas à en faire de même et à vous mettre à la place du grecque de la rue qui n'a rien demandé à personne et qui subit les affres des magouilles fina...

à écrit le 20/02/2015 à 14:18
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Les Allemands sont de train de perdre la main haute sur l'ensemble de l'U-E, comme ils perdent déjà la main sur l'Ukraine... C'est une très bonne nouvelle, sachant que l'Allemagne est (provisoirement)une colonie américaine. Lorsque les vassaux alle...

le 20/02/2015 à 16:01
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Quel baratin

à écrit le 20/02/2015 à 14:09
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La politique Allemande envers l économie est d une simplicité biblique tout père de famille s y reconnait . Mais l économie d un pays est tout autre , il faut prévoir les redistributions pas pour alimenter les partisans du fil de l eau mais pour ense...

à écrit le 20/02/2015 à 14:01
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Au final, c'est la principale promesse faite par Syriza aux Grecs qui était illusoire: la possibilité de changer de politique tout en restant dans la zone euro. Cette impossibilité était connue bien avant le début de ces négociations. Le nouveau prem...

le 20/02/2015 à 16:45
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Cher Georges, Penses-tu pouvoir répéter les mêmes fautes dans ta vie, moi non! Si un peuple décide de changer totalement sur ses choix politiques ça prouve que quelque chose n'allait pas du tout. La terreur est horrifiante vous avez eu l'expérience...

le 20/02/2015 à 19:01
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@Barbara: les Grecs ont le droit de changer de politique et de ne plus être d'accord avec l'Europe, mais à ce moment là, il faut avoir le courage d'en sortir. Je crois plutôt que le gouvernement grec essaie de trouver des raisons de ne pas rembourser...

à écrit le 20/02/2015 à 13:34
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La morale de cette histoire qui vaut aussi pour la France: quand un état est endetté au-delà de son PIB annuel, il n'est absolument plus maitre de son destin quels que soient les souhaits des électeurs. A méditer...

le 20/02/2015 à 13:46
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Non, la Japon est maitre de son destin, la France non.

le 20/02/2015 à 14:19
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japon, pas endetté, je rigole !!

le 20/02/2015 à 16:48
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Non, sauf si vous faites les moutons. En Grèce se sont maintenant les moutons qui surveillent les loups.

le 20/02/2015 à 18:04
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Tout dépend à qui l'on emprunte ! Pour le Japon, ce sont essentiellement les Japonais qui détiennent leur dette d'où leur "insolent" taux d'endettement.

à écrit le 20/02/2015 à 13:24
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tout ces arguments sont très beaux, bien que pas vraiment argumentés. Le seul point qui blesse dans le raisonnement, c'est que ce sont les grecs qui sont demandeurs. S'ils sont si forts, si compétents pourquoi diable ont t'ils besoin des allemands ...

à écrit le 20/02/2015 à 13:24
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tout ces arguments sont très beaux, bien que pas vraiment argumentés. Le seul point qui blesse dans le raisonnement, c'est que ce sont les grecs qui sont demandeurs. S'ils sont si forts, si compétents pourquoi diable ont t'ils besoin des allemands ...

à écrit le 20/02/2015 à 13:19
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l´Allemagne , c´est du donnant-donnant ( pas de crédit sans plan de remboursement et qui engage au-delà des fluctuations gouvernementales). La Grèce c´est je veux et comme contrepartie on annule, on reporte aux calendes...grecques ! Il faut se méfier...

le 20/02/2015 à 17:02
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Il y a un moyen de faire perdre le sommeil aux créanciers, le droit légal de l'article 472 du règlement européen, un Audit afin de contrôler en quelques mois la dette qui a 80% est procédé par la troika mais de manière illégale et l'audit le prouvera...

le 22/02/2015 à 13:35
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@Barbara Veuillez m'excusez mais l'opinion de Eric Toussaint importe peu. Pour les craintes des pays créanciers: la majorité ont déjà intégré qu'ils ne verront jamais leur argent donc, il n'y a pas de problème. La crise grecque (et celle de nombreu...

à écrit le 20/02/2015 à 13:11
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Heureusement que les allemands ne vont pas céder aussi facilement que ne le feraient les français. En effet, avec 19 pays qui ont accepté des règles, il est nécessaire qu'elles soient respectées, sinon c'est la débandade. Les grecs ne peuvent imposer...

le 20/02/2015 à 17:06
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Vous jugez très facilement. Aller écoutez l'interview sur YouTube du Président de la CADTM Éric Toussaint et on en reparlera.

à écrit le 20/02/2015 à 13:09
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Culture de la stabilité ? Certes, mais uniquement sur le plan budgétaire. Pour les autres indicateurs économiques, l'Allemagne affiche une insolente et enviable prospérité. J'entends bien que l'article essaie de glisser le mot stagnation derrière le ...

à écrit le 20/02/2015 à 13:06
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"Le choix pour les électeurs est alors, soit de rester dans la zone euro en acceptant la « culture de stabilité allemande », soit d'en sortir pour mener d'autres expériences." La culture de la stabilité allemande, comme vous dites, elle a été acce...

le 20/02/2015 à 13:51
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Le contrat est arrivé en fin de cycle, il est temps d'en rédiger un nouveau.

à écrit le 20/02/2015 à 13:02
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A lire l'article il devient évident que les gouvernements grecs précédents ont tellement bien défendu les intérêts de leur peuple (prêts obtenus, reports des remboursements, différés d'amortissement, réduction du taux d'intérêt, obtentions anticipé d...

le 20/02/2015 à 17:15
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Sauf que l'article a oublié de vous dire que l'encien gouvernement pour montrer des chiffres positif, il ne remboursait pas aux contribuables ce qu'il devait car la vous voyez on ne parle que de ceux qui ne paye pas. Si le journal veut les preuves je...

à écrit le 20/02/2015 à 12:57
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Veuillez m'excuser mais je soutiens la position allemande: il serait temps que nous nous rendions compte qu'on ne peut pas dépenser plus que ce que l'on produit: c'est du bon sens. C'est valable pour notre pays aussi: il serait temps que l'on s'y met...

le 20/02/2015 à 13:14
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Je pense que l'on ne peut qu'être d'accord avec vous. Cependant, l'Allemagne ne prône pas la rigueur mais l'austérité ! Ils cherchent juste à acculer leurs adversaires au lieu de se comporter en partenaire... Ceci dit, cela fait plus de 1000 ans que ...

le 20/02/2015 à 17:19
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En fait non, je ne pense pas qu'on ne puisse qu'être d'accord. Un des problème majeurs c'est que lorsqu'on a créer l'Europe, on a empêché les Etats de gérer leur propre monnaie. Alors qu'avant un Etat pouvait emprunter de l'argent auprès de sa banqu...

le 20/02/2015 à 20:00
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@1789 (très beau pseudo) Je ne crois pas que l'Allemagne prône l'austérité sauf si vous appelez austérité "rigueur dans les comptes". Tout le monde a signé les critères de convergence (et je suppose qu'il y avait de brillants économistes et consei...

à écrit le 20/02/2015 à 12:56
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Encore une fois, c'est dans La Tribune qu'on trouve un des articles les plus intéressants de la presse française.

le 20/02/2015 à 13:11
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Vous voulez peut-être dire les plus orientés aussi ?

à écrit le 20/02/2015 à 12:51
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pourquoi parler de deni de democratie ?La decision democratique grecque appartient à son peuple mais n'oblige en rien les autres peuples européens !Il est stupefiant de voir prendre fait et cause pour des décisions unilatérales qui visent à créer ,en...

à écrit le 20/02/2015 à 12:42
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De chroniques en chroniques on voit que Mr Godin a un compte régler avec l'Allemagne, c'est clair. Cela tourne a l'obsession, ce parti pris!

le 20/02/2015 à 12:57
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Toute critique lucide de la politique allemande doit donc être radicalement censurée, bien entendu.La germamomanie n'est, elle, jamais obsessionnelle, comme vous pouvez en témoigner.

le 20/02/2015 à 13:31
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@GODIN: faut arrêter de croire que parce qu'on est pas d'accord avec toi, on est contre toi ! Les opinions des uns et des autres n'engagent qu'eux-mêmes et chacun doit réfléchir pour lui-même et non pas systématiquement contre les opinions de l'autre...

à écrit le 20/02/2015 à 12:37
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Alors, sortons!!!! de ce guêpier qu'est l'Euro et l'Europe...

le 20/02/2015 à 12:46
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L' UPR décidé tout comme vous semble t-il, vous attend, les bras ouverts... Laissez-vous aller à l'abandon de cette erreur de l'histoire qu'est l'Union européenne créée par et au seul bénéfice des us, rejoignez le camp de la nécessité argumentée de v...

à écrit le 20/02/2015 à 12:29
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Le Nein de Schäuble ecrit d ailleurs en grosses lettres noires est simple à expliquer : éviter la contagion et le chaos dans la Zone Euro si Tsipras gagne sa partie de poker. Si les 16 autres ministres cèdent a ce chantage (c est improbabl...

le 20/02/2015 à 12:42
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Sortir pour régler le problème français, c'est exactement la même chose, sortir, il n'y a plus d'autre d'alternative c'est évidement ce qu' il convient de faire, si Merkel pousse, nous sortons, Sapir a raison.

à écrit le 20/02/2015 à 12:23
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Romaric Godin n'est plus lucide dans ce dossier. il a des convictions, ce qui est bien, beaucoup en manquent, mais ne pas voir qu'en proposant de la dette perpétuelle, en croyant que dans le contexte actuel la Grèce va continuer à afficher un excéde...

le 20/02/2015 à 17:35
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Non, Tsipras doit rester sur ses positions. Monsieur Romaric a décrit les faits exactement tels qu'ils sont en oubliant bien sur la période de l'an 2000. Cette fameuse période. Je vous invite a consulter le Président Éric Toussaint du CADTM et pe...

le 21/02/2015 à 10:10
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@Billy hari Dans les faits, les dettes sont perpétuelles. Sans dettes, le Monde que nous connaissons n'aurait jamais existé. Si demain plus personne ne fait de la dette, le Monde s'arrête, puis s'écroule. La dette, les prêts ne sont qu'un pari sur l...

à écrit le 20/02/2015 à 12:17
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l faut aussi regarder l’Allemagne, ou plus exactement ce parti-pris qui considère la politique de Merkel-Schäuble comme le parangon de l’efficacité, dans nos têtes. La fascination morbide que l’Allemagne, dans ce qu’elle a de pire, exerce sur les éli...

le 20/02/2015 à 12:30
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Bravo. Très bonne analyse

le 20/02/2015 à 13:06
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délire de petit frustré

le 20/02/2015 à 18:09
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@Delest De l'air!

le 20/02/2015 à 18:20
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Appeler de "petit frusté" au grand Jacques Sapir, un des orgueils de France, c'est faire preuve d'ignorance. Ou de la mauvaise foi. Décidément, vous lâchez "de lest"….

à écrit le 20/02/2015 à 12:11
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Les politiques n'ont pas le même sens des mots ; les paroles , paroles... . Emprunter ou voler c'est presque pareil. Les Grecs ne sont pas les seuls. A quoi bon signer des traités si c'est pour ne pas les respecter ?

à écrit le 20/02/2015 à 12:03
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Comme d'habitude, l'auteur de cet article ne voit que de bonne choses chez les Grecs et de mauvaises chez les Allemands. Ce qui est quand même un comble quand on sait que les Grecs ont délibérément présenté des compotes publics erronés pour être de l...

le 20/02/2015 à 12:39
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Vous avez rédigé "ont délibérément présenté des compotes publics erronés" COMPOTES PUBLICS .... Faute de frappe .... Mais même involontaire la formule est MAGNIFIQUE :-)

le 20/02/2015 à 13:35
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Très très bonne analyse Cela fait 70 ans que la guerre est finie Les allemands ont beaucoup souffert du nazisme. La nouvelle génération ne sont pas responsable de cette guerre. Regardez la profanation des tombes dans l'est de la France il y a aus...

à écrit le 20/02/2015 à 11:51
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Comme d'habitued l'auteur de l'article ne oit que de bonne chsoes chez les Grecs et de mauvaises du côté dse allemands. d'aillleurs, il

à écrit le 20/02/2015 à 11:50
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La stabilité pour toujours, cela fait penser à l'établissement de la domination du Reich pour un règne des mille ans par papa Adolf... Vivement que l'euro, l'UE et toute cette démagogie délirante disparaissent au plus vite.

à écrit le 20/02/2015 à 11:36
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Il ne faut pas sous-estimer la force et la détermination des peuples et des nations de l'Europe qui, comme toujours finiront par démolir, lentement ou brutalement, la domination d'un des états. Que ce soit avant l'UE ou maintenant. L'espoir d'une sta...

le 20/02/2015 à 12:41
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Qu une situation stable est impossible ... certes Mais si on pouvait éviter le chaos pour ne pas dire le bordel :-) Il faut rechercher une relative stabilite´... il est vrai que l'absolu ...

le 20/02/2015 à 14:09
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" L'espoir d'une stabilité "pour toujours" est vain. " Ah, vous avez enfin compris que votre retraite et votre sécu vont sauter ?

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