La défaite de la Grèce, la défaite de l'Europe

Les dirigeants de la zone euro ont imposé un accord aux conditions encore plus dures, presque punitif, aux Grecs. Mais la défaite d'Alexis Tsipras résonne comme une défaite pour toute la zone euro.
La zone euro a changé de visage ce 13 juillet.

Jamais, dans le jargon européen, le terme de « compromis » n'aura semblé si peu adapté. « L'accord » atteint au petit matin du 13 juillet entre la Grèce et le reste de la zone euro a désormais des allures de déroute pour le gouvernement grec. Une déroute qui a un sens pour le reste de l'avenir de la zone euro.

Erreur stratégique

Avant d'en venir aux conséquences, il faut expliquer cette défaite d'Athènes. Le gouvernement grec avait accepté jeudi soir le plan des créanciers présenté le 26 juin. Un plan déjà extrêmement difficile à accepter pour la majorité parlementaire grecque. Cette dernière s'était d'ailleurs fissurée vendredi soir dans le vote à la Vouli, le parlement grec. Alexis Tsipras, le Premier ministre grec, pouvait cependant alors prétendre pouvoir arracher un accord sur la dette comme « compensation. » Malheureusement pour lui, les créanciers ont alors immédiatement compris le message : l'exécutif grec craignait davantage la sortie du pays de la zone euro que l'abandon de son propre programme. On aurait pu s'en douter dès le 22 juin lorsqu'Athènes avait déjà présenté un plan d'austérité. Mais le « non » au référendum avait été une contre-offensive qui, compte tenu du résultat, pouvait donner un mandat implicite au premier ministre pour réaliser le Grexit. Il n'en a pas jugé ainsi. En grande partie parce qu'il a commis l'erreur de ne pas le préparer.

La curée

Dès lors, la position grecque était extrêmement fragile. En effet, pour un petit pays aussi affaibli et endetté que la Grèce, la seule force dans les négociations était la menace de la sortie de la zone euro. Menace que, sans doute, il fallait éviter de mettre en oeuvre si c'était possible, mais qu'il fallait brandir assez sérieusement pour faire douter le camp d'en face. Dès lors que cette menace était levée, Athènes n'avait aucun moyen de pression. La position grecque s'était alors entièrement découverte. Et les créanciers ont pu, sans crainte d'une rupture, augmenter leurs exigences. Pour cela, le moyen était fort simple : il suffisait de menacer la Grèce d'une sortie de la zone euro. Comme cette dernière n'en voulait à aucun prix, il était simple de lui faire accepter d'autres conditions et d'annuler ainsi une partie des succès obtenus durant six mois de négociations, notamment le retour des « revues » de la troïka, l'instauration du travail du dimanche et la mise en place d'un fonds de 50 milliards d'euros issus des privatisations pour recapitaliser les banques, rembourser la dette et faire des investissements productifs. Et pour bien faire comprendre à la Grèce qu'elle devait filer droit cette semaine et voter les « réformes » souhaitées, le premier ministre néerlandais Mark Rutte a prévenu que le « Grexit n'était pas encore exclu. »

Quelques succès ?

Les créanciers ont donc tellement tourmenté Alexis Tsipras que ce dernier a pu présenter quelques concessions sur les exigences nouvelles de ce week-end comme des succès : l'absence de Grexit, le maintien du Fonds en Grèce (et non son transfert au Luxembourg comme l'Eurogroupe l'avait demandé) ainsi que le report d'un quart de son montant sur des investissements productifs (autant que la part réservée aux créanciers et moitié moins que celle réservée pour les banques). Mais son seul vrai succès est d'avoir obtenu l'ouverture d'une discussion sur un « reprofilage » de la dette, autrement dit sur un nouvel échéancier. Mais il faut se souvenir que ce plan va encore augmenter la dette et qu'un rééchelonnement risque simplement de « lisser » les effets de cette augmentation. Et, comme on a pu le constater, Athènes est tout sauf en position de force pour bien négocier ce rééchelonnement. Encore une fois, les créanciers - et Angela Merkel l'a confirmé explicitement - restent attachés au mythe de la viabilité de la dette publique grecque. Un mythe qui va continuer de coûter cher à la Grèce qui va ployer pendant des décennies sous le poids absurde de cette dette, la condamnant à une austérité sans fin et à la méfiance des investisseurs.

Prélude à la chute d'Alexis Tsipras ?

Alexis Tsipras va devoir désormais faire accepter ce plan à son parlement. Or, ce plan n'est rien d'autre qu'une négation explicite des deux votes grecs du 25 janvier et du 5 juillet. Les créanciers avaient pour but, d'emblée, d'obtenir l'annulation de fait de ces votes. Ils sont en passe de l'obtenir. Les parlementaires de Syriza ont désormais le choix entre provoquer une crise politique en désavouant Alexis Tsipras et adoptant un programme basé sur la sortie de la zone euro ou devenir un nouveau Pasok, un parti qui tente de « réduire l'impact » des mesures des créanciers sans avoir aucune certitude d'y parvenir. Face à un tel choix, Syriza pourrait se scinder, comblant les vœux des créanciers et de Jean-Claude Juncker qui souhaitait, en janvier, « revoir des têtes connues. » Car, avec de nouvelles élections, qui semblent désormais inévitables, les perdants des 25 janvier et 5 juillet pourraient profiter de cette division pour remporter le scrutin. Quoi qu'il en soit, si le Syriza « modéré » d'Alexis Tsipras l'emporte, sa capacité de résistance est désormais très faible. Le « danger politique » est écarté, comme le voulaient les dirigeants de la zone euro.

La victoire de Tsipras : un révélateur de la nature de la zone euro

Il est cependant un point sur lequel Alexis Tsipras a clairement gagné : il a mis à jour par ses six mois de résistance et ce déchaînement de « vengeance » comme le note ce lundi matin le quotidien britannique The Guardian en une, la nature de la zone euro. Ce lundi 13 juillet, on y voit plus clair sur ce qu'est la zone euro. A l'évidence, les gouvernants européens ont agi comme aucun Eurosceptique n'aurait pu l'espérer.

L'imposition de la logique allemande

D'abord, on a appris que l'euro n'était pas qu'une monnaie, mais aussi une politique économique particulière, fondée sur l'austérité. Le premier ministre grec avait fait le pari que l'on pouvait modifier la zone euro de l'intérieur et réaliser en son sein une autre politique économique. Preuve est désormais faite de l'impossibilité d'une telle ambition. Les créanciers ont clairement refusé une réorientation de la politique d'austérité budgétaire qui, pour un pays comme la Grèce, n'a réellement plus aucun sens aujourd'hui et l'empêche de se redresser. On a continué à imposer cette logique qui fonde la pensée économique conservatrice allemande : la réduction de la dette et la consolidation budgétaire ont la priorité sur une croissance économique qui ne peut être le fruit que « d'efforts douloureux » appelés « réformes. » Même dans un pays économiquement en ruine  comme la Grèce qui a démontré empiriquement l'échec de cette logique. Si Alexis Tsipras a perdu son pari, il n'est pas le seul fautif. Les Etats européens comme la France et l'Italie le sont aussi, qui en validant les réformes engagées depuis 2011 dans la zone euro (Two-Pack, Six-Pack, MES, semestre européen, pacte budgétaire) ont assuré la prééminence de cette logique.

Français et Italiens ne peuvent donc pas s'étonner de la radicalisation de l'Allemagne et de ses alliés. Ils l'ont préparé par leur stratégie de concessions à Berlin, se trompant eux-mêmes sur leur capacité future de pouvoir ainsi « infléchir » la position allemande dans le futur.

Gouvernance économique aveugle

La gouvernance économique de la zone euro - jadis tant souhaitée par les gouvernements français - existe donc bel et bien, et ne souffre aucune exception, fût-elle la plus modérée. Aussi, qui veut la remettre en cause devient un adversaire de l'euro. La diabolisation de Syriza pendant six mois l'a prouvé. Ce parti n'a jamais voulu renverser l'ordre européen, le gouvernement grec a rapidement fait de larges concessions (que l'on songe à l'accord du 20 février). Mais sa demande d'une approche plus pragmatique dans le traitement du cas grec conduisait à une remise en cause de la vérité absolue de la logique "austéritaire" décrite plus haut. Il fallait donc frapper fort pour faire cesser à l'avenir toute velléité de remise en cause de l'ordre européen établi. Il y a dans cette Europe un air de « Sainte Alliance » de 1815, révélé désormais au grand jour. Comment autrement expliquer cet acharnement face à Athènes ce week-end, cette volonté de « vengeance » ? Alexis Tsipras avait cédé sur presque tout, mais ce n'était pas assez, il fallait frapper les esprits par une humiliation supplémentaire.

Identification entre euro et austérité

Le problème, c'est que, désormais, l'identification entre l'euro et l'austérité est totale. Le comportement des dirigeants de la zone euro avant et après le référendum pour faire du « non » aux mesures proposées un « non » à l'euro le prouvent aisément. La volonté explicite de durcir les conditions imposées à la Grèce pour rester dans la zone euro ce week-end enfonce le clou. Aujourd'hui, c'est bien la question de la « réforme de la zone euro » et de sa gouvernance qui est posée. C'est un cadeau magnifique fait en réalité aux Eurosceptiques qui auront beau jeu désormais de fustiger la faiblesse d'Alexis Tsipras et de faire de la sortie de la zone euro la condition sine qua non d'un changement, même modéré, de politique économique. Cette fin de semaine, une certaine idée, optimiste et positive, de la zone euro a perdu beaucoup de crédibilité.

Grexit ou pas, le précédent existe désormais

Du reste, ceux qui se réjouissent d'avoir sauvé l'intégrité de la zone euro se mentent à eux-mêmes. Pour la première fois, l'impensable a été pensé. L'irréversibilité de l'euro est morte au cours des deux dernières semaines. Grexit ou pas, la possibilité d'une sortie de la zone euro est désormais établie. La BCE l'a reconnue par la voix de deux membres de son directoire, Benoît Coeuré et Vitor Constancio, et l'Eurogroupe en a explicitement menacé la Grèce. Dès lors, la zone euro n'est plus un projet politique commun qui supposerait la prise en compte des aspirations de tous ses Etats membres par des compromis équilibrés. Elle est un lieu de domination des forts sur les faibles où le poids de ces derniers ne comptent pour rien. Et ceux qui ne se soumettent pas à la doctrine officielle sont sommés de rendre les armes ou de sortir. On accuse Alexis Tsipras d'avoir « menti » à son peuple en prétendant vouloir rééquilibrer la zone euro. C'est faux, car il ne connaissait pas alors la nature de la zone euro. Maintenant il sait, et les Européens aussi.

C'est la réalisation du projet « fédéral » de Wolfgang Schäuble : créer une zone euro plus centralisée autour d'un projet économique accepté par tous, ce qui suppose l'exclusion de ceux qui le remettent en cause. Angela Merkel s'est rallié à ce projet parce qu'elle a compris qu'Alexis Tsipras ne sortirait pas de lui-même. Elle a donc pensé pouvoir obtenir la discipline et l'intégrité de la zone euro. Mais elle se trompe, elle a ouvert une boîte de Pandore qui pourrait coûter cher à l'avenir au projet européen. De ce point de vue, peu importe que le Grexit n'ait pas eu lieu  : sa menace suffit à modifier la nature de la zone euro.

La nature de l'euro

L'euro devait être une monnaie qui rapprochait les peuples. Ce devait être la monnaie de tous les Européens. Or, cette crise a prouvé qu'il n'en est rien. On sait que, désormais, on peut priver certains habitants de la zone euro de l'accès à leur propre monnaie. Et que cette privation est un moyen de pression sur eux. Il sera donc bien difficile de dire encore « l'euro, notre monnaie » : l'euro est la monnaie de la BCE qui la distribue sur des critères qui ne prennent pas en compte le bien-être des populations, mais sur des critères financiers dissimulant mal des objectifs politiques. L'euro est, ce matin, tout sauf un instrument d 'intégration en Europe. En réalité, on le savait depuis la gestion de la crise de Chypre en 2013, qui, on le comprend maintenant, n'était pas un « accident. »

Le choc des démocraties réglé par le protectorat

La résistance d'Alexis Tsipras et l'accord obtenu mettent également à jour le déséquilibre des légitimités démocratiques. Longtemps, l'argument a été que les Grecs ne pouvaient pas imposer leurs choix démocratiques aux autres démocraties. Ceci était juste, à condition que ce soit réciproque.

Or, ce lundi 13 juillet, la démocratie grecque a été fragilisée et niée par ses « partenaires » européens. On a ouvertement rejeté le choix des Grecs et imposé à la place celui des autres gouvernements démocratiques. Le débat ne se tenait pas entre démocraties mais entre créanciers et débiteurs. Jamais la zone euro n'a voulu prendre au sérieux les choix grecs. Et toujours on a cherché à se débarrasser de ceux qui étaient issus de ces choix. Il est donc possible de faire d'un pays de la zone euro une forme moderne de protectorat financier. C'est là encore un dangereux cadeau fait aux Eurosceptiques qui auront beau jeu de venir se présenter en défenseurs de la souveraineté populaire et de la démocratie.

Plus d'intégration ?

François Hollande a promis « plus d'intégration » dans la zone euro les mois prochains. Ceci ressemble dangereusement à une fuite en avant. Angela Merkel a prouvé qu'elle avait choisi le camp de Wolfgang Schäuble, de concert avec la SPD. On ne peut donc que s'inquiéter de cette promesse de l'hôte de l'Elysée qui ne peut aller que dans le sens des erreurs commises. Enivrée par leurs victoires sur un peuple déjà à genoux, les dirigeants de la zone euro doivent prendre garde de ne pas aggraver encore un bilan qui, au final, est aussi négatif pour les vainqueurs que pour les vaincus.

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Commentaires 290
à écrit le 29/07/2015 à 8:01
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Quand on ne veut pas comprendre, on ne comprend pas. Si la Grèce avait eu le même niveau de taux d'intérêt que disons l'Italie, ils auraient un endettement au niveau de la France ou du RU, pas plus ! Il faut reprendre le contrôle des émissions des de...

à écrit le 16/07/2015 à 14:35
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Romaric Godin - que je suis surpris de lire dans "la Tribune" - ne semble malheureusement pas plus sérieux ni complet sur le fond qu'il ne l'est sur la forme (cf les trop nombreuses et graves fautes d'orthographes). Il oublie en effet l'élément clé...

à écrit le 16/07/2015 à 11:48
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Merci Madame Merkel ! Ne pourrait-elle pas demander demain à FH d'exiger des efforts d'austérité aux fonctionnaires et autres retraités et pré-retraités ?

à écrit le 16/07/2015 à 10:50
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MTITERANT AVAIS RAISON ? IL A DIT APRES MOI IL N Y AURAS QUE DES CONPTABLES? JE CONPREND MIEUX LES EUROCEPTIQUES. CAR L EUROPE ET EN FAIT UN APPAREIL A SOUMETTRE LES PEUPLES A TOUJOURS PLUS DE SACRIFICES???

à écrit le 16/07/2015 à 8:37
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De grandes phrases sur la liberté ,la solidarité, sur l'Europe pour en arriver au final a un impôts supplémentaire de solidarité pour consolidé le fond d'aide à la grèce en préparation pour toute la zone euro. Youpi du travail pour nos fonctionnaires...

à écrit le 16/07/2015 à 6:22
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A la lecture de l'article et des commentaires on peut se dire effectivement l'Allemagne est un modèle économique à suivre en Europe. Un déficit budgétaire limité un niveau d'exportation élevé et un taux de chômage faible. Cela semble le modèle idé...

le 16/07/2015 à 22:55
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Puisque l'Allemagne est pauvre, on comprend qu'elle ne veuille pas faire un chèque en blanc à la Grèce et qu'elle souhaite être remboursée de ses prêts antérieurs. Et puisque la France est plus riche que l'Allemagne, il est normal qu'elle soit plus g...

à écrit le 16/07/2015 à 3:18
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Il me semble qu'hollande a reçu tsipras a l'elysee! Et pour lui dire quoi! La France est pour l'Europe du Sud! Dépenser sans compter , vivre à crédit, faire la fête a tout va et sans limite! Mélanger tout comme un cocktail! Vivre sans interdit, sans...

à écrit le 15/07/2015 à 22:56
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Sacrés Grecs! pour eux la démocratie, c'est par exemple, se voter des lois leur permettant de continuer à vivre aux crochets des autres membres de la Zone et s'offusquer que l'on ne respecte pas leur démocratie.

à écrit le 15/07/2015 à 18:34
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L'euro a cessé d'être une monnaie unique et devient de facto une monnaie allemande utilisée par d'autres pays selon les conditions de l'Allemagne. La monnaie a des fonctions bien précises. Elle n'est pas une simple monnaie d'échanges. Voici mon arti...

à écrit le 15/07/2015 à 18:03
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Nouvelle tentative. Monsieur Godin nous a expliqué pendant des mois que la Grèce était en position de force, que Tsipras était un habile tacticien et que l'Europe serait forcée de céder. Il s'est trompé sur toute la ligne, comme il se trompe aujourd...

le 20/07/2015 à 10:48
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en fait , il essai de nous faire croire à une defaite de l'Europe pour cacher la berezina de syriza et surtout de Tsipras .

à écrit le 15/07/2015 à 17:59
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Chacun peut lire l'accord de dimanche à l'aune de ses jugements sur les positions des uns et des autres. Ce qui est sur c'est que les grecs ont menti pour entrer dans l'Euro, que leurs politiciens de tous bords sont les premiers responsables par leur...

à écrit le 15/07/2015 à 17:12
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La contradiction fondamentale est que la Grèce NE PEUT PAS sortir de l Euro, pour un tas de raison (pression américaine, pas de consensus, économie trop imbriquée avec l Allemagne, l Italie ou la France...) et en même temps, elle DOIT en sortir au pl...

à écrit le 15/07/2015 à 12:44
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très bon article, sauf qu'il ne faut pas confondre austérité et rigueur. Il existe encore des clubs où la cravatte est obligatoire et le jean interdit. Ce sont souvent les plus progressistes !

le 20/07/2015 à 11:28
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... cravatte ...tout un symbole n'est ce pas ...! mais celà peut servir ( et Renzi avait tenté de le faire comprendre à Tsipras: quand on a à l'avaler .

à écrit le 15/07/2015 à 12:01
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Je viens de voir tsipras a la télé il roule avec une Audi Il est vraiment realiste finalement !!!

le 15/07/2015 à 13:26
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La voiture symbole pour un pays en panne.

à écrit le 15/07/2015 à 11:46
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Il n'y a aucun accord comme on tente de le faire croire mais un "préalable" à une mise sous tutelle favorable, s'il y a accord c'est donc sur ce préalable flottant sujet à modification et bardé de conditionalités. La Grèce devra voter à la demande le...

à écrit le 15/07/2015 à 10:50
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Le retour à la réalité est rude, pour certain. Très drôle à lire.

le 15/07/2015 à 13:28
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On n'a jamais quitté la réalité de l'affrontement. C'est ce que dit cet article. La réalité, ce n'est pas la pensée unique qui n'obtient pas de résultats.

à écrit le 15/07/2015 à 10:50
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Que nous apprends M. Godin ? Que la politique est un jeu. Que les Grecs, présentés comme les maîtres de la théorie des jeux ont été battus à plate couture par un ministre allemand handicapé ! En fin de compte M. Tsipras a été, à tous les niveaux, in...

le 15/07/2015 à 13:38
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Vous avez raison, les prédécesseurs de monsieur Tsipras étaient des génies politiques, leur bilan parle pour eux !

à écrit le 15/07/2015 à 10:26
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Le parlement finlandais va probablement rejeter l'accord sur la Grèce. La Finlande, cet autre "petit pays" qui lui a fait de vraies réformes pour s'en sortir et n'essaie pas de se trouver un bouc émissaire en accusant les "méchants pays" comme l'Alle...

le 15/07/2015 à 13:41
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On verra également, aux prochaines élections en Finlande, s'il y en a encore, si les Finlandais ont apprécié d'être gouvernés par une coalition d'extrême-droite.

le 15/07/2015 à 17:06
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Il y de drôles de pays, où pour l oligarchie europeiste, l extrême-droite est fréquentable (Suède, Ukraine). Va comprendre, Charlie.

le 15/07/2015 à 17:06
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Il y de drôles de pays, où pour l oligarchie europeiste, l extrême-droite est fréquentable (Suède, Ukraine). Va comprendre, Charlie.

le 15/07/2015 à 23:26
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On verra aussi comment les pays européens accueilleront les grecs acculés et voulant survivre.

à écrit le 15/07/2015 à 3:28
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Cet articles est trop à charge contre les pays respectants les accords et les traités au sein de l'Europe. Il y a plusieurs constats. Premier constat, est que respecter les traités conduit certains pays dans des cercles économies vertueux à l'instar ...

le 15/07/2015 à 8:09
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? article à charge ? vous avez lu ...la signature ? ne vous fiez pas à la photo ( Reuters ) , elle n'est là que pour " accrediter " !

le 15/07/2015 à 13:53
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Il est d'autant plus absurde de prétendre que respecter les traités européens a mené l'Allemagne là où elle est que c'est en fonction de la situation de l'Allemagne et de ses intérêts que ces traités ont été rédigés.

à écrit le 15/07/2015 à 0:14
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La vrai question est: comment faire pour sortir de cet € de me...? Parce qu'on la très bien vu, ce qui a entre-autre empêché Tsipras de prendre la décision de claquer la porte, c'est le fait qu'il n'était pas préparé pour sortir de l'€: - aucune im...

le 15/07/2015 à 8:03
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...pas preparé ( la Grece ) pour une sortie de l'euro ... curieux comme vous interpretez les pensées de Tsipras ...vous ne lisez meme pas ce qu'il en dit LUI !

le 15/07/2015 à 10:14
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Vous refusez de voir que la sortie de l'euro est une fausse bonne solution Meme tsipras a comprit que c'était la catastrophe totale Il faut réformer la grece avec l'euro ou sans l euro

à écrit le 14/07/2015 à 22:28
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La démocratie piétinée une nouvelle fois par les Panzers allemands ! Merci Merkel, vous donnez un boulevard aux pires populismes, une bien belle excuse pour détruire le rêve de paix et de prospérité pour les peuples, encore une idée française jetée a...

le 14/07/2015 à 22:40
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Oui, quand l'Allemagne fait de la politique étrangère, la catastrophe n'est pas loin.

le 15/07/2015 à 11:28
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@ Euca : c'est à Tsipras , qu'il faut demander "...depuis QUAND un peuple ..." d'autre part , dans votre ennumeration de dates , vous avez omis 1990 ...vous savez , 1990 , la réunification allemande , avec integration de la RDA !

à écrit le 14/07/2015 à 21:45
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Désormais, l'avant-dernier parti social-démocrate européen ayant signé , avec Tsipras, sa propre mort ( l'avertissement étant clair pour Podémos en Espagne) que de beaux jours pour les partis d'extrème droite, dernier refuge pour le citoyen lambda de...

à écrit le 14/07/2015 à 21:01
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Interview de Varoufakis sur France 2 : "Il y avait un refus clair d'engager des discussions économiques, dénonce-t-il. Vous mettez en avant un argument sur lequel vous avez vraiment travaillé, qui est cohérent, et vous avez juste droit à des regards ...

le 15/07/2015 à 17:02
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Varoufakis a trois qualités : c est un grand économiste, il a une solide culture (lire son livre : le Minotaure planétaire) et il a beaucoup d humour. Bref, le contraire de Schauble.

à écrit le 14/07/2015 à 20:46
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Mais enfin ? La Grèce c'est nous, la Bulgarie, l'Allemagne ou la France c'est nous, ou alors la sacro sainte Europe n'est rien d'autre qu'une construction mentale édifiée par une pensée financière standardisée sur les cendres du marché commun. On se...

à écrit le 14/07/2015 à 19:55
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Il est urgent d'attendre et de voir la suite du développement de cette crise. Quelles seront les réelles avancées. En Attendant, cet article est très intéressant ; empli de vérités.

à écrit le 14/07/2015 à 19:16
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Chez nous la situation est deplorable. Les salaires et les pensions sont plus bas que ceux des grecs, le regime est restrictif. Expliquez-moi quelle est la logique d`appliquer une nouvelle injection financiere en Grece qui refuse de se reformer. Le n...

le 14/07/2015 à 20:21
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Voila pourquoi Angela a mît 2 claques a tsipras n'en déplaisent aux gauchistes qui prônent la dette éternelles suivit d'un écroulement du system Merci Angela !!

le 14/07/2015 à 22:19
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Madame, Parce que vous pensez qu'en France, aux Usa, on fonctionne sur une économie réelle . Non, c'est sur les cours de la bourse, donc de la spéculation financière .

le 15/07/2015 à 13:59
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La réponse est très simple: la Grèce n'est plus une nation indépendante depuis au moins 2009. Elle est sous tutelle de l'Union Européenne et du FMI. Par conséquent, c'est à l'Union Européenne de continuer à la gérer... et à payer ses erreurs. En B...

le 15/07/2015 à 16:58
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Ah les éléments de langages distribués par centaines... La Bulgarie n a pas l Euro ! Donc la vie y est moins chère qu en Grèce où on y étouffe depuis 12 ans. D autres questions ?

à écrit le 14/07/2015 à 18:47
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Il semble logique qu'asphyxier un Etat ne pourra lui permettre de rembourser ses dettes... Les créanciers (donc européens) continuent de prêter de l'argent aux Grecs, en contrepartie d'une violente austérité coupant court à toute reprise économique p...

le 14/07/2015 à 21:57
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@Réponse de Bravo Merkel a peut-être mis 2 claques à Tsipras, mais en retour, disons dans 6 mois, elle va prendre un bon coup de pied aux fesses. Pourquoi? Eh bien vous le saurez dans 6 mois. D'Ici là, réfléchissez et essayez de trouver la réponse a...

à écrit le 14/07/2015 à 18:41
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Comme Socrate , il a du boire la potion amère .

le 14/07/2015 à 21:59
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@fil ... Et comme le phénix, il renaîtra de ses cendres.

à écrit le 14/07/2015 à 18:19
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Très bon edito de bloomberg.com: http://www.bloombergview.com/articles/2015-07-13/tsipras-has-vandalized-greece Il ne dédouane pas les créanciers de leur responsabilité et de leur attitude punitive du week-end dernier mais pointe l'irresponsabilité...

le 14/07/2015 à 22:32
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Quelle attitude ? Celle de sauver sa population ? Réveillez vous, l'heure n'est plus à l'ultra libéralisme, l'homme peut vivre sans votre sacro sainte vision de l'économie. Si on peut appeler ça de l'économie. Vous voudriez vous faire imposer en F...

le 15/07/2015 à 16:54
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Bloomberg ? Pourquoi pas la gazette de Goldman Sachs aussi ? Vous m avez fait bien rire alors que la situation ne s y prête guère...

à écrit le 14/07/2015 à 18:09
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Dix-huit démocraties contre une qui oscille depuis des années voire des décennies entre clientélisme, achat des votes à coup d'emprunts à l'étranger, et populisme? Ça ne vous semble pas démocratique?

le 15/07/2015 à 16:50
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Vous devriez lire Der Spiegel ou The Guardian plus souvent. Vous en apprendrez des choses.

le 15/07/2015 à 18:10
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Il se trouve justement que The Gardian et Der Spiegel, je les lis. Et que ne suis pas un économiste d'opérette.

le 15/07/2015 à 21:06
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Parfait ! Pouvez-vous répondre à ces questions : Oui ou non la dette de la Grèce est-elle viable ? Oui ou non les "créanciers" ont-ils refusé pendant 5 mois d'aborder le thème d'une restructuration (réduction ou réechelonnement) alors que c'était ...

à écrit le 14/07/2015 à 17:57
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Tsipras est en butte à de très graves difficultés. Près de 50 députés de son parti Syrisa se rebellent. Il va être obligé de former un gouvernement avec la droite ou le Pasok, ou les deux à la fois. Le parlement grec devait se réunir dès aujourd'hui....

à écrit le 14/07/2015 à 17:11
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Pendant la dictature des colonels, le prix Nobel de littérature G. Séféris écrivait: "On te prendra l'ombre des arbres, on te la prendra On te prendra l'ombre de la mer, on te la prendra On te prendra l'ombre de ton coeur, on te le prendra On te ...

le 14/07/2015 à 18:09
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@ZOE :Votre compassion est touchante camarade Zoe. Ne voudriez-vous pas accorder 20 pour cent de votre salaire à des fonctionnaires qui ne travaillent pas mais qui encaissent néanmoins leurs salaires, qui sont même régulièrement réévalués?

le 15/07/2015 à 16:47
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Léon : apparemment, vous n avez pas revu les derniers éléments de langages. Goldman Sachs, Schauble, Draghi et un certain nombre d autres, dont des politiciens grecs risquent d être bientôt traduits en justice. Informez-vous.

le 15/07/2015 à 16:47
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Léon : apparemment, vous n avez pas revu les derniers éléments de langages. Goldman Sachs, Schauble, Draghi et un certain nombre d autres, dont des politiciens grecs risquent d être bientôt traduits en justice. Informez-vous.

à écrit le 14/07/2015 à 16:53
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C'est le Waterloo des grecs qui se croient supérieur aux reste de l'Europe parce qu'ils ont des ancêtres de 2000 ans qui étaient en avance Aujourd'hui la grece est proche du tiers monde, sans etat ,corrompus et des hommes politiques les pires d'Eur...

le 15/07/2015 à 16:36
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Je ne connais pas beaucoup d États du tiers monde avec une population aussi éduquée, qui fabrique à peu près de tout dans les médicaments, les produits de soins, de nettoyage et dans l agroalimentaire.

le 15/07/2015 à 16:39
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400 000 personnes travaillent dans l industrie dont 50 000 dans le pharmaceutique. Combien au Zimbabwe ?

le 15/07/2015 à 16:43
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Hellenic Aerospace Industry (500 employés) fabrique des drones et participe au programme Neuron de Dassault. Famar a racheté une usine en France pour fabriquer ses médicaments ! Intracomm (plus de 1000 employés) est leader des télécommunications d...

à écrit le 14/07/2015 à 16:52
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Merci surtout à Tsipras et Varoufakis d'avoir, par leur brillante démonstration, dissipé les dernières illusions de l'Europe qui nous protège...

à écrit le 14/07/2015 à 16:49
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J'ajouterais: défaite de l'Allemagne. En effet, elle ne voulait plus financer le trou sans fond qu'est la Grèce, elle ne voulait même pas payer les 7 milliards qui restaient de l'aide précédente, et là, l'Allemagne a approuvé un nouveau plan d'ai...

à écrit le 14/07/2015 à 16:47
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Certains médias français complaisants ont présenté François Hollande comme le « sauveur de l’euro », qui aurait imposé ses vues conciliatrices à la très rigide Angela Merkel. Cette analyse est risible et comme l'analyse l' UPR. Dans cette affaire com...

à écrit le 14/07/2015 à 16:34
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à écrit le 14/07/2015 à 16:12
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Je suis triste de voir l' attitude des techno européens. J'ai voté non a la constitution. Aujourd'hui je voterais deux fois non a l'Europe. Ils pensent avoir gagner en mettant la Grèce a genoux. Ils lui ont mis la tête sous l'eau. Il n'y a plus rien ...

à écrit le 14/07/2015 à 15:10
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Romaric, au lieu de crier au coup d'etat et de taper sur nos amis allemands (la democratie, ce n'est pas que pour les grecs qui veulent continuer a vivre sous perfusion des autres; c'est aussi pour tous les taxpayers europeens qui ne souhaitent pas s...

le 14/07/2015 à 17:07
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@Tyler: Intéressant d'avoir le point de vue d'un Américain. Comment expliquez-vous, les positions de Krugman et Stiglitz? Est-ce purement politique.? On comprend celle de Piketty, un membre du Parti Socialiste paraït-il.

à écrit le 14/07/2015 à 14:27
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Une fois qu'on a critiqué, qu'est-ce qu'on propose? Continuer à verser des centaines de milliards sans être regardant? Pensez-vous que les pays du nord et les pays de l'est de l'europe l'acceptent, eux qui ont des retraites et des salaires inférieur...

à écrit le 14/07/2015 à 13:50
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si les allemands veulent mettre à terre les pays fainéants du club med, il faut acheter de manière intelligente et faire un choix. Si leur économie flanche, peut-être qu'ils se montreront moins agressifs et arrogants!!

à écrit le 14/07/2015 à 12:27
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Très belle fin de la tragédie Grèque à la manière d'Euripide où le pragmatisme humaniste triomphe sur la rhétotique totueuse. La Grèce accepte de prendre le chemin de croissance de l'Espagne ou de l'Irlande, et l'Europe accepte de financer à nouveau....

à écrit le 14/07/2015 à 12:26
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Excellente analyse ! Merci.

à écrit le 14/07/2015 à 12:15
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Le plan actuel adopté comme “compromis” est beaucoup plus austère que le plan denié par le refendum, c`est indiscutable. Il est vrai aussi que la crise en Grece s`est expandue autant pour la politique inadéquate de l`EU d`endettement perpétuel que p...

à écrit le 14/07/2015 à 11:50
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La potion est encore amère et le manque de réflexion à long terme va certainement créer de plus graves problèmes d'abord à la Grèce et ensuite à la zone Euro . On a évité de penser à la viabilité dans le temps la possibilité d'un rétablissement de l...

à écrit le 14/07/2015 à 11:38
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350 milliards pour 10 millions d'habitants fait 2100 milliards pour un pays comme la FRANCE de 60 millions d'habitants , et bien nous y sommes avec notre Président . Il ne lui reste plus qu'à demander a l'Allemagne un aménagement voir plus A quand...

le 14/07/2015 à 13:23
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Oui mais pour le moment le PIB français est environ 12 fois plus élevé que le PIB grec, même s'l stagne, la France semble encore solvable. Du moins tant que les taux restent très bas (les économies faites sur la charge de la dette grâce aux taux en b...

à écrit le 14/07/2015 à 11:37
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Excellent article, bien informé et très lucide. Le réveil de cette opération incroyablement myope sera certainement brutal. Ce ne serait pas la première fois que l'Allemagne veut en imposer en se croyant la plus forte avant d'être dramatiquement batt...

à écrit le 14/07/2015 à 11:31
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@gremillon Oh bein vous alors dites donc, on ne vous la fait pas..!

à écrit le 14/07/2015 à 11:12
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En lisant cet article, ainsi que l'édito de Jacques Sapir : "Capitulation" dans son blog, un parallèle me vient à l'esprit: Sur le plan économique c'est l'équivalent des accords de Munich de 1938. Les pays de l'eurozone ont cédé aux exigences d...

à écrit le 14/07/2015 à 11:03
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Lorsque l'auteur aura compris que "les creanciers" ce sont les contribuables europeens et francais que la Grece a floue depuis des annees, il aura fait un grand pas en avant sur la route du journalisme objectif et non plus sentimental et irrationnel.

le 14/07/2015 à 12:00
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sérieusement? journalisme objectif? factuel ouais. Objectif plutôt mourir. bisou

le 15/07/2015 à 14:27
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Ce sont des banques qui ont prêté à la Grèce, pas les Etats. Ils se retrouvent créanciers parce que Sarkozy et Merkel se sont entendus pour refiler l'essentiel des dettes privées aux contribuables français et allemands. Pendant ce temps-là, Paribas e...

à écrit le 14/07/2015 à 10:50
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Certes ce n’est pas de l’unique faute de l’intransigeante Allemagne, ni même du seul peuple Grec, victime plus que profiteur, de plusieurs décennies de dirigeants souvent incompétents ou même tricheurs Mais il ne faut pas négliger l’impact d’une po...

à écrit le 14/07/2015 à 10:29
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Une chose est certaine, c'est que les traits du visage de Mr Tsipras écoutant Mr Farage laissait présager de la suite. Il n’ a assurément pas la “mine réjouie” de celui qui entend un discours encourageant le peuple grec à se libérer d’ un joug austè...

à écrit le 14/07/2015 à 10:20
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Comme toujours, analyse pénétrante de Romaric Godin. Rigueur et clairvoyance qui tranchent avec ce qu'on lit par ailleurs dans la presse française. Merci pour ce vrai journalisme.

à écrit le 14/07/2015 à 10:18
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Bravo pour cette excellente synthèse qui a le mérite de très bien présenter un point de vue. Je regrette seulement que La Tribune ne donne pas la parole à une autre vision qui est celle de ceux qui doivent payer, à savoir les générations suivantes, m...

à écrit le 14/07/2015 à 10:13
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Le titre de l'article est incomplet. Il devrait être : "La défaite de la Grèce, la défaite de l'Europe, et la défaite de la Démocratie". Par la dette résultant du nouveau système de création monétaire, les états ont été soumis à des intérêts privés. ...

le 14/07/2015 à 13:27
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S'il y a une défaite, une seule, c'est celle de la démagogie. Même si par la magie des référendums on la travestit en démocratie. Dans tous les pays de l'UE il y a des parlements démocratiquement élus qui sont là pour prendre leurs responsabilités.

à écrit le 14/07/2015 à 9:46
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Bravo à la Tribune pour cet article qui montre la folie actuelle des dirigeants de l'UE.

à écrit le 14/07/2015 à 9:44
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Bravo pour cet article courageux et lucide. Les dirigeants actuels de l'UE sont aveuglés par leur vanité.

à écrit le 14/07/2015 à 9:37
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Excellente synthèse tant sur la tragédie grecque que sur le drame européen. Bravo Romaric Godin qui a le grand mérite de se distinguer des Quatremer et Le Parmentier

le 14/07/2015 à 10:10
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+1 Malheureusement bien seul dans le triste spectacle que les journalistes ont donné pendant cette crise

à écrit le 14/07/2015 à 9:29
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Un résultat comme attendu, Siryza est bien le parti leurre tel que le dénonçait François ASSELINEAU et depuis le début, puis le cirque médiatique a joué à plein .. Nous avons eu un très bel éclairage à travers les réactions de Held-Kawam sur les ar...

le 14/07/2015 à 10:12
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Romaric Godin n'a jamais dit que Siryza était un parti leurre

le 14/07/2015 à 12:44
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@jean Gremillon ne dit rien d'autre et ce me semble parle le bon français..

à écrit le 14/07/2015 à 9:23
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Il y a quelqu'un qui a déjà écrit sur la situation qu'on fait face ces jours là: L'Erreur Européenne, de Jean-Jacques Rosa 1998 (il était mon professeur à ScPo, DEA économie appliquée)

à écrit le 14/07/2015 à 9:21
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Quand je demande à mon banquier une prêt pour 52.500 il veut certaines garanties. Mais s'il s'avère que j'ai besoin de plus de 82.000, il voudra plus de garantie. On est dans la même situation avec la Grèce avec un débiteur qui n'a jamais tenu ses ac...

le 14/07/2015 à 9:58
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Parce que le blocage a une raison d'être. La situation actuelle permet de faire accepter aux peuples l'impensable, c'est à dire une destruction complète de notre modèle sociale. La Grèce en est le meilleur exemple, et c'est ce qui nous attends à tous...

le 14/07/2015 à 10:17
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Un banquier compétent demande en effet des garanties lorsqu'il prête, on se demande alors pourquoi les banques allemandes, françaises n'avaient pas demandé de garantie lorsqu'elles ont prêté à tout va aux particuliers grecs et que le FMI et l'UE ont ...

à écrit le 14/07/2015 à 9:06
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Cet article est un éloge de la politique "après moi, le déluge". S'endetter pour construire le futur, c'est une chose, plomber les générations suivantes pour payer des retraites bien mal acquises, maintenir des privilèges et un fonctionnement clienté...

le 14/07/2015 à 9:30
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Votre raisonnement ne tient pas , pour de multiples raisons et la principale est : que ce n est pas Tsipras qui c est endetté à ce niveau là .

à écrit le 14/07/2015 à 8:55
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Moralité, il est dangereux de laisser son argent dans une banque, si sur simple volonté de la zone Euro, il devient impossible d'en disposer. Compte tenu de la rentabilité des placements sur livret, je vais m'empresser de retirer mes fonds et planque...

à écrit le 14/07/2015 à 7:42
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Excellent article, je vais m'abonner à la Tribune

le 14/07/2015 à 8:19
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Je ne voudrais pas vous décevoir, mais les articles publiés sont pour la plupart ceux déjà publiés sur Le Figaro, Le Parisien, l'Express et bien d'autres journaux. Vous avez en faite un concentré des articles déjà publiés. Mais libre à vous de dépens...

le 14/07/2015 à 18:38
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@STUPIDO en réalité Stupido, vous devriez aller lire les articles sur Le Fig, l'Express ou Le Parisien pour comprendre que non ces articles ne sont pas "publiés" sur d'autres sites... Si tel est le cas, c'est en général précisé. On voit que vous parl...

à écrit le 14/07/2015 à 6:51
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Deux guerres pour être à la botte de l'Allemagne...Que de morts pour rien.

le 14/07/2015 à 7:17
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Vous vous mettez le doigt dans l'œil, si vous croyez que la France va dompter l'Allemagne, peuple germain. Le club méditerranéen sera dépecé par la rigueur, la discipline et l'austérité, et l'euro deviendra un DM, mais les pays du club en sortiront j...

à écrit le 14/07/2015 à 6:48
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Beaucoup de Grec (les jeunes surtout) se préparent à quitter le pays. Certains envisagent de migrer vers l'Allemagne, d'autres vers la France. Je ne vois pas qui va rembourser les dettes de ce pays.

à écrit le 14/07/2015 à 5:16
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Excellent papier. L'Europe ne sauve pas la Grèce. Cet accord est une erreur historique. Economiquement, la Grèce n'est pas viable. Cet accord prépare une bombe qui tuera l'UE quand tout le monde constatera l'échec. La responsabilité de Hollande est...

à écrit le 14/07/2015 à 3:36
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Bravo pour cette analyse que je trouve pertinente et visionnaire. Quand on pense que c'est en Grèce, 5 siècles avant JC que Solon abolissait l'esclavage pour dette et ouvrait la porte à la démocratie et la citoyenneté européeene ! C'est de là que c'e...

à écrit le 14/07/2015 à 2:09
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Je suis étonné par la simplification des choses aussi bien par l'article que par les commentaires. La bataille - si bataille y eut - n'était pas engagée entre la Grèce et les autres membres de l'Eurogroupe, en tête la méchante Allemagne. Il s'agissai...

le 14/07/2015 à 8:22
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Vous avez tout dit , du factuel tout simplement , les commentaires des lecteurs sont à l'image de la France : d'une inculture économique crasse aveuglé par l'idéologie et la haine de l'Allemagne .. quelle pitié !

le 14/07/2015 à 9:56
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rénumération ou rémunération ? quoiqu'il en soit, les peuples sont mis au pas par l'Allemagne qui opère un coup d'Etat qui ne dit pas son nom. Vous cautionnez ça aussi ?

à écrit le 14/07/2015 à 1:03
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C'est marrant, Romaric Godin a affirmé pendant des mois que Tsipras/Varoufakis étaient en position de force et il ecrit aujourd'hui qu'ils ont capitulé. Et je pense exactement le contraire: ils étaient en position de faiblesse et ce dimanche, ils ont...

le 14/07/2015 à 1:46
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Interessant. Je ne partage pas l'analyse vainqueur/vaincu, un compromis aussi compliqué implique forcement des concessions de part et d'autres. Je crois en effet que la Grece s'en sort bien, car le Grexit aurait été une authentique catastrophe. L'all...

le 14/07/2015 à 5:21
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Le Grexit est inévitable, Schauble a raison. Ce n'est pas cette nouvelle aide qui rendra l'économie grecque viable. L'endettement va se poursuivre, l'argent sera dépensé en vain et la crise grecque va rebondir prochainement beaucoup plus fortement. L...

à écrit le 14/07/2015 à 0:29
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La défaite de la Grèce, la défaite de l'Europe... et la défaite de Romaric Godin, qui s'était fait le chantre de Syriza et de son idéologie. Il faut revenir à la réalité, les Européens (à part F.Hollande) ne veulent pas financer les rêves grecs syriz...

à écrit le 14/07/2015 à 0:24
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Comme d'habitude, l'Allemagne n'a pensé qu'à elle. Faire un exemple avec la Grèce et ainsi continuer les politique d'austérité en Europe afin que l’Allemagne puisse dégager des excédents commerciaux énormes pour financer les besoins d'un pays vieilli...

le 14/07/2015 à 5:25
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N'ayez aucune crainte : l'euro et l'Ue sont bien morts en ce début juillet. Tout le monde va voter contre l'UE désormais. Moi même ancien fédéraliste, je n'y crois plus du tout. Ce n'est qu'une question de temps. Et peu de temps, car l'accord est un ...

le 14/07/2015 à 15:21
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Ce "coup" de l'Allemagne engendre(ra) une rage et une frustration des peuples, qui malgré la propagande des banksters, finiront par se jeter dans les bras des divers aventuriers/fascistes prêts à tout leur promettre. Encore une fois merci à l'Allemag...

à écrit le 13/07/2015 à 23:54
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Juste ça: http://www.theguardian.com/business/2015/jul/12/greek-crisis-surrender-fiscal-sovereignty-in-return-for-bailout-merkel-tells-tsipras

à écrit le 13/07/2015 à 22:58
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Depuis un siècle, chaque fois que l'Allemagne s'est sentie assurée de sa puissance et a traité ses voisins avec brutalité, ça c'est mal terminé pour elle. Wait and see.

à écrit le 13/07/2015 à 22:22
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Finalement celui qui était considéré comme le méchant, Schauble, a fait la proposition la plus généreuse et raisonnable a la grece, grexit provisoire avec restructuration de la dette et celui qui etait censer combler le déficit de dignité de la grece...

le 14/07/2015 à 9:59
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Sauf qu'un grexit de 5 ans est illégal. Sauf qu'il n'était pas vraiment raisonnable en 2012 de transférer les dettes accordées avec légèreté par les banques françaises, allemandes, hollandaises aux grecs aux contribuables européens.

à écrit le 13/07/2015 à 22:21
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tout ça va trés trés mal finir, on ne peu pas changer un pays en 10ans!!!!! certes la Gréce et ces gouvernements successifs ont depuis 20ans fait du clientélisme que disons le a bien bénéficié la France la Allemagne et autres n'est pas, en achetan...

à écrit le 13/07/2015 à 22:19
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La défaite de la Grèce, la défaite de l'Europe... et la défaite de Romaric Godin, qui s'était fait le chantre de Syriza et de son idéologie. Il faut revenir à la réalité, les Européens (à part F.Hollande) ne veulent pas financer les rêves grecs syriz...

à écrit le 13/07/2015 à 22:18
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l'erreur mortifère de Tsipras est d'avoir constamment balancé entre le Grexit et le maintien dans la zone euro Dès lors que les allemands ont compris que Tsipras, politicien redoutable mais économiste amateur, n'avait pas anticipé et préparé la sor...

à écrit le 13/07/2015 à 21:53
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Excusez-moi, en plus des pharaons et des esclaves, il y a la classe des courtisans, bien entendu. Il y en a beaucoup qui soutenant ce modèle de société car ils espèrent pouvoir être du bon côté de la barrière, c-à-d faire partie des courtisans. Sur c...

à écrit le 13/07/2015 à 21:48
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Si la Grèce est un protectorat, que dire de l'UE dont la première puissance économique possède des bases d'une puissance étrangère ( environ 35 000 soldats ), espionne pour le compte de cette puissance étrangère et la suit dans sa politique étrangère...

le 13/07/2015 à 22:55
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@rryv bla, bla, bla...

à écrit le 13/07/2015 à 21:32
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Vous dites que Mr Tsipras a perdu parce qu'il ne s'est pas préparé au Grexit. Mr Godin, comment se prépare-t-on au Brexit ? Merci de votre réponse.

à écrit le 13/07/2015 à 21:12
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Mais que croyez-vous qu'est l'UE ? Une union politique et économique, rien d'autre. Qui pensait que des peuples aussi différents que les Finlandais, les Anglais, les Portugais ou les Grecs allaient s'entendre sur des sujets aussi variés que le lait c...

à écrit le 13/07/2015 à 21:08
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Les bonimenteurs ont fait perdre du temps et de l'argent aux Grecs qui commençaient pourtant a se relever: vite dehors ! et que la solidarité remplace le marchand de rêve pour raccrocher serieusement la Grèce aux locomotives Européennes

à écrit le 13/07/2015 à 20:55
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Mr Godin, vous nous apprenez que la volonté de Mr Schauble de faire un Grexit n’était qu’une menace tactique et que ce monsieur ne voulait en réalité aucun Grexit. Vous en concluez que Mr Tsipras aurait dû adopter également cette menace tactique du...

à écrit le 13/07/2015 à 20:38
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C'est la victoire de l Europe serieuse qui ne vit pas à crédit Qui rembourse ces dettes Qui l'embauche pas des fonctionnaires pour faire baisser le chomage Qui a envie de travailler Le front de gauche Mr Godin et tsipras représentent 5 % des eur...

le 13/07/2015 à 21:07
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C'est ce qu'on appelle du comique de répétition ... de contrevérités.

le 13/07/2015 à 21:12
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Vous vous trompez. Fortement. C est un desastre. Votre commentaire demaguo n apporte rien de toute facon.

le 13/07/2015 à 22:47
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Vous êtes un bon élève de la propagande allemande. L'Allemand est un être supérieur qui fait tout mieux et qui paie ses dettes (ne pas rire svp). D'ailleurs, il est tant que l'Europe se prosterne devant la glorieuse Germanie et lui fournisse des dipl...

à écrit le 13/07/2015 à 20:16
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Tsipras souffre du syndrome Gorbatchev qui voulait changer l’Empire de l’intérieur. Le médecin Merkel a procédé à un blocus financier de son pays et Schlaube lui a mis un pistolet sur la tempe. Moyennant quoi, notre Tsipras s’est métamorphosé en 48 h...

le 13/07/2015 à 21:20
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La Russie, qui a pourtant reçu de nombreux appels du pied de Tsipras, n'a rien fait. Et pour cause, elle est elle-même à l'agonie économiquement parlant. Quant à la "libéralisation" de l'immigration clandestine, elle aurait pour seul effet de provoqu...

à écrit le 13/07/2015 à 20:11
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Quelquun peut me dire ou cette argent, que lon prete aux grecs, va aller? Est ce quelle va beneficier au grec lambda ou aux banques pour payer les interets?

le 13/07/2015 à 22:34
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À «Les banques les gagnants, les autres perdants » Tout le monde connait la réponse et c'est toi ! ;-)

à écrit le 13/07/2015 à 19:49
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Le retour à la réalité des yakafokons est violent, mais c'était à prévoir. Sinon Godin nous explique donc que ces analyses passées sont à jeter, et, logiquement, nous conclue l'article avec une nouvelle analyse. Le rapport grec sur la dette... ...

à écrit le 13/07/2015 à 19:40
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pour stopper l'hégémonie allemande, il suffit de consommer de façon intelligente en privilégiant des produits fait en France prioritairement.

le 13/07/2015 à 21:03
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Ok, vous arrêtez d'utiliser votre ordinateur, votre téléphone, voiture... et vous retournez à votre potager... et encore : à condition de creuser avec vos mains.

à écrit le 13/07/2015 à 19:32
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C'est surtout la défaite des démagogues de tout poil, de Syriza à Podemos en passant par le FG et le FN et leurs porte-paroles. Et bien entendu la déroute du brillant analyste de la Tribune Romaric Godin.

le 13/07/2015 à 19:57
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"Oh! que vous êtes amer, amer comme votre pays…." (Chevalier de Lassalle)

le 13/07/2015 à 20:09
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On va bien rigoler dans moins de 6 mois ... Ceux qui perrorent, sur les cadavres des grecs qui sont morts pour sauver nos banques qui avaient joué plus que de raison au casino, vont avoir une grande surprise ... Leur petit monde va s'écrouler ...

le 13/07/2015 à 21:23
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@Paulo2 : si Tsipras applique les termes de l'accord, la Grèce commencera déjà à aller mieux dans 6 mois.

à écrit le 13/07/2015 à 19:23
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L'Allemagne est désormais comme la dette française : hors de contrôle. Et il y a encore des candides (euphémisme !) qui travaillent à la fusion de Nexter et de Krauss Maffei ! L'élite française a vraiment l'habitude de perdre la France : ça fait 41 a...

le 13/07/2015 à 20:07
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tout à fait, et ceux qui ici glorifie l'Allemagne seront les premiers à la détester. Il faut ouvrir les yeux, nous sommes les prochains sur la liste et les allemands tiendront enfin leur revanche...

le 13/07/2015 à 21:58
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Non, l'Allemagne est totalement sous le contrôle de ses suzerains us, qui ont toujours 35000 soldats en Allemagne, pour qui l'Allemagne espionne les vassaux moins sages et qui applique le programme économique de la droite us et de Margaret Thatcher a...

le 13/07/2015 à 22:40
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Pour RRYV «Non, l'Allemagne est totalement sous le contrôle de ses suzerains us» . En fait c'est un peu ça sauf que c'est plus compliqué : L'oligarchie financière qui tire les ficelles est de partout et pas seulement aux USA.

à écrit le 13/07/2015 à 19:14
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Nos politiques s'accrochent a un rêve qui est en train de se fracasser contre le mur des realites: l'Europe du nord veut étendre son hégémonie sur l'Europe du sud. Ça n'a jamais marché et ça ne marchera pas. Que ce soit par la force comme par le pass...

le 14/07/2015 à 8:52
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C'est plus simple: les pays d'Europe du nord sont mieux gérés et sont même plus avancés au point de vue social que ceux d'Europe du sud. Cordialement

à écrit le 13/07/2015 à 19:13
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Cette affaire va coûter 16 milliards d'euros à la France a ajouter au 2100 milliards de dettes. Hollande s'agite mais ne réforme pas. En cas de hausse des taux, nous allons tous devenir grecs. Maintenant on connait la punition que nous réserve la tec...

le 13/07/2015 à 19:26
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Certes... mais ce ne sont pas les 16 milliards grecs qui y changeront grand chose.

à écrit le 13/07/2015 à 19:12
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Ce n'est pas la démocratie mais la démagogie qui a perdu dans cette affaire. Tsipras a dilapidé, sous la pression de son aile gauche, le petit capital que constituait le retour à l'excédent primaire et le léger souffle de croissance que lui avait lai...

le 13/07/2015 à 19:59
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Cher Bruno, dites-nous, que pensez-vous de Vladimir Poutine ? moi et tous les chers collègues de ce forum sommes impatients pour le savoir.

à écrit le 13/07/2015 à 19:11
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La classe politique est victorieuse. De gauche à droite, on s'attribue ce formidable accord. Les perdants, on en parle pas, c'est pas bien mais c'est comme cela : les contribuables francais, allemands,...et les jeunes grecs qui subissent les délires...

à écrit le 13/07/2015 à 19:04
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Merci pour cet article mesuré qui éclaire et dépassionne les enjeux en leur ôtant toute coloration morale. Merci pour votre quotidien qui respecte son lecteur.

à écrit le 13/07/2015 à 19:03
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Article qui me laisse particulièrement songeur. Je me suis posé quelques questions en lisant 1) si c'est une telle défaite pour les Grecs, pouquoi acceptent ils ? La vérité est qu'ils sont content de bénficier de 90 Milliards d'Euros de plus (soi...

le 13/07/2015 à 19:44
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Je n'aurais pas dit mieux. Néanmoins nous n'échapperons pas à l'abandon de créance à la Grèce, il est totalement inimaginable que celle-ci rembourse un jour, même en étalant sa dette, 250% de son PIB.

le 13/07/2015 à 20:15
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Cher Gargamelle, relisez ce petit passage en début d'article : "ainsi que le report d'un quart de son montant sur des investissements productifs (autant que la part réservée aux créanciers et moitié moins que celle réservée pour les banques)...

à écrit le 13/07/2015 à 19:00
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Lecteur très (très) occasionnel de votre site, je suis surpris de la pertinence et de la rigueur de votre analyse, surtout quand on la compare à celle des autres médias "pro-business", qui semblent avant tout exulter de la punition du peuple grec san...

à écrit le 13/07/2015 à 18:59
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Ce coup d'Etat financier décrédibilise totalement l'euro zone.

le 13/07/2015 à 19:14
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Au contraire, elle prouve à la fois sa solidité, son sérieux et son esprit de solidarité entre états.

le 13/07/2015 à 20:03
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Vous avez tout à fait raison. Il ne faut surtout pas prêter l'oreille à ces trolls enfantins qui copient et collent des commentaires d'ailleurs et sévissent ici avec l'unique but de la provocation. Ce coup d'État financier, comme vous l'avez bien dit...

à écrit le 13/07/2015 à 18:50
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ce qui est affligeant, c'est que le gouvernement de Tsipras qui n'est lié à aucune des mafias grecques (armateurs, btp, pétrole, agroalimentaire,.....) ne soit soir pas soutenu. Il est le seul depuis des dizaines d'années a ne pas être lié à la corru...

le 13/07/2015 à 23:14
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@richard Ah, bon? Et qu'a fait le gouvernement Tsipras pour lutter contre ce fléau qu'il mettait en tête de ses priorités? Rien, nada, pas le début d'une queue de réforme ni d'annonce dans ce sens depuis son élection. Ce gouvernement est incompétent...

à écrit le 13/07/2015 à 18:40
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Les premiers de la classe sont des exemples à suivre , il faut vraiment être franchouillard pour ne pas le comprendre et toujours se tourner vers les mauvais , les perdants ... le syndrome poulidor a la vie dure , pauvre France qui est en perdition d...

le 13/07/2015 à 19:16
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Ben oui, mais c'est dur de reconnaître que depuis 15 ans l'Allemagne a eu tout bon et la France tout faux.

à écrit le 13/07/2015 à 18:37
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L'article et la plupart des commentaires me font bien marre !!!! Pour moi, l'euro a été créé pour les pays modernisés ayant une industrie secondaire ou tertiaire de qualité dirigé vers l'exportation! une monnaie unique évite de devoir prendre des ass...

le 13/07/2015 à 19:21
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L'€, monnaie unique , est faite non pas pour les pays puissants (il y a dans l'€ beaucoup de pays moins riches que la Grèce et qui ne s'en sortent pas mal) mais pour les pays ayant l'habitude d'être sérieux et convenablement gérés, moyennant quoi ça ...

le 13/07/2015 à 19:24
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quant à la combine que vous proposez sur les prix touristiques, croyez-vous vraiment qu'à l'heure d'internet, elle mettra longtemps à être éventée ?

le 13/07/2015 à 19:55
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les pays qui s'en sortent le mieux dans la zone euro sont les pays ou la démographie est la plus faible. La première d'entre elle est l'Allemagne qui s'efforcent à piller les ingénieurs des pays en difficultés sans que cela ne lui coûte un centime en...

le 13/07/2015 à 21:28
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@Armand : pas vraiment, ni l'Espagne, ni l'Italie, ni la Grèce nii le Portugal ne sont d'une démographie exubérante (la natalité est même carrément anémique en Italie). Ceci étant il est tout aussi faux de croire qu'une forte démographie soit synonym...

à écrit le 13/07/2015 à 18:10
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Enfin ! Il aura fallu ce moment de vérité - libérateur en un sens - pour que tous ceux qui pensaient "qu'on pourrait toujours s'arranger avec les partenaires européens" et notamment avec l'Allemagne pour flexibiliser l'euro, sachent désormais à quoi ...

à écrit le 13/07/2015 à 18:08
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C'est très habile de la part de la chancelière, car elle fait d'une pierre deux coups, elle sait que les Grecs n'arriveront jamais à respecter les termes de l'accord, le Grexit finira tôt ou tard par arriver, mais le coup d'échec est d'avoir accéléré...

le 13/07/2015 à 18:20
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@Tomibiker Ce que vous écrivez est peut-être vrai. J'espère vivement que notre pays pourra faire partie du Club Euro et non pas de l'autre... Cordialement

le 13/07/2015 à 23:26
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@Tomibiker Absolument! La seule chance pour que l'euro survive, c'est d'en suivre les règles qui ont été acceptées à son origine. Heureusement que l'Allemagne est là pour le rappeler. Tant pis pour ceux qui ne les suivent pas, ils en subiront les...

le 14/07/2015 à 11:18
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si vous voulez réamorcer la haine entre les différents pays européen c'est une bonne stratégie en effet....

à écrit le 13/07/2015 à 18:05
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«C’est un cadeau magnifique fait en réalité aux Eurosceptiques qui auront beau jeu désormais (...) et de faire de la sortie de la zone euro la condition sine qua non d'un changement, même modéré, de politique économique» J'aime bien encore une fo...

à écrit le 13/07/2015 à 18:04
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L Europe est comme une secte facile de rentrer mais impossible d en sortir.

à écrit le 13/07/2015 à 17:40
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l'erreur stratégique de Tsipras est d'avoir joué Hollande contre Merkel ce qui a permis à Merkel de faire d'une pierre deux coups : son ministre a bien insisté sur le fait que les remarques faites à la Grèce étaient valables pour la France ....

à écrit le 13/07/2015 à 17:32
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Dans les discussions autour du cas grec, on constate distinctement une Europe du nord contre une Europe du sud, mais encore plus grave, c'est l'Europe germanique contre l'Europe latinisée, les mêmes frontières qui désignent l'Allemagne et ses vassaux...

à écrit le 13/07/2015 à 17:29
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L'euro telle qu'il a été construit est une monnaie sous évaluée pour l'économie allemande et surévaluée pour les pays du sud et la France. Face à la productivité allemande et au marketing qualité sur ses produits, les autres pays ont vu leur industri...

le 13/07/2015 à 18:11
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L'Allemagne aurait aidé l'Europe en sortant de l'Euro, il y a 4 ans. Est-ce encore souhaitable maintenant ?

à écrit le 13/07/2015 à 17:24
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Bravo M Godin. Cette "crise" (pour 2% du PIB de la zone la plus riche de la planète) aura eu le mérite de servrir de révélateur. Elle aura en effet été le révélateur de la nature profonde de l'Eurozone.

le 13/07/2015 à 17:45
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Elle a aussi été le révélateur de la nullité journalistique de Romaric Godin !

à écrit le 13/07/2015 à 17:16
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ja, nous avons encore gagné, vivement le prochain que nous allons écraser aussi. Franzozen, merci d'acheter autant du made in Germany, vous les français premiers clients de l'Allemagne. Danke Schön et a bientôt-))

à écrit le 13/07/2015 à 17:12
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Dans quelques mois quand se penchera sur tout ce qui c'est dit actuellement, on se demandera comment on aura pût dire autant de bétises et perdre autant de temps. ceux qui roulent les mécaniques actuellement seront reclassé en bisounours.

le 13/07/2015 à 21:41
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Ah, ces allemands qui envahissent le marché français avec leurs produits à l'excellent rapport qualité-prix dans tous les secteurs, y compris maintenant l'agro-alimentaire...

à écrit le 13/07/2015 à 17:11
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Les Grecs ne payaient pas leurs impôts du temps des Romains. Ils ne payaient pas non plus du temps de l'empire Ottoman. L'attitude de l'Allemagne va forcer les Grecs à changer leurs moeurs et les pays du PIGS à faire attention à leurs finances. Bravo...

le 13/07/2015 à 17:27
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vous vous souvenez de ce qui est arrivé les 2 dernières fois que la moitié de l'Europe à suivi l'allemagne ?

le 13/07/2015 à 17:52
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Combien de tour de piliers de comptoirs et beck's ingurgitées pour nous fournir une "analyse" aussi fine, carlcbilodeau?

le 13/07/2015 à 19:51
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Dans quelques années, quand l'Allemagne va imposer une cure d'austérité drastique à la France, vous serez le premier à venir pleurer... Une Europe prospère? ah bon? le chômage ne cesse d'augmenter et la pauvreté aussi!!

à écrit le 13/07/2015 à 17:07
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La défaite des utopies d'extrêmes gauches devant la réalité .... Quelques fois je me demande si en France on se rend compte de la réalité du vraie monde et de la finance. La France des bobos et des cigales....

le 13/07/2015 à 21:35
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Ne meprisez pas avec des sarcasmes de ce genre, des millions de personnes qui ont des reves et souffrent ! Parce qu'en general avec ce type de comportement arrogant et meprisant, celui-c- finit toujours par la ou il commence quand on pousse les gens...

le 14/07/2015 à 14:44
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@eclaireur qui méprise l'autre. Celui qui respecte les autres et les règles qui ont été définis ou celui qui explique qu'il ne les respecte pas et que la solution c'est de changer les règles et qu'il ne comprend pas pourquoi le premier n'est pas d'a...

le 14/07/2015 à 23:00
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Avec des commentaires aussi bas de plafond, on ne risque effectivement pas d'avancer! Vous savez ce qu'ils vous disent les bobos? Je vous laisse imaginer! Quand les bobos parlent aux réac'!

le 15/07/2015 à 10:40
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@MAR Je me demande si dans la France de 2015, Renaud pourrait écrire les mêmes chansons que dans le passé. Les bobos de gauche en effet considèrent qu'ils ont la vérité et que celle des autres est réactionnaire. Désolé je ne me reconnait pas dans ce ...

à écrit le 13/07/2015 à 16:47
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Bonne analyse, dommage que Google ni Bing actualités ne me donnent un accès direct à la Tribune. J'ajoute que le peuple grec a vraiment envie de quitter l'Europe et l'Euro, ce qui apparaît peu dans les diverses analyses de presse.

à écrit le 13/07/2015 à 16:24
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"Si la Grèce s'effondre, ce sera pareil pour le sud de l'Europe, mais aussi pour la zone euro avec des conséquences très négatives. Ce serait la fin de l'euro. Mais les dégâts ne seraient pas uniquement économiques, mais aussi sociaux, politiques, gé...

à écrit le 13/07/2015 à 16:23
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Ce n'est pas un "accord", c'est un coup de massue et cela fera réfléchir quelques uns.... Il est d'ailleurs très possible, comme je l'ai écrit par ailleurs, que cela soit un Grexit déguisé: avance immédiate d'argent pour laisser du temps pour s'or...

le 14/07/2015 à 23:07
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C'est pourtant bien l'économiste Varoufakis qui a prédit ces derniers jours ce qui s'est effectivement passé! Qui "navigue" dans le concept? Ce ne serait pas plutôt les technocrates et les ministres des Finances européens incapables d'appliquer ou de...

à écrit le 13/07/2015 à 16:22
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L'article est pertinent que l'on y adhère ou pas. On peut même en dire plus : le pouvoir manichéen de l'euro est la combine qui a bâti tout l'avenir de la zone, et la confiscation du pouvoir de représentants éliminant la démocratie, les témoins étant...

à écrit le 13/07/2015 à 16:17
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L'origine de la dette?? On n'en parle pas.. Tenez, les conditions d'aujourd'hui sont elles les mêmes qu'en 2010?? L'Allemagne, la France... la Grèce sera t elle encore obligée de leur acheter des armes contre une aide financière?? Recommenceron...

le 13/07/2015 à 17:24
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Désinformation totale. Tsipras a refusé les coupes budgétaires supplémentaires sur le budget de la défense demandées par ses créanciers. Quant à cet ancien article, il ne s'agit que de suppositions, il n'y a aucun fait, à part le fait que la Grèce ac...

le 14/07/2015 à 7:13
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On dit que ce sont des suppositions??? https://www.google.fr/webhp?sourceid=chrome-instant&ion=1&espv=2&ie=UTF-8#q=grece%20forc%C3%A9%20achet%C3%A9%20arme%20contre%20pret%202010 Non.. La Grèce a bien été obligé de le faire.

à écrit le 13/07/2015 à 16:15
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Au vue de la réponse de l'UE face au choix du référendum Grecs. Référendum qui est tout de même sensé être l'expression de la démocratie. La question désormais est de savoir comment pouvons nous sauver la démocratie en Europe... Triste régression int...

le 13/07/2015 à 21:37
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Le référendum est un outil de démagogie politique travesti en démocratie. A part pour des modifications institutionnelles majeures il devrait être interdit.

à écrit le 13/07/2015 à 16:13
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Wall Street et les Bourses européennes ont ouvert en nette hausse lundi, boostés par l'accord entre la zone euro et la Grèce pour éviter une sortie du pays de la zone euro. Et aussi encouragée par la hausse de Shanghai: le Dow Jones prenait 0,32% et ...

à écrit le 13/07/2015 à 16:12
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Si l'Europe est morte à Sarajevo...2 fois. Cette fois ci, elle est morte à Athènes. Compte tenu de la folie des exigences de l'Eurogroupe vis-à-vis de la Grèce, l'Europe va agoniser longtemps, puis mourir. L'évitement du Grexit ne durera que le temps...

le 14/07/2015 à 23:14
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Bien dit

à écrit le 13/07/2015 à 16:01
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Depuis des semaines la tribune nous soûle avec les articles de Mr Godin à propos de la Grèce.Il serait éminemment souhaitable que ce journal donne aussi la parole à des journalistes plus perspicaces et pas seulement à des idéologues dont le but n'est...

le 13/07/2015 à 16:23
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,Allez sur BFM.TV TF1 etc.. pour écouter les larbins du capitalisme. La tribune est pour l'instant le SEUL journal qui informe honnêtement ce coup d'état de l' €urope #ThisIsACoup

le 13/07/2015 à 16:42
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Si réfléchir vous donne mal à la tête, abonnez vous à Bild, votre cerveau sera au repos !

le 13/07/2015 à 16:43
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Premièrement : si ces articles vous soûlent, personne ne vous oblige à les lire. Deuxièmement : si vous voulez lire des avis "moins idéologiques" (càd de droite), il vous suffit d'aller jeter un coup d'oeil... euh... partout ailleurs en fait!

le 13/07/2015 à 19:35
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D'une, personne ne vous oblige à lire ses articles et de deux, pas sur que vous les compreniez...

à écrit le 13/07/2015 à 16:01
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Formidable de méconnaissance de l'Union europeenne !!! Typique du journaliste qui n'a jamais participé de près au fonctionnement de l'Union... Et qui calque ce qu'il croit comprendre sur son modèle interne !!! Cela vaut même pas la peine d'expliquer...

le 13/07/2015 à 16:18
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@Maduff "l'Union fonctionne sur une base consensuelle et démocratique"...Vous avez vu ça où? Il n'y a rien de plus antidémocratique que l'Europe et la base consensuelle est du type des accords passés entre mafieux. L'UE est un repaire de malfaisants...

à écrit le 13/07/2015 à 15:58
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Le titre exact serait : la défaite de la Grèce, la défaite de l'Union Européenne, la victoire de l'Allemagne...malheureusement pour TOUS les peuples de notre continent.

à écrit le 13/07/2015 à 15:56
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Et rebelotte dans quelques mois quand ils auront englouti les nouveaux fonds ! Toutefois positif pour Godin qui va pouvoir conserver son boulot à vie si on continue dans la même voie :-)

le 13/07/2015 à 16:09
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En même temps, ça devrait se calmer quand même un peu et Godin risque de s'ennuyer. Il devrait se diversifier un peu et regarder par exemple l'Espagne de près. Je crois que Podemos n'a pas encore de porte-parole en France.

à écrit le 13/07/2015 à 15:55
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C’est l’histoire d’un gaucho au pouvoir, ce qui est rare et aberrant en Europe à notre époque. Il faut une grande désorientation chez le citoyen, pour en arriver là. Le dernier en date, il y a 40 ans, était Otelo de Carvalho. Aujourd’hui le gaucho e...

le 13/07/2015 à 16:55
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Le qualificatif de gaucho est un compliment venant de quelqu'un comme vous. Je vous souhaite bien des déconvenues avec ce modèle économique et, à n'en pas douté, des gens comme vous appellerons au secours les gauchos pour sauver votre petit bas de l...

à écrit le 13/07/2015 à 15:54
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Augmenter la tva a 23% dans les iles , ca me fait doucement rigoler. Certes l'idee est pas mauvaise dans son principe, ce seront les touristes étrangers qui devraient payer, mais dans ces coins perdus avec une administration fiscale aussi nulle et un...

le 13/07/2015 à 21:49
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C'est là qu'un coup de main français à la Grèce serait le bienvenu, le fisc français étant redoutable en la matière.

à écrit le 13/07/2015 à 15:54
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@Lyonel: punitive en quoi? Le gouvernement grec DEMANDE que les citoyens Européens lui prete 80 milliards de plus, dont une partie pour recapitaliser une deuxieme fois les banques grecques. Vous vous attendiez a quoi dès lors? Vous avez plusieu...

à écrit le 13/07/2015 à 15:52
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Normalement quand les créanciers ont joué ... les pertes sont pour eux quand ça ne se passe pas bien. Dans ce cas l'argent avancé aux grecs part le lendemain pour les banques qui ont joué et perdu. ...

à écrit le 13/07/2015 à 15:45
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Espèrons pour le bien de tous que ce 3 eme plam d aide sera rejeté par les differents parlements à commencer par le parlement Grec ! Personne ne croie une seconde que la Grece pourra tenir ses promesses, se rétablir voire rembourser c...

le 13/07/2015 à 15:59
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Eh oui, voilà la Grèce aux griffes des banquiers – qui va l'arracher ? en tout cas aucun pays de l'UE, ils ont tous peur du Boss d'outre-Atlantique.

à écrit le 13/07/2015 à 15:42
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Une petite pensée au gouvernement belge (libéral et tenant de la ligne dure ce week-end) qui devra trouver 1.8milliard d'euro d'ajustement budgétaire pour cet été et qui s'est "trompé" dans ses comptes de près de 600millions en ayant été informé avan...

le 13/07/2015 à 21:56
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...d'où d'ailleurs sans doute son intransigeance. Mais rassurez vous pour le gouvernement belge, il le trouvera son 1,8 milliard.

à écrit le 13/07/2015 à 15:34
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Je pensais qu' A. Tsipras était du marbre dont on fait les statues, il est en fait de la faïence dont on fait les bidets.

à écrit le 13/07/2015 à 15:31
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Pas du tout d'accord ..! c'est une victoire pour l'Europe ...vu que Mme Angela Merkel ...a bien défendu ...les intérêts des 18 pays de l'Eurogroupe ...Hélas, ce ne fut pas le cas du président normal français....

à écrit le 13/07/2015 à 15:31
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Un accord a été conclu. Aurait-il pu être meilleur ? et meilleurs pour qui ? Ceux qui réclamaient ou ceux qui accordaient ? Il me semble en tout cas que pour les grecs c'est plus mauvais accord qui pouvait être trouvé (à part le grexit dont personne...

à écrit le 13/07/2015 à 15:27
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Pour ce qui est du sous-titre de la photo en tête de l'article "La zone euro a changé de visage ce 13 juillet.", je pense plutôt que le masque de l'euro est tombé. Mais enfin, à ce niveau là c'est du pinaillage :)

à écrit le 13/07/2015 à 15:26
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Les conditions imposées à la Grèce sont en toute évidence punitives, pour en servir d'exemple. mais pourquoi servir d'exemple ? un vrai régime démocratique n'a pas besoin de punir ceux qui ne sont pas d'accord avec certaines règles mais les comprendr...

à écrit le 13/07/2015 à 15:23
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Le fondement de la démocratie est l'Etat de droit c'est à dire le respect des lois et des contrats pris par tous. La destruction de valeur perpétrée en Grèce par Tsipras depuis sa prise de pouvoir par son absence d'action a ruiné les efforts accompl...

le 13/07/2015 à 15:40
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Les torsions systématiques au droit européen par la BCE, l'Eurogroupe, Merkel, Hollande, et j'en passe, par contre, c'est tout à fait "responsable" et "démocratique" de la part "d'un état de droit". Allons donc !

le 13/07/2015 à 15:42
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Cela promet de beaux ours pour les Français notamment les chomeurs!! le choix de Mme Merckel et autres conduisent directement à l récession!! on le voit pour la Grèce!! les retraités Allemands et autres du Nord vont pouvoir couler des jours heureux e...

le 13/07/2015 à 16:19
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"ils doivent payer et cher" 1918 => 1939 ....... Je pense qu'il n'y a rien d'autre a dire

le 13/07/2015 à 22:08
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@JeanChaumont : l'Allemagne s'est imposée une dizaine d'années d'efforts, elle a quasiment atteint le plein emploi. La cure d'austérité a été drastique au Royaume-Uni, résultat forte croissance et baisse du chômage. La cure d'austérité a aussi été sé...

à écrit le 13/07/2015 à 15:20
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La naivete de Monsieur Tsipras coûte cher aux finances et a l'economie grecs et va maintenant coûter cher aux contribuables grecs. En clair, les six mois de gouvernance de Syriza se revelent être un desastre. C'est incomprehensible que Monsieur Tsip...

le 13/07/2015 à 22:14
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La sortie non consensuelle de la zone € n'aurait pas soulagé la Grèce de sa dette, bien au contraire. Non seulement, ayant été souscrite en €, son nominal aurait explosé en monnaie locale dévaluée, mais les créanciers floués auraient été fondés à sai...

à écrit le 13/07/2015 à 15:12
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Errare humanum est , perseverare diabolicum , hollande aura qu'a allé se faire élire chez les Grecqs.

le 13/07/2015 à 15:27
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En tout cas en France ce ne sera pas le cas, du tout !

à écrit le 13/07/2015 à 15:09
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@frite: Godin raconte surtout tout et son contraire d'u narticlr sur l'autre, afin que ca colle a l'interet de sa cause a court terme. Exemple flagrant ici: selon Godin, le non pouvait servir a légitimiser un grexit voulu par tsipras... alors que ...

à écrit le 13/07/2015 à 15:09
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Bonjour & merci pour votre réaction sur la montée de la position allemande (Allemagne qui rappelons-le a tout à gagner, économiquement comme politiquement, dans l'UE actuel). Cependant les critiques portant sur la "défaite de l'Europe" me paraiss...

à écrit le 13/07/2015 à 15:06
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Qu'aurait du faire le gouvernement grec ? Refuser un accord qui lui permettra de rééchelonner sa dette donc de facto prendre la décision de quitter la zone euro en plein blocus financier et plonger encore plus profondément son pays dans l’abime ? I...

le 13/07/2015 à 22:20
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Merci surtout à Tsipras et Varoufakis d'avoir, par leur brillante démonstration par l'absurde, dissipé les dernières illusions gauchistes en Europe.

à écrit le 13/07/2015 à 15:04
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Bravo à Romaric Godin pour cet excellent article.Clarté ,limpidité , luciditê.Heureusementqu'on peut vous lire: une bouffée d'air frais dans l'atmosphère délétère des médias mainstream.

à écrit le 13/07/2015 à 15:03
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L'européisme est la troisième idéologie totalitaire née au XXème siècle après le nazisme et le communisme.

le 13/07/2015 à 18:30
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@Saint-Just je ne suis pas loin d'être d'accord avec vous bien que vous soyez un peu excessif, mais normal: n'est ce pas Saint Juste qui disait " pas de liberté pour les ennemis de la liberté". En tout cas l'Europe ne sort pas grandie de cette hist...

à écrit le 13/07/2015 à 15:02
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Merci pour cette analyse. @lusitanus : M. godin ne prétend pas proposer un programme politique, si c'était les cas il se présenterait aux élections. Non, il fait son travail de journaliste, nous décrypte cette crise afin qu'on soit capable de la c...

le 13/07/2015 à 15:39
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@frite: au Portugal ce type d'articles existaient avant 1928, sont nombreux depuis le 25 avril 1974, et se caractérisent toujours par un syndrome que l'on peut qualifier de celui des «esprits de contradiction», voire, quand cela est grave, des «casse...

à écrit le 13/07/2015 à 14:53
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de hollande on en a marre et de payer pour la grece aussi qui ne tiendront pas leurs engagements ce qu'ils font depuis 20 ans!!!

le 13/07/2015 à 15:05
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le coup d etat financier peut il durer ,? dubitatif

le 13/07/2015 à 15:25
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Les Grecs ont tenu les engagements, en l'occurrence dégager des excédents primaires, certes faibles, mais ils sont bien présents. Par contre, l'UE n'a pas tenu les siens, puisqu'elle s'était engagée à réviser la dette si la Grèce dégageait les exc...

à écrit le 13/07/2015 à 14:52
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ma lettre à la Commission européenne du 3 Avril dernier disait : "Beaucoup des textes joints ont été adressés à la BCE dont je conteste la politique de Q/E qui ne répond pas à l'insuffisance de la demande, justifiant la frilosité des banques. Ce qui...

le 14/07/2015 à 8:32
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Vous intégrez l'énergie dans votre raisonnement et vous aurez raison: travail, capital, énergie. Merci.

à écrit le 13/07/2015 à 14:50
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Le temps n'est plus loin où l'on verra des "nazis raus" sur les voitures allemandes dans certains pays. Quel bel idéal que l'Europe des peuples!

le 13/07/2015 à 22:26
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Ceux qui commettraient ce genre de conneries monstrueuses devraient être punis avec une extrême sévérité. Depuis la fin de la seconde guerre mondiale l'Allemagne est à tous égards exemplaire et à beaucoup d'égards c'est un pays bien plus démocratique...

à écrit le 13/07/2015 à 14:49
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Quel article idéologique et si peu économique ! Les Allemands ne veulent pas payer pour les autres et le peuple européen est un mythe. L'euro fut une erreur historique dès sa conception. Les contribuables français paieraient-ils pour les retraités al...

le 13/07/2015 à 22:33
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Du plan de 85 milliards c'est l'Allemagne qui, bon gré mal gré, paiera la plus grosse part. Ce que les allemands ne veulent pas c'est verser de l'eau sur le sable. Et on les comprend. La réunification, ils se la sont payée eux-même, personne ne les ...

à écrit le 13/07/2015 à 14:48
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On rappellera a l'auteur que, c'est le gouverneemnt Tsipras qui a demandé non plus 7.5 milliards de reliquat du 2eme plan d'aide, mais un nouveau plan sur 3 ans de 80 milliards! Et que c'est également le gouvernement Tsipras qui a demandé aux citoyen...

à écrit le 13/07/2015 à 14:47
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La défaite de la Grèce ne date pas d'aujourd'hui, elle ne fait que récolter ce qu'elle n'a pas semé préférant manger le grain plutôt que, comme disait l'autre, " travaillez, prenez de la peine, c'est le fond qui manque le moins" et maintenant c'étaie...

à écrit le 13/07/2015 à 14:47
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La défaite est le maintien de la Grèce en Europe et la ponction supp!dentaire de 100 milliards sur les contribuables !

à écrit le 13/07/2015 à 14:46
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Félicitations pour vos articles ! Vous êtes un des rares journalistes français a a voir un point de vue objectif! et pertinent !

à écrit le 13/07/2015 à 14:45
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@Romaric Godin: Vous dites: "le « non » au référendum avait été une contre-offensive qui, compte tenu du résultat, pouvait donner un mandat implicite au premier ministre pour réaliser le Grexit." ----> C'est faux, puisque Tsipras et l'ensemble ...

le 14/07/2015 à 23:51
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Tu ne comprends toujours rien toi! Ben effectivement que le NON aurait pu être interprété comme vouloir réaliser le Grexit, c'est d'ailleurs comme ça que les créanciers le présentaient. Mais la position officielle du gouvernement grec était de s'e...

à écrit le 13/07/2015 à 14:44
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Mr Godin, vos analyses partisanes vous rendent lentement mais inexorablement inaudible...

le 13/07/2015 à 17:22
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vous préférez les "analyses" en mode "copier/coller" de lemonde.fr et autres torchons ?

à écrit le 13/07/2015 à 14:41
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Excellent article, bravo

à écrit le 13/07/2015 à 14:40
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A vous lire, à part les classiques rengaines anti-allemandes, je ne relève aucune ligne de pensée, voire une petite idée, de ce que pourrait être mis en place alternativement pour à la fois viabiliser la nation grecque et préserver les intérêts europ...

le 13/07/2015 à 15:27
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Seul le résultat compte, et le résultat est que les grecques pourront manger et vivre normalement (endettés certes, comme les Portugais, les Français, etc...)! Vous croyez vraiment à cette bêtise? Ils vont encore plus souffrir que maintenant. C'est...

le 13/07/2015 à 22:37
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Comme l'aurait dit la regrettée Margaret Thatcher, pour le cas grec There Is No Alternative. L'accord n'est peut être pas bon, mais toute autre tentative aurait été cataclysmique pour les grecs qui auraient été brutalement rejetés dans le tiers-monde...

à écrit le 13/07/2015 à 14:37
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De toute manière, à partir du moment où 75% du peuple grec voulait rester dans la zone euro, Tsipras n'aurait guère joué la même stratégie plus longtemps. De plus, il a agi seul: aucun autre gouvernement allié ne l'a réellement épaulé. Néanmoins, je...

le 13/07/2015 à 18:16
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avec le non au referendum le peuple a justement montré qu'ils etaient murs pour une sortie de l'euro, si elle était inevitable (et si l'alternative n'était pas de se couper un bras). espérons que ce soit une stratégie pour se remettre un peu sur pi...

à écrit le 13/07/2015 à 14:28
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Un seul perdant dans l'affaire : le peuple Grecque, qui a cru en un parti leurre qui en fait n'était là que pour mieux servir les intérêts des Allemands. Le peuple va donc devoir reprendre lui-même les choses en mains et ça risque de faire mal, très...

le 13/07/2015 à 16:02
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La mondialisation est totalitaire, imposée de force aux peuples. C'est un régime soviétique qui est installé progressivement sur toute la planète. L'uniforme militaire est simplement remplacé par le costume-cravate.

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