Le PIB grec chute de 6,2% au deuxième trimestre

La Grèce enregistre un recul de 6,2% du PIB au deuxième trimestre selon une estimation du bureau des statistiques.
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En Grèce, la récession ralentit, mais très faiblement. Le produit intérieur du pays s'est en effet contracté de 6,2% sur un an au deuxième trimestre contre 6,5% au trimestre précédent, selon les premières estimations publiées ce lundi par l'autorité des statistiques grecques.

Aucune amélioration probante ne semble en vue à court terme. La Banque de Grèce table sur un recul du PIB de 4,5% après - 6,9% l'an dernier. Il s'agirait de la cinquième année sans croissance pour le pays. Le taux de chômage à explosé, atteignant près de 24%. 

Cette situation rend d'autant plus difficile le remboursement de sa dette. Or, les plans de rigueur adoptés en contrepartie des aides internationales qui lui ont été accordé semblent freiner son expansion. Une mission de la Troïka (UE-BCE-FMI) est toujours en cours dans le pays qui vise à évaluer la mise en oeuvre de ces plans de restriction budgétaires. 

 

Commentaires 20
à écrit le 13/08/2012 à 17:42
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dans le meme ordre d idee la GRECE sert de laboratoire pour les economistes qui essaient maintes formules pour sauver le model capitaliste liberal,ces memes economistes qui nous ont tous mis dans ses situations dramatiques ,ils sont d autant pitoyabl...

à écrit le 13/08/2012 à 16:41
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Bravo le vinking pour votre commentaire. C'est exactement ce que je pense ... Vous pouvez y mettre dedans les "alternatives" comme Melenchon ou le Pen avec l'un ayant validé toutes les incohérences de ces derniers 30 ans et l'autre allant à la gamell...

à écrit le 13/08/2012 à 16:32
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Quelle rapport avec l?austérité grecque et le pragmatisme qui devrait s'appliquer en France? En France (rappels): -les fonctionnaires prennent 60% des recettes alors qu'ils ne représentent que 12% de la population - les retraites des fonctionnaires r...

à écrit le 13/08/2012 à 16:24
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YURF ET SQUER , quand vous aurez enfin compris - ou admis - que la " gauche " et la " droite " sont les deux mains nuisibles d ' une seule et meme tete , et que cette tete se sert alternativement de l ' une ou de l ' autre de ses mains pour ruiner ...

à écrit le 13/08/2012 à 16:18
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Pour mettre tout le monde d'accord sur les risques ou non de la sortie de l'euro, laissons la Grèce quitter l'euro mais gardons là dans l'europe (ce qui est contraire au traité). Wait and see ! Chacun sera départagé et toutes les certitudes des écono...

à écrit le 13/08/2012 à 16:15
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Les grecs ont des politiques encore plus irresponsables que les nôtres. J'ai appris que l'eau allait se privatiser, par contre les décisions courageuses : lois contre la corruption, système informatique comme l'Italie, taxation des armateurs, etc se ...

à écrit le 13/08/2012 à 15:51
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On vous l'avait pourtant bien dit depuis longtemps : à force de vouloir tondre en permanence les moutons, les mâles finissent par se geler les claouis et devenir stériles.

à écrit le 13/08/2012 à 15:44
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l'austérité comme seule solution fait penser aux médecins de Molière qui pratiquaient la saignée comme seul remède

à écrit le 13/08/2012 à 15:32
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Point grave c'est le voisin qui va payer (la générosité socialiste va passer par là rassurez-vous) du moins ....jusqu'à la chute finale et tant espérée de cette europe maudite

à écrit le 13/08/2012 à 15:27
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Les politiques d'austerité inhumaines infligées à la Grèce sont comme prévu parfaitement inefficaces : le PIB grec plonge à -6,2%

à écrit le 13/08/2012 à 15:17
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Et après la Grèce, ce sera l'Espagne, et l'UE explosera avant que la bombe à fragmentation n'atteigne l'Italie. G-S et consors et autres spéculateurs auront gagné beaucoup d'argent sur le dos des peuples et préparé la prochaine guerre où les mêmes ga...

à écrit le 13/08/2012 à 15:10
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Point n'est besoin d'être prix nobel d'éco : aucune surprise dans ce résultat ! La chute a commencé quand G-S a aidé la Grèce à trafiquer ses comptes pour pouvoir entrer dans l'Euro. C'était le cheval de Troie de la finance, pour détruire le système.

à écrit le 13/08/2012 à 14:40
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voila ou mene 30 ans de socialisme

à écrit le 13/08/2012 à 14:39
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Ah la Grèce ah l'Espagne ah l'Italie ah l'Irlande ah la Lettonie notre nouvelle frontière et oui c'est loin la Lettonie ah ah ah c'est beau l'euro cet ogre qui dévore tout sur son passage. Nous donnons tous notre point de vue malgré cela rien n'y fer...

à écrit le 13/08/2012 à 14:00
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Le problème de la Grèce (mais qui s'applique à l'Espagne), c'est que le remède qu'on lui administre est pire que le mal dont elle souffre ... Le problème c'est qu'avec une industrie inexistante (moins de 6% du PIB), même si elle sortait de l'euro et...

à écrit le 13/08/2012 à 13:58
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ce fut une erreur, l'entrée de la Grèce dans l'euro. leur économie n'était pas compatible avec leurs autres économies européennes. la solution sortie de l'euro, dévaluation massive de leurs monnaie. Et tout miser sur le tourisme pour faire rentrer de...

à écrit le 13/08/2012 à 13:54
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Le plus urgent pour la Grèce: se réformer et construire un état digne ce nom.

à écrit le 13/08/2012 à 13:08
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Dans ces 6,5% de diminution du PIB, quel pourcentage est attribuable aux intérêts de la dette ?

à écrit le 13/08/2012 à 12:59
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Mon dieu, quel scoop, ce n'était pas prévisible, du tout. Bien sur il n'y a qu'une solution: plus d'austérité. C'est bien connu, il y a que ça qui marche....

à écrit le 13/08/2012 à 12:33
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La croissance, c'est pour les vieux ! C'est un vieux concept esclavagiste.

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