L'Île de France fait partie des régions dynamiques où on peut investir sans risque dans l'immobilier. Les grandes entreprises françaises s'y concentrent, elle produit près d'un tiers du PIB du pays, et elle accueille également près d'un tiers des étudiants de l'enseignement supérieur du pays. Plus de la moitié du trafic aérien du pays s'y passe. Sans parler de ses transports en commun et de son réseau routier performant.

Même sans habiter son logement, qui voudrait investir dans l'immobilier neuf en Île de France est assuré de pouvoir louer son bien très vite et avec facilité.

Pourquoi investir dans l'immobilier neuf en Île de France

Investir dans l'immobilier neuf en Île de France offre de nombreux avantages.

• Les prix d'abord, à un prix moyen de 6.000 euros/m². Mais ils sont très variables selon les départements de la région, et les différents secteurs.
• C'est le bénéfice des garanties constructeur pendant 10 ans.
• Une garantie revente peut aussi sécuriser l'investissement.
• Des frais de notaire réduits (2 à 3 % du prix d'acquisition, contre 7 à 8 % dans l'ancien).
• Une économie sur la taxe foncière pendant 2 ans.
• Un taux de TVA réduit (sous condition).
• Des prêts aidés pour les primo-accédants.
• En investissement locatif, l'immobilier neuf ouvre droit à des avantages fiscaux (loi Pinel et le dispositif Censi-Bouvard).

Des programmes immobiliers en Île de France pour des logements performants au plan énergétique

De nombreux programmes immobiliers en Île de France sont en cours ou prévus. Ils sont la garantie d'investir dans un logement très bien isolé sur les plans acoustique et thermique, et performants sur le plan énergétique.

C'était déjà le cas avec les logements construits ces dernières années dans le respect de la norme RT 2012. La nouvelle réglementation dite RE 2020 promet encore plus d'efficacité. Elle sera plus exigeante en particulier sur la performance de l'isolation. Elle améliorera encore plus la performance énergétique des bâtiments neufs en leur permettant d'être passifs en consommation, voire positifs (c'est-à-dire qui produisent plus d'énergie qu'ils n'en consomment).

Alors qu'elle devait entrer en vigueur en ce début d'année 2021, elle est finalement repoussée de quelques mois, à l'été prochain, à cause de la crise sanitaire.