Brexit : un premier sommet européen à 27 mercredi, sans Cameron

Les Britanniques ont voté à 52% pour une sortie de l'Union européenne (Brexit), à l'issue d'un référendum historique. Suivez en direct, sur notre site, le déroulé des événements et les réactions tout au long de la journée.
Le président du Conseil européen Donald Tusk a convoqué un sommet sans Cameron pour discuter du Brexit.

Le regard de La Tribune sur le Brexit

Voici une sélection des articles publiés ce matin sur le sujet :

A consulter également, notre dossier spécial Brexit.

18h30 : Les Bourses européennes clôturent en nette baisse

La Bourse de Paris a terminé sur un plongeon de 8,04% : l'indice CAC 40 a perdu 359,17 points à 4.106,73 points, dans un volume d'échanges exceptionnellement élevé de 11,7 milliards d'euros.

Effaçant d'un trait tous ses gains de la semaine, Francfort a ainsi lâché 6,82%, sa pire séance depuis la crise de 2008, Milan 12,48%, quant à Madrid, l'indice vedette a chuté de 12,35%, sa plus forte baisse historique. La dernière plus forte chute, de 9,14%, remontait à octobre 2008, selon un porte-parole de la Bourse de Madrid.

Dans ce paysage, Londres s'en sort moins mal qu'attendu, avec une baisse du FTSE-100 limitée à 3,15%. L'indice a même gagné 1,95% sur la semaine.

18h15 : Le président du Conseil européen convoque un sommet sans Cameron pour discuter du Brexit

Le président du Conseil européen, Donald Tusk, réunira comme prévu dès mercredi un premier sommet à Vingt-Sept, sans le Britannique David Cameron, pour discuter du Brexit, a-t-on appris de source européenne. Ce format à 27 sera amené à se reproduire dans les mois à venir, le pays demandant à quitter l'UE ne pouvant participer aux délibérations liées à son départ.

La veille, le Premier ministre britannique aura participé à un sommet des Vingt-Huit à Bruxelles.

     | Lire A Bruxelles, une journée très particulière

18h10 : Michel Sapin se veut rassurant sur la croissance française

Le ministre des Finances a estimé vendredi qu'il n'y avait "pas d'inquiétude particulière" à avoir pour la croissance française, malgré la victoire des partisans d'une sortie de l'Union européenne au Royaume-Uni.

"Il faut rester extrêmement attentif mais aujourd'hui, je n'ai pas d'inquiétude particulière" pour la croissance de l'économie française, a estimé Michel Sapin lors d'une conférence de presse, estimant que "les moteurs internes" de la reprise, à savoir la consommation des ménages et l'investissement des entreprises, restaient "allumés".

     | Lire Le chômage repart à la hausse en mai (+0,3%)

18h00 : Les traités sur l'immigration entre la France et le Royaume-Uni ne changeront pas

La sortie de la Grande-Bretagne de l'Union européenne n'entraînera pas de modification des traités bilatéraux franco-britanniques sur l'immigration, a déclaré vendredi le porte-parole du gouvernement français, Stéphane Le Foll.

Le président Les Républicains de la région Hauts-de-France, Xavier Bertrand, qui doit notamment gérer l'afflux à Calais de migrants désireux de passer au Royaume-Uni, avait auparavant demandé au gouvernement de dénoncer le traité du Touquet. Ce traité conclu en 2003 prévoit le contrôle sur le sol français des personnes désireuses d'aller au Royaume-Uni avant leur embarquement, ce qui déplace de facto du côté français le contrôle de la frontière britannique.

17h00 : EDF pas inquiet pour le projet de centrale Hinkley Point

DF a confirmé vendredi que le projet d'EPR de Hinkley Point au Royaume-Uni se poursuivrait malgré la victoire du Brexit au référendum qui s'est tenu la veille outre-Manche.

"Au jour d'aujourd'hui, nous pensons que ce vote n'a pas d'impact sur notre stratégie", a déclaré le PDG, Jean-Bernard Lévy, selon une transcription transmise à Londres par la filiale britannique du groupe.

Interrogé sur le projet d'Hinkley Point, il a renvoyé aux déclarations du ministre britannique de l'Energie, qui a fait état de son soutien à l'énergie nucléaire afin de décarboner le mix énergétique du pays.

16h45 : 1,68 milliards de dollars de réduction budgétaire pour le Mexique

Le gouvernement mexicain a annoncé vendredi une réduction de dépenses budgétaires pour atteindre ses objectifs budgétaires à la suite du Brexit.

"Nous avons entamé une seconde réduction de dépenses budgétaires portant uniquement sur le budget fédéral, qui ne concerne pas l'entreprise étatique Petróleos Mexicanos, et s'élève à 31,715 milliards de pesos" (1,680 milliard de dollars, spot 1,531 milliard d'euros), a indiqué le ministre des Finances Luis Videgaray.

16h00 : Pas de changement de relations entre Londres et Washington

"Le peuple du Royaume-Uni a parlé et nous respectons sa décision", a dit Barack Obama dans un communiqué.

Le président des États-Unis, qui s'était dit en faveur du camp du "in", a affirmé que "la relation spéciale entre les Etats-Unis et le Royaume-Uni est immuable, et l'appartenance du Royaume-Uni à l'Otan demeure une pierre angulaire vitale de la politique économique, étrangère et de sécurité des Etats-Unis". Il a ajouté que cela était aussi le cas de la relation entre Washington et l'Union européenne.

     | Lire Obama s'invite dans le débat sur le Brexit

15h45 : Les Bourses américaines chutent à l'ouverture

Le recul est toutefois un peu moins marqué à Wall Street qu'en Europe. L'indice Dow Jones perd 495,40 points, soit 2,75%, à 17.515,67 après un peu moins de dix minutes de cotations. Le Standard & Poor's 500, plus large, recule de 2,68% à 2.056,72 et le Nasdaq Composite cède 3,27% à 4.749,39.

"Cela va être une journée effrayante", prédit Brad McMillan, responsable de l'investissement chez Commonwealth Financial.

À l'image de leurs consœurs européennes, les grandes banques américains souffrent particulièrement : les titres Goldman Sachs, Morgan Stanley, JPMorgan Chase, Bank of America et Citigroup perdent entre 4,80% et 7,76% dans les premiers échanges. L'indice sectoriel des banques chute de 3,91%.

15h30 : Le FMI souhaite une transition "en douceur"

La directrice générale du FMI, Christine Lagarde, a exhorté vendredi l'Union européenne et la Grande-Bretagne à assurer ensemble une "transition en douceur" vers une nouvelle relation économique après la victoire du "Brexit".

"Nous exhortons les autorités au Royaume-Uni et en Europe à collaborer ensemble pour assurer une transition en douceur vers une nouvelle relation économique (...), notamment en clarifiant les procédures et les objectifs généraux qui guideront ce processus", a déclaré la dirigeante dans un communiqué.

14h30 : Le G7, sur le qui-vive, scrute les marchés

Les ministres des Finances et présidents des banques centrales du G7 ont mis en garde vendredi contre les conséquences qu'aura le "non" britannique sur la stabilité économique des mouvements de change.

"Nous reconnaissons que la volatilité excessive et les mouvements désordonnés des taux de change peuvent avoir des effets néfastes pour la stabilité économique et financière", ont-ils déclaré dans un communiqué publié au Japon, qui préside actuellement le G7, à l'issue d'une conférence téléphonique

Ils ont ajouté que l'économie et le secteur financiers britanniques restaient résistants et affirmé leur confiance dans les autorités britanniques pour faire face aux conséquences du référendum.

13h30 : Merkel appelle à ne pas prendre de "décisions précipitées"

La chancelière allemande a estimé que la victoire du "out" est un revers pour l'intégration européenne. Elle a appelé à "analyser la situation calmement et ne pas prendre de décisions précipitées", soulignant que "l'Allemagne a un intérêt particulier et une responsabilité particulière à faire en sorte que l'unité européenne soit un succès".

13h : François Hollande estime que le Brexit "met gravement l'Europe à l'épreuve"

Le président de la République assure que "l'Europe ne peut plus faire comme avant (...). Elle doit montrer dans ces circonstances sa solidité et sa force (...) Le danger est immense face aux extrémismes et aux populismes (...) L'Europe est une grande idée et pas seulement un grand marché". François Hollande devrait se rendre lundi à Berlin pour une réunion avec Angela Merkel, Donald Tusk (président du Conseil européen) et Matteo Renzi, premier ministre italien.

12h15: L'UE demande au Royaume-Uni de lancer la procédure de sortie "dès que possible"

Dans un communiqué commun, Donald Tusk (président du Conseil européen), Jean-Claude Juncker (Commission) et Martin Schulz (Parlement européen) déclarent : "Nous attendons maintenant que le gouvernement du Royaume-Uni rende effective cette décision du peuple britannique dès que possible (...) Nous nous tenons prêts à lancer les négociations".

12h10 : Le maire de Londres cherche à calmer les entreprises

Sadiq Khan a demandé aux entreprises de "ne pas paniquer" et il a assuré que Londres resterait "le meilleur endroit au monde pour faire des affaires". Dès vendredi matin, la banque américaine JP Morgan, qui emploie 16.000 personnes au Royaume-Uni a prévenu qu'elle pourrait déplacer des emplois dans d'autres pays.

11h10 : Les banques s'effondrent en Bourse

De nombreux établissements se retrouvent affectés par le résultat du référendum. Ce matin, la Deutsche Bank s'effondrait ainsi de plus de 16%, tout comme BNP Paribas, tandis que Société Générale décrochait de plus de 25%. Les investisseurs sont surtout inquiets de l'impact de la chute de la livre sterling sur les bilans des banques.

10h35 : Valérie Pécresse veut accueillir les entreprises ayant leur siège à Londres

La présidente de la région Île-de-France Valérie Pécresse a assuré ce matin sur LCI que sa région était "prête à accueillir" les entreprises ayant leur siège à Londres et souhaitant rester dans l'UE. "On n'est pas des charognards", a-t-elle ajouté, mais "si nous ne sommes pas prêts, ils iront à Dublin ou New-York".

10h30 : Le résumé de la matinée

  • Le "Brexit" l'a emporté avec 51,9% des suffrages
  • David Cameron, le Premier ministre, a annoncé sa démission d'ici trois mois

10h25: Un conseil des ministres extraordinaire convoqué cet après-midi à l'Elysée

François Hollande va réunir ses ministres cet après-midi, après une première réunion ce vendredi matin avec notamment le ministre des Affaires étrangères Jean-Marc Ayrault et Stéphane Le Foll (porte-parole, ministre de l'Agriculture).

9h58: Les Bourses européennes chutent lourdement, la BoE se dit prête à soutenir les marchés

Après l'annonce du résultat du référendum, les marchés sont dans le rouge. La Bourse de Madrid plonge de 12% à l'ouverture, la Bourse d'Athènes perd près de 15%. A 7h32 GMT, le Dax lâchait plus de 8%. La BoE (Bank of England) s'est dit prête à injecter 326 milliards d'euros de fonds additionnels pour assurer des liquidités suffisantes au fonctionnement des marchés.

9h30 : David Cameron annonce qu'il va démissionner

Le Premier ministre britannique David Cameron, qui avait fait campagne pour rester dans l'UE, vient d'annoncer qu'il allait démissionner d'ici 3 mois, estimant qu'un autre chef de gouvernement aura la charge d'entamer les négociations pour sortir de l'UE.

9h20 : Le Brexit : une défaite de l'UE telle qu'elle est

Pour notre journaliste Romaric Godin, "La victoire du camp opposé à l'UE dans le référendum britannique montre une incapacité de l'UE à convaincre les populations de son utilité et de sa nature démocratique". Son analyse est à lire ici.

9h10 : les Unes de la presse britannique

Le Brexit est évidemment l'événement majeur de ce vendredi et truste les Unes de la presse du Royaume-Uni : c'est à découvrir ici.

08h28 : le Nikkei s'effondre de 7,92% en clôture

L'indice Nikkei de la Bourse de Tokyo a plongé de 7,92% vendredi à la clôture, les investisseurs cédant à la panique après la décision des Britanniques de quitter l'Union européenne, un choc pour eux comparable à la faillite de la banque Lehman Brothers en 2008.

08h11 : Le Brexit l'emporte avec 51,9% des voix (résultats définitifs)

07h40 : premières réactions politiques après la victoire du "Leave"

En France, François Hollande s'exprimera  après une réunion ministérielle prévue à 9H00, selon un communiqué de l'Elysée.

Sur BFMTV, Florian Philippot, vice-président du Front National et député européen s'est dit "heureux" de l'issue de ce scrutin. Il demande "un référendum en France".

Aux Pays-Bas, le député d'extrême droite néerlandais Geert Wilders réclame un référendum sur une éventuelle sortie des Pays-Bas de l'Union européenne (UE). "Les Néerlandais ont le droit à un référendum aussi. Le Parti pour la liberté (PVV) demande ainsi un référendum sur un Nexit, une sortie néerlandaise de l'UE", a-t-il déclaré dans un communiqué.

07h15 : chute de la livre, à son plus bas niveau depuis 1985

La livre britannique a chuté à 1,33 dollar vendredi, perdant plus de 10% sur la journée, alors que le Brexit était donné en tête selon les projections de la BBC et de Sky News.Vers 03H45 GMT (05H50 à Paris),  la monnaie britannique a dévissé à 1,3305 dollar, après avoir touché un peu plus tôt son plus bas niveau depuis 1985, selon les annales de l'agence financière Bloomberg. Parallèlement, et avant même que l'annonce soit officielle, le yen, valeur refuge, flambait: le dollar chutait à 99,04 yens, du jamais vu depuis novembre 2013, contre 106,84 yens auparavant, et l'euro à 109,60 yens, contre 122,01 yens.

Dans le même temps, l'or a bondi à son plus haut niveau. Vers 03H50 GMT, le cours de l'once de métal jaune est monté à 1.359,08 dollars, son niveau le plus fort depuis le 19 mars 2014, un bond d'environ 8% par rapport au début des échanges asiatiques, avant de s'installer autour de 1.330 dollars.

"L'or s'envole alors que les investisseurs se ruent vers la sécurité relative" que représente le métal jaune à leurs yeux, a commenté Joe Rundle, courtier chez ETX Capital.

07h00 : panique sur les marchés asiatiques, Hong Kong plonge de plus de 5%

Sur le front des indices boursiers, la Bourse de Tokyo, première grande place financière à ouvrir après la fermeture des bureaux de vote, a d'abord démarré sur des gains modérés avant de soudainement changer de cap une heure plus tard, plongeant de plus de 5% à la reprise de la mi-journée. Ailleurs dans la région Asie-Pacifique, Hong Kong abandonnait plus de 3%, idem pour Sydney, Séoul lâchait plus de 2% et Shanghai 0,90%.

06h45 : victoire du camp du "Leave"

Après dépouillement dans 349 des 382 des centres, 51,9% des électeurs ont voté pour le Brexit à l'issue du référendum marqué par une participation importante (72,2%) selon les données officielles. La participation au scrutin a été forte, avec 72,2% selon le chiffre officiel.

Les dirigeants européens ont prévu de se réunir dans la matinée vendredi à Bruxelles pour tirer les leçons de ce vote. Le président français François Hollande a promis que des initiatives seraient prises "quoi qu'il se passe" pour faire "évoluer la construction européenne".

(avec AFP et Reuters)

Sujets les + lus

|

Sujets les + commentés

Commentaires 124
à écrit le 25/06/2016 à 11:28
Signaler
Pourquoi nous ne sommes pas capable de faire l'analyse de ce qui vient de se passer. Les causes profondes que la plupart des européens partagent, sont; Une europe technocratique qui ne s'interesse qu'aux banques et à sauver le système financier (Junc...

le 25/06/2016 à 15:33
Signaler
Votre commentaire semblait intéressant mais vous avez stupidement dérapé sur l'immigration car les migrants ne demandent la France et la convocation du Président . Je n'apprécie pas le Président pour sa gouvernance et plus particulièrement économique...

le 26/06/2016 à 20:57
Signaler
N'est-ce pas un mal qu'ils enlèvent le pied qu'il avaient dans la barque ? Mais en renégociant les accords (ça demande beaucoup d'énergie vu l'intrication profonde) pour continuer de façon un peu détachée. Seul le commerce et le business les intéres...

à écrit le 25/06/2016 à 9:22
Signaler
A titre personnel je suis heureux de cette décision anglaise qui pourrait mettre ENFIN les dirigeants des autres pays de l’Union face à leur contradiction sur un mieux pour les citoyens alors que la réalité sociale est contraire à ces discours. Les ...

à écrit le 25/06/2016 à 5:31
Signaler
l'europe doit envoyer un signal fort:remplaçons la Grande Bretagne par la Turquie dans l'europe,nous avons tous a y gagner

le 25/06/2016 à 18:08
Signaler
Vous, au moins, vous ne vous embarrassez pas de fausse pudeur pour prôner "ni vu ni connu" le Frexit !

le 27/06/2016 à 11:24
Signaler
L'UE a eu tort de ne pas inclure ses racines chrétiennes dans ses textes fondamentaux. Très clairement, l'Ukraine, la Georgie, l'Arménie et même la Russie y ont bien plus leur place que la Turquie. C'est surtout du délitement de son identité culturel...

à écrit le 25/06/2016 à 0:36
Signaler
Je constate que ni Cameron (qui déserte après avoir mené son pays dans l'ornière) ni Johnson ne semblent pressés d'enclencher le mécanisme de sortie de l'UE de l'article 50 du TUE. La raison est simple, ils ne savent pas comment faire pour que ça ne ...

à écrit le 24/06/2016 à 21:04
Signaler
Messieurs le anglais vous avez tiré les premiers! Beaucoup avaient pensé au Grexit first, mais les anglais sont surprenant. L'UE a du plomb dans l'aile mais pas l'Europe. Il faudra reconstruire l'Europe avec des pays et des gens sérieux qui on...

à écrit le 24/06/2016 à 20:52
Signaler
Non ce ne peut pas être un "sommet européen", financé par des fonds de l'Union européenne : la Grande Bretagne est toujours membre à part entière de l'Union Européenne, même si un processus a été politiquement engagé dans ce pays (sans que l'article ...

à écrit le 24/06/2016 à 20:29
Signaler
Il fallait s'y attendre ce sont biens les milieux spéculatifs et boursiers qui provoquent le plus grand trouble ; le temps que tout ce monde trouve d'autres repères. Cependant nous venons bien d'assister à une journée mémorable. Mémorable et heureuse...

à écrit le 24/06/2016 à 20:05
Signaler
Sans Cameron ! Encore heureux !

à écrit le 24/06/2016 à 19:01
Signaler
Le Breexit et les 300 000 Français de Londres qui veulent rentrer en France pour toucher le chômage et se faire soigner avec leur carte vitale .... Ca tombe mal pour Hollande qui va voir le nombre de chômeur augmenter des 300 000 rescapés de Londr...

le 26/06/2016 à 21:06
Signaler
Patience !! Il y a deux ans pour conclure des accords nouveaux avec la GB "out". Ne paniquez pas. Les marchés sont inquiets, instabilité en vue, pour 24 mois au minimum, mais le reste doit se discuter. Les 20% de banquiers français installés à Londr...

à écrit le 24/06/2016 à 18:52
Signaler
On pensait que la Grèce en serai sorti! Puis spéculé que l'Allemagne mécontente nous imposerai leur sorti si....! Mais la G.B., qui est resté a la porte sans y pénétrer, a oser faire demi-tour voyant le bazars que c'était!

à écrit le 24/06/2016 à 17:38
Signaler
Celui-là devrait avoir la décence de s' occuper de ses pôvres ..!!!

à écrit le 24/06/2016 à 16:21
Signaler
Un pacte d'européen permettant moyennant finance de vivre le rêve européen. Comme disait Drahi, l'expert en salarié machine à laver, il va sortir la garantie Darty pour faire revenir la confiance.

à écrit le 24/06/2016 à 16:05
Signaler
Et le socialisme met gravement la France à l'épreuve, lui répondit l'écho.

le 24/06/2016 à 16:34
Signaler
Et heureusement que les pseudo-libéraux (mais vrais corporatistes et rentiers) LR ont laissé un déficit public de 5.2 % du PIB en 2011, alors que l'Allemagne avait 1 % de déficit. Alors même que la FRANCE avait un déficit du PIB de 1.6 % en 2001, co...

le 24/06/2016 à 19:58
Signaler
René MONTI Et les tours de passes comptables sur les OTA pour faire passer la dette française sous les 3% du PIB, les magouilles comptables dans la région Poitou, et la tambouille comptable de la ville de Paris vous ne les citez pas. leurs auteurs.

à écrit le 24/06/2016 à 16:00
Signaler
La Grande Bretagne "libérée", maintenant il va falloir libérer l' Ecosse...On verra si le leader de cette liberté restera aussi libéral sur ce dossier! On peut se demander également si l'Allemagne a l'Europe chevillée au corps, pas si sûr. Son inté...

le 24/06/2016 à 17:17
Signaler
je partage a peu pres le diagnostique, a qques nuances pres l'allemagne regrette le mark c'est sur, apres elle a bcp plus de debouchees et regle ses pbs de vieillissements de population en mettant ses usines en pologne, tchequie, etc... son gros pb...

à écrit le 24/06/2016 à 15:45
Signaler
Le Brexit est finalement devenu une réalité. Mais, avant même que les Britanniques ne choisissent de quitter l'UE, les experts de BFM Business dédramatisaient les conséquences économiques. Jacques Sapir, professeur à l'EHESS, considère ainsi qu'il y ...

à écrit le 24/06/2016 à 15:41
Signaler
le "hollandégage" c'est pour quand ?

à écrit le 24/06/2016 à 15:35
Signaler
Forcement c'est moins facile, maintenant, pour les "élites"!

le 24/06/2016 à 16:37
Signaler
et en quoi? en revanche pour les britanniques qui perdent du pouvoir d'achat avec la livre qui dévisse, s'est effectivement plus difficile. mais ça a du vous echappé.

le 24/06/2016 à 18:58
Signaler
Désolé d'avoir vexé un élites!

à écrit le 24/06/2016 à 15:27
Signaler
Tiré de sa torpeur calculatrice, par une actualité qui le surprend à nouveau, notre ectoplasme paresseux se voudrait rassurant, mais tant de médiocrité ne peut qu'inquiéter par l'irréalisme et la vacuité de son propos. Trop peu, trop tard, une fois d...

à écrit le 24/06/2016 à 15:11
Signaler
Pour le citoyen européen au revenu minimum, Europe ou pas c'est pareil. Cette tambouille ne concerne qu'une catégorie d'européens intéressés.

le 24/06/2016 à 16:38
Signaler
On transmettras vos amitiés aux britanniques qui perdent du pouvoir d'achat suite à la Livre qui dévisse.

à écrit le 24/06/2016 à 15:03
Signaler
encore une parole forte de l'autre "Le Brexit "met gravement l'Europe à l'épreuve" monsieur de La Palice, n'eut pas dit mieux; à contrario voir le sens "intelligent" des propos de Mme Merkel. mais quel président a ramassé la France!!!!

à écrit le 24/06/2016 à 14:58
Signaler
Si les européens avaient vraiment du courage, il conviendrait de faire payer cash aux anglais et aux gallois leur décision: En favorisant un "out" de l' Ecosse du Royaume Uni, en leur promettant un "in" immédiat à l'UE et en coupant rapidement les im...

à écrit le 24/06/2016 à 14:40
Signaler
Ca y est ça continue. Avant l'Angleterre c'était "on est dans l'UE, mais pas vraiment". Et à présent comme dit Cameron "on sort de l'UE mais ca prendra vraiment beaucoup de temps". Et toujours le même résultat : l'Angleterre profite des avantages UE ...

à écrit le 24/06/2016 à 14:22
Signaler
Bonjour, Je me réjouis de "la sortie" , "à l'anglaise", de la GB concernant l'UE!! Non par animosité, intérêts financiers ou politiques!!! Simplement par bon sens et regard je l'espère objectif!! L'UE telle qu'elle est aujourd'hui, resultat et co...

le 24/06/2016 à 15:42
Signaler
100% d'accord ! S'ils ne comprennent toujours pas (ce qui est surement le cas) c'est le début de la fin, on est à des années lumières de l'Europe d'origine je cite : "L'Europe ne se fera pas d'un coup, ni dans une construction d'ensemble : elle se f...

à écrit le 24/06/2016 à 14:11
Signaler
Voilà de quoi passer une journée d'enfer à la plage .

le 24/06/2016 à 15:11
Signaler
Pas sûr que ça ramène les touristes londoniens des plages de Marbella à celles de Clacton on Sea.

à écrit le 24/06/2016 à 14:02
Signaler
Personne pour souligner la responsabilité historique de l'Allemagne dans ce naufrage anglais et européen ? Depuis la main mise des institutions par notre voisin, cette Union est devenue un désastre sans précédent (Gestion de la crise grecque, les réf...

le 24/06/2016 à 16:39
Signaler
Vous vous trompez cher ami. Les Anglais ont voté "Leave" par rejet des travailleurs Européens résidant au RU. L'allemagne n'a RIEN avoir la dedans.

à écrit le 24/06/2016 à 13:42
Signaler
Il va rapidement s'entretenir en tête à tête avec Merkel pour l'informer des prochaines lois à faire passer par 49.3 en France. Il est indispensable de réformer. Presser davantage le citron du secteur privé pour se payer des brochettes d'élus dans ...

à écrit le 24/06/2016 à 13:06
Signaler
Hollande doit intervenir a la télévision,rassurer les gens.et insister sur le fait que tout ceci est impossible chez nous.les artistes et intellectuels doivent investir les médias pour parler du vrai visage de l'europe,son coté positif.je ne suis pas...

le 24/06/2016 à 13:33
Signaler
Avec du mixeur social evidemment ! Mais gare à l'apartheid. Le pire, c'est l'apartheid Vallsien.

le 24/06/2016 à 14:12
Signaler
@élu ps: et c'est sans aucun doute avec des gens comme Hollande et ses acolytes qu'on va régler les problèmes :-) Bon, ils pourront toujours créer un Muppet Show français si cette série américano-britannique est censurée en Europe :-) Le côté positif...

le 24/06/2016 à 14:45
Signaler
Le ciment de l'Europe, ce sont ses peuples, et on n'a pas hésité une seconde à les jeter dans la bétonnière.

le 25/06/2016 à 15:07
Signaler
"hollande doit intervenir à la TV pour rassurer ... dire que cela est impossible chez nous ....les artistes et intellectuels doivent investir les médias pour parler du vrai visage de l'europe,son coté positif ..." Elu ps tjrs dans son monde de noun...

à écrit le 24/06/2016 à 12:33
Signaler
Tout ça pour ne pas perdre une élection. Un grand moment de démocratie.

à écrit le 24/06/2016 à 12:05
Signaler
Dommage que David Cameron ne se soit pas penché sur le referendum alsacien, qui visait à réunir les deux départements haut et bas Rhin, et la région alors Alsace (que du bon sens, et pourtant rejeté).. Il aurait alors compris que les gens peuvent vot...

à écrit le 24/06/2016 à 11:42
Signaler
Un non évènement!...Avant son entrée dans l'UE, l'UK ne me manquait pas!...Pendant son adhésion, l'UK a brillé par son esprit de contradiction infantile systématique, voire amusant!...Maintenant, qu'il reprend son baluchon et part à l'aventure, l'UK ...

le 24/06/2016 à 13:35
Signaler
Je serai ravi de l'adhésion de l'Ecosse indépendante à l'UE et à toutes ses politiques intégrées (€, Schengen).

à écrit le 24/06/2016 à 11:40
Signaler
bon ben vas y avoir de bonnes affaires immobilière à ce faire dans le Périgord avec la Livre qui va valoire moins que le franc CFA, c'est sure que ça va faire des retraites moins sympa aux britanniques...... et pas de sécu;;; y plus qu'à retourner ...

à écrit le 24/06/2016 à 11:35
Signaler
Les jeunes anglais ont voté massivement pour le maintient dans l'UE. Les vieux , les marginalisés de la mondialisation ont voté non. Les écossais veulent leur indépendance et sont plus que favorables à l'UE. La City va t-elle rester la place domin...

le 24/06/2016 à 13:39
Signaler
Non, la frontière de Calais va se déplacer au mur d'Hadrien, frontière entre ce qui restera du Royaume-Uni et l'Ecosse indépendante membre de l'UE et de l'espace Schengen. Ceci étant ce Royaume-Uni (qui pourrait aussi y perdre l'Irlande du Nord) appa...

à écrit le 24/06/2016 à 11:35
Signaler
Cameron est plus digne que Chirac. Ayant provoqué, comme Chirac, un référendum (l'arme des dictateurs et des démagogues) et l'ayant perdu, avec des conséquences probables désastreuses pour son pays qui va probablement éclater, il a au moins le panach...

le 24/06/2016 à 13:03
Signaler
Non la démagogie est un(e) élu(e) avec moins de 25 % de voix des inscrits sur une liste électorale. La Démocratie c'est soit le référendum, soit une majorité à 50% et une voix des électeurs inscrits .Nous n'avons pas les mêmes Valeurs, la tambouille...

le 24/06/2016 à 13:41
Signaler
Une fois de plus l'Allemagne nous montre l'exemple, ayant bien compris que le référendum est l'arme des dictateurs et des démagogues, en l'ayant constitutionnellement interdit.

le 24/06/2016 à 17:08
Signaler
La démagogie est de croire que l'élite de la médiocrité qui gouverne est la seul à avoir la connaissance. Le peuple souverain connait aussi les heures sombres des années 30 et celles actuelles. Mais elle est trop occupée à ses magouilles et tambouill...

à écrit le 24/06/2016 à 11:34
Signaler
Les français seront bientôt rassurés. Une simple photo de nos pantins attablés avec une feuille blanche sous la main suffira bien à convaincre l'opinion qu'ils feront tout. C'est à dire : - le bonheur universel pour tous : Paris plage toute l'année...

à écrit le 24/06/2016 à 11:20
Signaler
Messieurs les anglais, tirez-vous les premiers ! Quelle leçon ! Non seulement ils ont organisé un référendum qu'ils vont respecter mais Cameron démissionne après le résultat. Une sacré leçon de démocratie. En France on a voté non en 2005, personne...

le 24/06/2016 à 13:46
Signaler
Comme Chirac en 2005 et Tsipras l'an dernier, la classe politique britannique doit se creuser le cerveau pour savoir que faire de ce référendum. Si c'est pour aller vers une solution à la norvégienne où le pays s'applique volontairement la totalité d...

à écrit le 24/06/2016 à 11:14
Signaler
Si vous avez écouté le discours de Nigel Farage ce matin, vous aurez noté que lorsqu'il énumère les pays qui pourraient potentiellement suivre l'exemple de la Grande-Bretagne et quitter l'UE, il omet délibérément de citer la France.

le 24/06/2016 à 11:53
Signaler
Il n'a pas cité l'Irlande et l'Ecosse non plus

le 24/06/2016 à 12:12
Signaler
J' irai lui tirer les oreilles, je suis morvandiau et pour la sortie !

le 24/06/2016 à 14:17
Signaler
@Morvandiau: rappelons aussi que le Morvan faisait partie des États Bourguignons avec les Pays-Bas qui sont aussi favorable à un Nexit. On pourrait donc envisage une sortie de la Bourgogne-Franche-Comté de la France pour une recomposition des États B...

à écrit le 24/06/2016 à 11:02
Signaler
Cameron est un exemple pour l'élite de la médiocrité politique française. On perd, on dégage définitivement. Je l'espère. Ceci devrait être voté dans la loi électorale française par un référendum comme un casier judiciaire vierge. Mais nous sommes m...

à écrit le 24/06/2016 à 10:56
Signaler
L'Angleterre, L'Angleterre outragée, L'Angleterre brisée, L’Angleterre martyrisée, Mais l'Angleterre, L'Angleterre Libérée !! Libérée... par elle même, libérée... par son peuple !! En ce jour HISTORIQUE du 24 Juin 2016, Hommage à De Gaulle, L'...

le 24/06/2016 à 11:37
Signaler
Vous avez raison de ne parler que de l'Angleterre, car les autres nations du Royaume-Uni (Pays de Galles, Irlande du Nord, Ecosse), pourraient bien abandonner le rafiot qui va couler.

le 24/06/2016 à 11:46
Signaler
Sauf que de Gaulle a été à l'origine de la création de l'Europe ! on mélange tout au FN et on refait l'histoire pour prendre le pouvoir et faire pire hein !

à écrit le 24/06/2016 à 10:53
Signaler
Monsieur Poutine doit se dire: Bien, bien. Même très bien. Ce n'est que le début.

à écrit le 24/06/2016 à 10:51
Signaler
Pourquoi pas maintenant ? Sa servilité vis à vis de l' Union ...américaine doit être récompensée au plus tôt ....

à écrit le 24/06/2016 à 10:37
Signaler
A force de gouverner contre le peuple qu'il l'a élu , les meilleurs choses se préparent pour nous ! merci Cameron et vive la Liberté qu'il faut conquérir aux tenants .

à écrit le 24/06/2016 à 10:36
Signaler
Ce n' est pas la fin du monde ! L' Angleterre restera L Angeterre avec son Commonwealth!!!!! Quand on ne se met pas à la place du peuple, c' est le rejet et la peur qui l' emporte !!!!!!

le 24/06/2016 à 11:41
Signaler
Le Commonwealth n'a guère besoin du Royaume-Uni (ou plutôt de ce qui en restera quand Ecosse, Irlande du Nord, Pays de Galles... et pourquoi pas Londres, on peut l'imaginer, auront largué les amarres de l'Angleterre pour se réinsérer dans le concert ...

à écrit le 24/06/2016 à 10:30
Signaler
Les britanniques avaient voté pour la CEE à 67% en 73, maintenant il changent. Et demain ?... Enfin, quelque chose peut commencer. L'Europe politique était en panne, asphyxiée, mourante. Le vote britannique peut agir comme un électrochoc sur un coeur...

le 24/06/2016 à 11:40
Signaler
Je pense que vous vous trompez. Aucun peuple ne veut la convergence politique (rappelons-nous la France : Maastricht seulement 51% de oui et Lisbonne 55% de non et aucune suite politique derrière). Par contre le marché commun tel qu'il était en 1973 ...

à écrit le 24/06/2016 à 10:29
Signaler
On constate par ce vote que la démocratie fonctionne encore au Royaume uni, le peuple a pu donner son avis et sa vision de l'avenir. la possibilité pour les citoyens de donner faire part de leur volonté se fait de plus en plus rare. Certain politique...

à écrit le 24/06/2016 à 10:17
Signaler
La démagogie de Johnson et des ultralibéraux est à l'image des dirigeants de ce pays , ils ne voient que leur propre intérêt, Cameron s'est tiré une balle dans le pied, il faut qu'il assume, avec la sortie du royaume uni, l'Europe a une belle balle ...

le 24/06/2016 à 11:43
Signaler
Mais de Gaulle n'aurait pas non plus voulu de Maastricht

le 24/06/2016 à 11:51
Signaler
ce qui est le plus amusant c'est que c'est ceux qui ont voté pour le Brexit qui auront le plus à en souffrir. Je vois bien BMW rapatrier la production des Mini en Allemagne, et Nissan celle des Qashquai à Flins ou sur la chaîne de Renault produisant...

le 24/06/2016 à 13:10
Signaler
On peut supposer que Nissan déménage l'usine des Qashquai au Maroc dans une zone économique plus favorable qu'en France. Pourquoi pas en Russie, dans l'usine de Saint-Pétersbourg quand les sanctions seront levées.

le 24/06/2016 à 15:06
Signaler
@benoit Le Kadjar, techniquement dérivé du Qashquai, est produit dans la très performante et productive usine de Palencia en Espagne, on peut imaginer que c'est là que l'Alliance Renault Nissan relocalisera la production du Qashquai qui peut très fa...

le 24/06/2016 à 17:22
Signaler
Nissan a investi, en 2015, à Saint-Pétersbourg une usine pour le Qashqai pas besoin de travaux juste relancer la production. C'est encore moins cher. Il reste juste à lever les sanctions économiques dans 6 mois. A suivre. Le salaire en Espagne est t...

le 25/06/2016 à 0:22
Signaler
@benoit : certes mais St Petersbourg n'est pas plus dans l'UE que le Royaume-Uni le sera demain.Et le Qashqai est un véhicule sur lequel on dégage assez de marge pour payer des ouvriers espagnols (la preuve, on le produit de façon rentable au Royaume...

à écrit le 24/06/2016 à 9:45
Signaler
Par anti-Sarkozisme , Flenbi a rompu le duo France-Allemagne , locomotive nécessaire pour faire avancer l'Europe , et son incompétence reconnue chez nous l'est aussi à l'internationale , le peuple Anglais est le premiers à réagir à la régression Eur...

à écrit le 24/06/2016 à 9:45
Signaler
Deux mois avant la signature des traités de Rome, le 18 janvier 1957, Pierre MENDÈS FRANCE (dont se parent pourtant si souvent les européens européistes) fait une intervention particulièrement prémonitoire à l’Assemblée Nationale : 

" Le projet du m...

à écrit le 24/06/2016 à 9:29
Signaler
Très mauvaise décision, Même si les exigences de la Grande Bretagne étaient parfois « trop indigestes » pour le reste de l’union européenne. Mais c’était de bonne guerre, de simples négociations et des compromis auxquels on n’était pas obligés de s...

le 24/06/2016 à 21:25
Signaler
velka , les marchés financiers n'ont pas à dicter la vie des peuples, on s'en fout qu'ils baissent puisqu'ils sont de toute façon bien trop élevés par rapport aux actions vendus sur ce marché. Les cotations sont excessives aux vues des résultats des ...

à écrit le 24/06/2016 à 9:22
Signaler
Cela va couter très cher à tout le monde, et surtout aux Britanniques, mais c'est tout de même une grande victoire de la démocratie sur la fonctionnarisation d'une Europe dont les bienfaits sont devenus moins visibles que les nuisances. L' EURSSR com...

à écrit le 24/06/2016 à 9:03
Signaler
En préambule, il faut saluer David CAMERON qui a osé demander à son peuple de décider de son avenir. Encore une fois on constate qui sont les vrais pays démocrates.MR Sarkozy devrait y réfléchir, lui qui a passé outre en 2005 en considérant que le v...

le 24/06/2016 à 10:29
Signaler
Ce n'est pas du courage c'est une bevue! e crois qu'il a plutôt fait un pari et qu'il a perdu, ou coup de bluff d’un poker game qu’il a mal joue. A prendre la politique extérieure pour faire face a des problèmes intérieurs, ce n'est pas nouveau mais ...

le 24/06/2016 à 11:08
Signaler
Rendez-vous dans quelques années dites-vous. C'est bien là le problème. Car d'ici là il peut y avoir qques dégâts. Avant chaque guerre, on aurait pu dire la même chose. Ça va beaucoup mieux qques années après. Il y a juste quelques millions de morts ...

le 24/06/2016 à 14:05
Signaler
Sarkozy a annoncé clairement comment il voulait résoudre la question institutionnelle européenne (par un traité ratifié par voie parlementaire) lors de sa campagne de 2007. Il a été confortablement élu (il a recueilli plus de voix sur son nom que le ...

à écrit le 24/06/2016 à 9:03
Signaler
j'éspère que les votes vont etre recomptés,le résultat est si serré qu'on peut emettre des doutes sur la régularité du scrutin.s'il y avait des irrégularités,alors la chambre des députés serait seule légitime a représenter la démocratie participati...

le 24/06/2016 à 10:26
Signaler
ne vous inquiétez pas, les grands de ce monde vont recompter les votes et nos amis anglais resteront dans l'Eu...

le 24/06/2016 à 11:32
Signaler
Plus d'un million de voix d'écart, nous n'avons pas la même notion de résultat serré, ni la même notion de la Démocratie. Le problème entre le peuple souverain et l'élite de la médiocrité est là. 40 ans d'échec contre le chômage, la pauvreté, le mal...

le 24/06/2016 à 13:49
Signaler
Euh... le résultat n'est pas plus serré que l'élection de Hollande face à Sarkozy en 2012...

à écrit le 24/06/2016 à 8:46
Signaler
Il était absurde de faire un référendum près de 60 ans après la création de l'Union européenne. De plus les journaux britanniques ont pris de nettes positions en majorité pour le Brexit. Enfin çà va faire que l'Ecosse et l'Irlande quittent le Royaume...

le 24/06/2016 à 9:53
Signaler
@Charles: 1) Cameron a déclenché un referendum pour des raisons éminemment politiques et s'est piégé tout seul. 2) Nikola Sturgeon va avoir beaucoup de mal à expliquer pourquoi sortir du Royaume-Uni avec les arguments qu'elle a utilisé pour rester da...

le 24/06/2016 à 14:21
Signaler
@Patrickb : 2) Les britanniques continueront à contribuer au budget européen, leur contribution nette (versements - subventions) par habitant étant quasiment au même niveau que la contribution nette que la Norvège verse juste pour accéder au marché u...

à écrit le 24/06/2016 à 8:43
Signaler
Les sans dents Anglais étaient plus nombreux que les pro Europe et ils ont voté sans se laisser effrayer par toute la machinerie médiatique mise en place sur le sujet...Insulaire et sans la monnaie unique l'Euro c'était plus facile pour eux à mon avi...

le 24/06/2016 à 14:06
Signaler
les sans-dents anglais vont y laisser aussi les mâchoires.

le 24/06/2016 à 15:47
Signaler
Ils ont surtout voté sans regarder plus loin que le fond de leur pinte de bière... Quant à la soi-disant machinerie médiatique, oserais-je vous rappeler que la consternante et malheureusement influente presse tabloïd britannique était entièrement au ...

à écrit le 24/06/2016 à 8:39
Signaler
les questions économiques sont passées au second plan : ce qui a fait la différence entre le oui et le non, c'est la question de l'immigration et l'afflux ingérable par les états européens, de réfugiés... A l'heure des économies de bouts de chandel...

le 24/06/2016 à 14:10
Signaler
Ceux qui ont réussi à faire croire ça aux britanniques sont des menteurs. Car, n'étant pas membres de l'espace Schengen, les britanniques étaient déjà seuls responsables de leur politique migratoire. Autrement dit en première approche le Brexit n'y c...

à écrit le 24/06/2016 à 8:35
Signaler
Bravo vive l'Europe, l'Allemagne doit prendre des décision économique et augmenter fortement son smic de misère !

le 24/06/2016 à 14:57
Signaler
Le SMIC allemand est quasiment au niveau français.

à écrit le 24/06/2016 à 8:29
Signaler
esperont que la france reagit et que le peuple demande un referendum comme en angleterre ,le contribuable en a assez d'engraisser des innutiles au parlement europeen et de payer pour des deputes qui la plus part du temps ne reprentent rien du tout sa...

le 24/06/2016 à 15:18
Signaler
La seule réaction à la hauteur serait, comme en Allemagne, modèle de démocratie apaisée, de supprimer constitutionnellement la pratique référendaire, outil des dictateurs et démagogues, ou au moins d'en restreindre strictement l'usage en imposant que...

le 24/06/2016 à 15:28
Signaler
...à ceci près que l'UE n'"engraisse" pas plus de fonctionnaires que la seule ville de Paris, et qu'il y a moins de parlementaires européens (751 avant le Brexit) que de parlementaires français. Quant à leur utilité, il est vrai que quand on voit l'a...

à écrit le 24/06/2016 à 8:14
Signaler
Le Brexit, c'est le résultat de la pauvreté organisée par bruxelles. Les anglais ont voté l'expulsion des fonctionnaires de la commission de bruxelles ; Il convient d'arrêter et d'enfermer tous les lobbyistes qui organisent la pauvreté en Europ...

le 24/06/2016 à 14:14
Signaler
les anglais apprendront vite à leurs dépens que s'ils ne veulent pas couler à pic ils seront contraints, pour conserver l'accès au marché unique européen (53% de leurs débouchés) de continuer à s'appliquer toute la réglementation européenne et de con...

à écrit le 24/06/2016 à 8:13
Signaler
Quand est-ce que les Financiers, banquiers et politiques vont ils comprendre que le monde de la finance virtuel va s'écrouler ??? Le pouvoir d'achat d'une majorité de personnes est en chute libre au profit de certains actionnaires. A une époque l'arg...

le 24/06/2016 à 8:34
Signaler
Dans les années 80, un salarié travaillait 4 jours pour entretenir les actionnaires aujourd'hui près de 20 jours.

à écrit le 24/06/2016 à 8:11
Signaler
Je suis heureux de ce Brexit pas que je sois anti européen au contraire mais enfin ce boulet le Royaume Uni un frein à une grande Europe un pays qui voulait tous les avantages sans les inconvénients car bien sur une grande Europe a forcement des obli...

à écrit le 24/06/2016 à 8:11
Signaler
Je suis heureux de ce Brexit pas que je sois anti européen au contraire mais enfin ce boulet le Royaume Uni un frein à une grande Europe un pays qui voulait tous les avantages sans les inconvénients car bien sur une grande Europe a forcement des obli...

à écrit le 24/06/2016 à 8:04
Signaler
Le peuple anglais est souverain ,bravo messieurs les rosbifs . Les classes populaires et moyennes ont eu raison de la finance et des elites . Le peuple que les elites taxent de xénophobie , veut decider du nombre des refugiés qu'il accueille . C'est ...

le 24/06/2016 à 8:41
Signaler
"Si le peuple français qui a été humilié en 2005" En même temps un candidat en 2007 avait poutant dans son programme averti qu'il ferait revoter le texte par le parlement ( à Versailles en plus) ce qui ne l'a pas empêché d'être élu au deuxieme to...

le 24/06/2016 à 10:34
Signaler
Bonjour Cantalou! Je suis un Hauteloire"ou"! En plus un anglais de souche qui vit ici depuis 45 ans. Le Français et toujours ensemble pour tous jusqu’au moment que le soleil ne brille pas devant sa porte!!! L'anglais se bagarre entre eux jusqu'au ...

le 24/06/2016 à 14:41
Signaler
"Les classes populaires et moyennes ont eu raison de la finance et des elites"... Mieux vaut en rire... La finance sera au contraire la seule planche de salut économique de ce qui restera du Royaume-Uni. Et comme le disait le président du tribunal ré...

le 24/06/2016 à 14:55
Signaler
@lachose : le candidat dont vous parlez a non seulement fait en la matière ce qu'il avait annoncé dans sa campagne (par les temps qui courent ce n'est pas si fréquent), il a rassemblé plus de voix sur son nom que le "non" de 2005 n'en avait recueilli...

à écrit le 24/06/2016 à 8:02
Signaler
Catastrophe

le 24/06/2016 à 14:58
Signaler
...pour le Royaume-Uni, certainement. Pour l'UE, ça peut être une chance.

le 24/06/2016 à 16:31
Signaler
Voila! Encore une autre hyper réponse intelligente faites par quelqu'un avec une vocabulaire d'un mot. Et avec ce mot il va changer le monde!!! Montorgue

à écrit le 24/06/2016 à 7:32
Signaler
Le président français François Hollande a promis que des initiatives seraient prises "quoi qu'il se passe" pour faire "évoluer la construction européenne" Vision démocratique dictatoriale de notre président.

le 24/06/2016 à 8:47
Signaler
Bah, notre très désavoué président n'a pas compris que l'Histoire est en marche, que ce sont les peuples avant tout qui la font et pas une petite poignée d'hommes qui vivent sur leur nuage. Aujourd'hui, je suis Anglaise. Respect.

Votre email ne sera pas affiché publiquement.
Tous les champs sont obligatoires.

-

Merci pour votre commentaire. Il sera visible prochainement sous réserve de validation.