
"Moins de subventions pour les céréaliers signifie un soutien accru aux éleveurs confrontés, depuis longtemps, à de graves difficultés". Le ministre de l'Agriculture Stéphane Le Foll "assume le rééquilibrage en faveur de ces producteurs", dans un entretien publié dans le Figaro de ce jeudi.
Le Foll assume le rééquilibrage de la PAC...
Dans les faits, ces derniers contestent contre un "cumul" de taxes et de règlements suite à l'appel au blocus, finalement peu suivi, de Paris par la Fédération régionale des syndicats d'exploitants agricoles d'Ile-de-France (FDSEA) et celle des Jeunes agriculteurs (JA).
Parmi leurs inquiétudes, les céréaliers d'Île-de-France estiment que la réforme de la PAC va leur faire perdre 30 à 40% des aides qu'ils perçoivent. "Le vrai chiffre est 25%", répond le ministre qui assume "un choix politique majeur", qu'il justifie par son rôle de ministre au service de l'agriculture, et non seulement au service des céréaliers d'Île-de-France.
... et conteste la surfiscalisation des agriculteurs
Les agriculteurs dénoncent aussi un excès de fiscalité, comme c'est le cas pour un grand nombre de Français ces derniers temps. Il y a quelques semaines, le président de la chambre d'agriculture d'Ile-de-France ouest, avait fait part de son inquiétude concernant la majoration de la taxe sur le foncier non bâti en zones périurbaines au ministre. Là aussi, l'argument est balayé par Stéphane Le Foll qui estime ne pas avoir "surfiscalisé les agriculteurs". Et d'énumérer :
"L'écotaxe n'est pas mise en œuvre. La hausse de la TVA sur les engrais ne concerne pas les agriculteurs puisque cette taxe continue de leur être remboursée. J'ai refusé le projet de taxe sur l'azote qui aurait pourtant fait rentrer 300 millions dans les caisses de l'État. Autre chose: le remboursement partiel de la taxe sur le gazole est pérennisé et les agriculteurs bénéficieront du crédit d'impôt compétitivité."
Tous les efforts demandés pour colmater les déficits à l'origine du ras-le-bol
Selon le ministre, le ras-le-bol des Français serait surtout le fruit d'un colmatage des brèches françaises dans l'urgence, c'est à dire "colmater les déficits avec une croissance faible qu'il fallait malgré tout soutenir". Pour lui, le plus dur est passé, "mais tous ces efforts demandés se cristallisent aujourd'hui, provoquant ces mouvements de contestation".
c'est à dire favoriser les importations, couler les entreprises (vs 3,5 millions de chômeurs + 1/2 million d'étrangers inactifs), mais comme ne pouvait pas couler aussi l'agriculture on a compensé par des subventions, en les réduisant ou supprimant la boucle est bouclée.
Et c'est parti pour les 10 millions d'inactifs!
Si on ne sort pas de l'euro.
Quand aux "betteraviers" si on pensait aux carburants verts au lieu de disserter sur la planète;
Mais la il y a quelque chose qui coince, cultiver les champs pour faire du carburant, les bobos sont contre.
CR-PRIX mondial, et pénaliser l'importation par une restitution égale à la différence (prix
français- prix mondial).
Il était dans un premier temps question d'écotaxe,cela a débouché sur tout et n'importe quoi.
Les accidents de ce matin devraient calmer tout ce cinéma,orchestré par la Fnsea et d'autres organisations subventionnées.
Mon tonton agriculteur dans le Vaucluse est embeté,il a peur de ne pas arriver à démarrer sa vieille Renault 4:il ne peut décemment pas utiliser sa Mercedes pour aller manifester!
Normale de se plaindre quand les revenus sont censés baisser. Quand il n'y aura plus d'allocations familiales, ceux qui gagnent 15 000 €/mois se plaindront, normal car humain.
Par la même occasion ils ruinent l'Afrique à cause de ces subventions et polluent la France
A suivre
Aucun respect pour eux, ils ne représentent pas du tout ce qu'est l'agriculteur type et ne sont qu'une minorité au sein d’une minorité.
Ils ne produise ni lait, ni viande et pas plus de fruit et légume, mais gaspille une quantité d'eau faramineuse pour des céréale comme le maïs juste bon a faire de la nourriture pour animaux.
Quand on cessera de nous raconter de belle fable sur leur utilité, et ne nous leurrons pas, ils ne gênèrent quasiment rien en emploi induit.