
Madame Lagarde devrait aller au Louvre. Elle ferait un saut jusqu'à la stèle où est gravée le Code d'Hammurabi. D'accord, ce n'est pas un un texte tendre. « oeil pour oeil dent pour dent » c'est sévère ! Mais le même réalisme cruel s'exprime d'une autre façon à propos des dettes. Le cas traité est celui du débiteur confronté à une inondation ou à une catastrophe. Le souverain de l'an 1750 avant notre ère dit que ce débiteur « ne rendra pas de blé au créancier, trempera dans l'eau sa tablette, et ne donnera pas l'intérêt de cette année ». Tremper dans l'eau votre tablette, madame Lagarde ! Effacez les dettes publiques détenues par la BCE. Car sinon comme le débiteur inondé, le moment sera vite venu ou faute de pouvoir payer, le débiteur vous infligera sa banqueroute totale. Effacez ! Nous en avons besoin aujourd'hui pour sortir de la crise créée par la pandémie et restaurer la capacité d'action de l'État.
Destruction du système social ?
Car cette crise a ajouté de la dette à la dette, non pour financer l'avenir mais pour tenter de sauver le présent. En vain. Les dettes publiques atteindront bientôt le niveau qu'elles avaient à la fin de la seconde guerre mondiale. Et les dettes privées ont d'ores et déjà atteint des niveaux inconnus jusque-là dans l'histoire. D'abord sidérés, les amis de l'austérité sans fin se ressaisissent. Pour les uns, il faudra payer, quoi qu'il en coûte, car ne pas payer ses dettes, c'est pécher. Dette est un mot sacré pour eux. Et payer quoi qu'il en coute un acte de foi.
Pour les autres, c'est autre chose. Voilà l'occasion rêvée de continuer leur destruction du système social sous prétexte du manque d'argent. Le Fonds monétaire international (FMI) et la Commission européenne ont déjà commencé leur danse du scalp. Ici, les retraites, là les services publics, la grande braderie pourra bientôt recommencer sous prétexte de dette. Tous ces sacrifices seraient complètement inutiles. Même avec 10 milliards par an d'excédent budgétaire on arriverait à rien. Il faudrait 270 ans pour solder la dette ! Compter sur le retour magique de la « croissance » est tout aussi illusoire. Avec 1,5 points de croissance par an entièrement affectés à rembourser, nous viendrons à bout de notre dette en 248 ans. Bref, payer cette dette, c'est obliger plusieurs générations de français à se sacrifier pour un fétiche.
"Nous libérer du boulet de la dette"
Nous répétons pourtant depuis plus de dix ans que de telles dettes ne se remboursent pas. Ou alors seulement par la dévaluation, l'hyper-inflation ou la guerre. Qui en veut ? Mais les gouvernements libéraux ont-ils encore une capacité à penser librement les leçons de l'histoire ? Sont-ils capables de s'arracher à leur dogme pour penser la réalité ? Que faire donc ? J'ai présenté à l'assemblée nationale un projet de résolution sur ce thème. En vain. Le 6 mai 2020, nous avons déjà été nombreux - responsables des principaux partis d'opposition d'Europe - à affirmer qu'il fallait nous « libérer du boulet de la dette » [1].
Oui on peut se libérer de ce fardeau ! Pour cela, il existe un moyen simple, radical et puissant : nous servir de la Banque centrale européenne et de son pouvoir absolu sur la monnaie qu'elle édite. Une banque centrale est un créancier particulier, insensible aux pertes, jamais à court d'argent. Depuis plus de trente ans désormais, les monétaristes ont pourtant tout fait pour soustraire ce pouvoir à la délibération collective et démocratique. Et pourtant elle peut tout. Il faut qu'elle agisse avant qu'il soit trop tard !
Car la crise de 2008 et la pandémie ont eu un effet inattendu pour les monétaristes et les néolibéraux : la BCE a dû intervenir sans cesse pour contenir les taux d'intérêts, sauver les banques et permettre aux États d'emprunter à des taux raisonnables. Du coup elle a fini par accumuler près de 25 % de la dette publique des États de la zone euro. Et cela alors même qu'elle n'a pas le droit de fournir directement les États ! C'est le comble : elle a fait des achats massifs de titres de dette publique à des acteurs financiers privés. Quelle usine à gaz coûteuse pour tous ! Ces titres, conservés dans son bilan ne lui servent à rien. Mais les États doivent quand même les rembourser à leur échéance, soit en s'endettant davantage soit en prélevant des impôts.
Annulation des dettes publiques
Notre solution est simple : annuler ces titres de dettes publiques. Il n'en coûtera pas un euro a qui que ce soit. Personne ne serait spolié par cette solution. Rien ne s'y oppose. Ni en droit, ni dans les faits. Car une annulation n'est pas un financement monétaire et ne tombe pas sous le coup de l'article 123 du Traité de fonctionnement de l'Union qui le proscrit. L'article 32.4 du protocole annexé au traité européen permet même explicitement à la BCE de compenser les pertes des banques centrales nationales - qui porteront l'annulation - en recourant à la création monétaire.
La BCE pourrait transformer ces titres en « dette perpétuelle » ou en dettes à très longs termes ou les suspendre définitivement. La formule importe peu. Ce qui compte c'est l'effort dont tout le monde sera soulagé. Les sommes dégagées par l'annulation permettraient aux États d'investir pour la bifurcation écologique et le progrès humain.
Car ils ne le font pas, même lorsqu'ils peuvent emprunter à taux négatifs, comme depuis 2015. Dans les cinq années qui ont précédé la pandémie, la dette publique moyenne des pays de la zone euro a même été réduite de 91 à 84 % du PIB, entraînant dans sa chute l'investissement public qui n'a même pas retrouvé son niveau de 2008 ! Et ce ne sont pas les squelettiques plans de relance établis au niveau européen - moins de 3 % du PIB européen étalés sur plusieurs années - qui changeront la donne.
Une solution à portée de main
Je n'aborde pas ici les autres aspects que pour ma part je juge indispensable au redéploiement d'une finance productive et innovante en Europe. Je n'évoque donc pas la nécessité d'un pôle public financier ni le changement de statut de la banque centrale que je crois indispensable. Ni la politique fiscale qui s'imposerait. Ils sont nécessaires pour sortir durablement les États de la main des marchés financiers. Je m'efforce de montrer qu'une solution raisonnable est à portée de main pour éviter le naufrage humain et social que représente le maintien de la politique actuelle.
Ce circuit pourrait aussi être une solution pour solder les dettes privées insolvables accumulées par de nombreuses petites entreprises pendant la crise. Face à une vision sacrificielle de la monnaie gérée par des idéologues, je crois au contraire à un bien-être collectif maîtrisé. Pour cela il nous faut des investissements utiles pour réaliser la bifurcation écologique et sociale de l'appareil productif et des normes de la consommation. C'est ce dont ont besoin avant tout nos peuples après quatre décennies de politique restrictive. L'annulation indolore des dettes que nous nous devons à nous-mêmes via notre banque centrale ouvrirait un nouveau cycle d'investissement urgent en nous libérant du poids du passé et d'un futur enchainé au remboursement sans fin.
[1]https://melenchon.fr/2020/05/06/en-europe-le-mur-de-la-dette-doit-tomber/
Ensuite, si le mouvement aboutit à une reprise en main par les institutions publiques de ce droit régalien qu'est celui de frapper la monnaie (abandonné de facto au privé depuis 73), je ne peux que souscrire. M. Mélenchon est peut-être beaucoup moins anti-européen que voudrait le faire croire la petite musique récurrente des néo-libéraux bon teint.
Quant à la question de l'Allemagne (soulevée en commentaire de manière pertinente au milieu de propos plus contestables), elle devient centrale dans ce contexte. Il serait peut-être temps de lui rappeler qu'elle a pu faire figure de bon élève profitant de la financiarisation à outrance et de l'endettement de tous. Simplement parce que, d'une part, elle a pu développer un (certes performant) appareil industriel civil tandis que son voisin français investissait aussi dans les grandes largeurs sur un secteur militaire (heureusement) improductif, et permettant à ses voisins de vivre (toujours le cas) sous le "parapluie" (!) nucléaire français. Et parce que d'autre part sa brillante industrie repose sur de grandes entreprises ayant avec profit et cynisme traversé une seconde guerre mondiale, dont le pays initiateur n'a d'ailleurs toujours pas versé les dédommagements. Mon propos n'est pas ici de tomber dans un antigermanisme rétrograde ou d'accuser des pires maux des générations qui en sont innocentes, mais d'affirmer que les arguments ne manquent pas pour faire entendre raison à un pays qui doit avoir, comme la France, la capacité à réfléchir l'avenir à une échelle européenne et mondiale à moyen terme plutôt qu'en se concentrant trop sur ses intérêts directs à court terme. J'ai moult méfiance envers M.Mélenchon mais doit bien reconnaître que je vois peu de personnalités politiques françaises capables de mettre enfin ce petit coup de pied salvateur dans la fourmilière allemande.
L'autorite a decider d'un erasement de votre collossale dette est situe en Allemagne. Seule et uniquement.
Par ailleurs annuler signifie fin de la confiance des investisseurs qui attendent un retour.
Comment des lors payer les interets ?
Vous paierez votre incurie. Hammourabi c'est le passe, propre a la France, toujours a regarder en arriere. Helas, non, seul compte l'avenir.
A ce propos il serait bon que les politiques arrêtent de faire de la prime d'émission pour sauver ce « selon maastricht » parce que c'est ça qu'on va payer,
Ensuite vous nous proposez d'annuler la dette pour pouvoir mieux en refaire pour investir, Je vous propose d'aller plus loin, de proactiver et de soutenir la proposition « going direct, standing emergency fiscal facility » des gauchistes de blackrock qui limiterait les nouvelles dettes (ça va il a pas fait un infarct le memel?), Cela donnerait enfin une utilité a cet idiot d'objectif de 2% d'inflation qui n'est atteignable qu'en laissant des sous a la ménagère,
Ensuite pour parler de vous, je suis sur que vous aimez bien que l'on parle de vous, vous êtes encore un surétatiste, centraliste, dirigiste et j'aime pas trop ça., rassurez vous, de vous a la blonde, ce qu'il y a entre ça, vos extrêmes et tout ce qui gravite autour, vraiment, pas un pour sauver l'autre, pareils, surétatistes, centralistes dirigistes. Même ceux que l'on pourrait penser « liberaux », arrivés au pouvoir, le joli joujou de l'état et le « deep state »....
Vous président comme disait l'autre, l'état profond serait toujours capable de faire patrouiller des sous marins en mer de chine en étant incapable d'ouvrir un lit de réa en plus,
La france me fait penser a maman lapin, quand elle a décidée de ne pas arriver a faire un truc, ben elle arrive très bien a ne jamais arriver a le faire, même si c'est simple. C'est bien pénible,
Vous ne faites pas partie des solutions, mais des problèmes,
La france est pour moi irrémédiablement un pays de,
Cordialement
En France, ces propos ont été repris au cours de la campagne présidentielle française de 2007, d'abord par des membres du Parti socialiste, qui ont dénoncé ce qu'ils pensent être « l'aveuglement de la BCE [...] obnubilée par la seule lutte contre l'inflation » et proposé « une révision des statuts de la BCE, en l'obligeant à prendre en compte aussi l'objectif de croissance et d'emploi » et à prendre ses décisions « en coordination avec le Parlement européen, l'Eurogroupe et la Commission européenne »[78]. Au cours de la campagne, deux des candidats, Ségolène Royal à gauche, Nicolas Sarkozy à droite, ont fait des déclarations équivalentes, comme celle de ce dernier le 21 février 2007 déclarant vouloir « une Europe où la politique monétaire ait pour objectifs la croissance et l'emploi et pas seulement l'inflation » et se demandant « Pourquoi les Américains ont-ils le droit de se servir du dollar comme d'une arme au service de leur puissance et pourquoi l'Europe n'aurait-elle pas le droit de se servir de l'euro ? »[réf. souhaitée]
Ces opinions ne sont cependant pas celles de tous les membres de l'UMP[réf. nécessaire] ou du PS[réf. nécessaire]. À l'UDF, François Bayrou estima le 12 février 2007 que « Tout changement signifierait hausse des prix et hausse des taux. Nous en mourrions. »[réf. souhaitée] Jacques Delors, spécialiste des institutions européennes et président de la Commission européenne entre 1985 et 1994, déclara le 2 mars 2007 que « les comportements de la Banque centrale européenne et ceux de la Federal Reserve Bank aux États-Unis, dont on parle tant, sont exactement les mêmes. Ce n'est pas une question de statut »[79].
Certains économistes reprochent à la Banque centrale européenne d'appliquer des taux trop bas, considérés comme étant à l'origine dans certains pays d'inflation détournée sous forme de bulle immobilière ou boursière, et aussi de gonflement de l'endettement public ou privé dû aux facilités d'emprunt à bas taux. L'exemple de l'Irlande, en situation de surchauffe, de bulle immobilière forte et de forte augmentation de l'endettement des ménages – mais où d'un autre côté le niveau de vie a fortement progressé – montrerait, selon les interprétations, la possibilité ou la difficulté de mener une politique monétaire unique efficace simultanément pour tous les pays d'union monétaire[80][pas clair].
Jean-Claude Trichet a à de nombreuses reprises précisé que la maîtrise de l'inflation et la crédibilité de la BCE vont « dans l'intérêt même de la croissance européenne et de la création d'emplois »[81].
Dans son rapport de janvier 2007, l'OCDE estime que la politique monétaire de la BCE est légèrement trop accommodante (c'est-à-dire que les taux directeurs sont légèrement trop faible)[82]. Pour le FMI, « l'orientation de la politique monétaire de la Banque centrale européenne (BCE) [reste] globalement appropriée »[83].
Débat sur le niveau de l'euro et la « compétitivité » Modifier
Une banque centrale peut avoir une influence sur le taux de change de la monnaie. Dans le cas d'un régime de changes flottants, la banque centrale ne peut qu'intervenir sur le marché des changes, en utilisant ses réserves monétaires. Ces actions n'ont qu'un impact très faible, notamment en raison des immenses volumes échangés sur le marché des changes : en régime de changes flexibles, les gouvernements et banques centrales ne peuvent pas influer de cette façon sur les taux de change. Par ailleurs, la politique monétaire suivie par la banque centrale (la fixation des taux directeurs), en renchérissant ou en abaissant le coût d'emprunt de sa monnaie, la rend plus ou moins attractive pour les investisseurs internationaux ; cependant, la BCE n'ayant qu'un seul outil, elle ne peut pas atteindre deux objectifs simultanément (stabilité de l'inflation ou niveau du taux de change). La politique de change (c'est-à-dire les interventions sur le marché des changes, hors fixation des taux directeurs) de la zone euro n'est pas uniquement du ressort de la BCE ; il s'agit davantage une décision politique, qui est sous la responsabilité conjointe de la BCE et de l'eurogroupe[84][réf. nécessaire]. Le président Sarkozy a émis en juillet 2007 des volontés d'action sur le taux de change[85]. Depuis, ses critiques se sont calmées.
L'euro s'est réévalué de près de 50 % par rapport au dollar entre 2000 à 2005[86], et des personnes en France, dont le président Sarkozy ou Didier Migaud (PS)[87], ont critiqué la force de l'euro qui aurait provoqué une perte de compétitivité des entreprises européennes. Le président français Nicolas Sarkozy critique la politique de la BCE et notamment sa « passivité » face à un taux de change de l'euro qu'il juge surévalué. Vis-à-vis des partenaires européens, cette attitude singularise et isole la France[88]. Toutefois, la crise économique et la demande d'intervention du FMI en Grèce et en Irlande ont relancé le débat sur l'euro et sur la façon dont il est géré dans ces pays. Certains économistes, dont Jacques Sapir et Jean-Claude Werrebrouck, imputent les problèmes de compétitivité de la France (mais aussi de l'Italie et de l'Espagne) à une monnaie surévaluée compte tenu des taux d'inflation et des gains de productivité inhérents à chacun de ces pays, ainsi qu'à l'Allemagne qui réalise des excédents commerciaux très importants sur le dos de ses voisins.
Selon d'autres économistes[Lesquels ?], les problèmes de compétitivité de la France ne viendraient pas du taux de change, mais seraient dus à un contexte réglementaire et législatif trop pesant, à une fiscalité trop élevée sur l'activité économique, à l'absence de réformes structurelles pour adapter le secteur public à la mondialisation[89][Par qui ?]. Des pays comme l'Allemagne se satisfont du niveau élevé de l'euro, et ont une balance commerciale excédentaire. Au niveau global, sur la période 2007-2008, la balance commerciale de la zone euro est relativement équilibrée[90][réf. nécessaire]. Comme l'essentiel du commerce extérieur français se fait avec d'autres pays de la zone euro, en particulier l'Allemagne, l'effet du taux de change sur la balance commerciale est très limité[réf. nécessaire]. D'ailleurs la France enregistre un excédent commercial vis-à-vis des États-Unis (un milliard d'euros en 2006) et un large déficit vis-à-vis de l'Allemagne (13 milliards d'euros)[91][réf. nécessaire].
En août 2007, le président de la BCE Jean-Claude Trichet souligne[92] que « le taux de chômage de la zone euro, maintenant à 6,9 %, est le plus bas que nous ayons eu depuis vingt-six ans », et que certains pays (comme l'Allemagne) ont connu une amélioration de leur balance commerciale[93] ; le mouvement de change récent tiendrait davantage à une sous-évaluation du dollar qu'à une surévaluation de l'euro.
Les défenseurs de la BCE, se basant sur le modèle allemand, suggèrent une stratégie de désinflation compétitive qui vise à freiner l'inflation afin d'obtenir sur le long terme une tendance à la baisse des coûts et donc une meilleure compétitivité économique de la zone euro. Cette politique dite « de rigueur » reprend la stratégie adoptée depuis plusieurs décennies par l'Allemagne, un des principaux pays exportateurs mondiaux. Le coût de cette désinflation compétitive, en termes de points de croissance, d'emploi et de pouvoir d'achat, au cours des deux décennies passées, a toutefois été important (y compris aux yeux de l'OFCE)[94]. Cet aspect néfaste sur le court terme conduit certains économistes, dont ceux de l'OFCE, à penser que cette politique est en partie responsable aujourd'hui des faibles performances économiques de la zone euro par rapport au reste du monde[réf. nécessaire].
Mélénchon tout comme Picketty, font leurs discours inutiles, sans effets et steriles dans notre petit pays déjà trop faible et peu competitif pour se permettre de rever à des raccourcis qui nous feront juste éviter des efforts et perdre du temps.
Je comprends leurs positions mais ils devraient les soutenir en Allemagne et dans les autres pays du nord plus libéraux que nous, parce que en parler en france ne sert à rien et nous fait meme des degats.
Les politiques fassent à la réalité sont autant démuni que les populations « qu’ils ont déshabillé » en connaissance de cause.
Mélenchon se présente en 2022 en promettant de «refonder le peuple français».
Ces promesses grandiloquentes et creuses ne servent qu'à cacher leur soumission aux euro-atlantistes et leur lâche refus de sortir de l'UE. F Asselineau le 31 01. J' ai vraiment cherché mais je n' ai pas trouvé mieux comme diagnostic.
LES MÉDIAS ONT PRÉSÉLECTIONNÉ POUR VOUS EN 2022 :
Macron pro UE pro euro pro-Schengen et pro-Otan
Le Pen pro UE pro euro pro-Schengen et pro-Otan
Bertrand pro UE pro euro pro-Schengen et pro-Otan
Hidalgo pro UE pro euro pro-Schengen et pro-Otan
Mélenchon pro UE pro euro et pro-Schengen. L' ensemble bien évidemment pro GOPE ... !
C'est le rêve, donc. Et promettre le rêve (en sachant qu'il est impossible), c'est l'astuce de tous les populistes, de Staline à Mao, d'Hitler à Maduro.
En bon populiste, Mélanche nous promet donc la Lune, nous promet qu'il fera beau temps et que demain on rasera gratis. Mais le rêve n'est pas la réalité, et l’atterrissage serait brutal : un fois spoliés les créanciers, comment leur emprunter de nouveau? La confiance ne se décrète pas.
Cela repose sur le pouvoir de création monétaire illimité par la BCE. Un particulier, une entreprise n'ont évidemment pas cette capacité. Cà peut surprendre, choquer mais c'est la réalité.
... Jean-Luc est l'archétye du rebelle français : il n'est que rentes de situation et de revenus et suggère mille pistes pour réformer l'Etat...
... déjà que ce genre de situation faite de privilèges cesse...
Aujourd hui la dette de la France atteint des sommets que seul l après guerre avait connue, malgré cela le CNR avait pût imposé aux capitalistes de l epoque tous les progrès sociaux mis en place à ce moment là. On sortait d une guerre de 5 annees!!
aujourd hui les dettes sont dues à la crise sanitaire mais pas que ,puis que avant celle ci la dette avoisinait déjà les 100pr100du PIB .mauvaise gestion, gabegie, prébendes cadeaux ficaux et ou subventions fait aux grandes entreprises avaient déjà fortement greve le budjet du pays.
Alors oui exigeons que la dette soit effacée et investissons ds la refonte de l industrie nationale et locale et ds les énergies renouvelables seules gage d un avenir pr nos enfants et petits enfants,au diable leur dette épouvantail pr faire peur aux adultes crédules. PJ
- Lepen ou Macron, à égalité
Si une personne vivante et réelle compte faire ce choix, qu'elle se manifeste dans les commentaires !
C'est pour nous habituer aux futurs résultats de Dominion et Starmatic peut-être ?
Le Pen et Melenchon sont tous les deux pro UE et sont en réalité les parfaits supporters de l' euro-mondialiste Macron soit deux opposants d' opérette qui permettent invariablement l' élection puis la réélection d' un Macron. Le seul opposant réel est le Frexit.
Sur le fonds , derrière des mots toujours bien tournés , transformer la monnaie en caillou sans autre valeur que celle décrétée par le politique est un leurre. Croire que l'on peut dépenser sans jamais payer est une folie . Restons simple , hors COVID l'état dépense 56 % de la totalité de la richesse produite en France. Il en prélève autour de 45 % ( en sacrifiant déjà largement notre compétitivité). Le reste c est du BS.
plus comme un agitateur stérile que comme un contributeur positif !
Elections pièges à gonds.