Lundi 2 juillet, face à la menace d'une dissolution de son gouvernement, Angela Merkel a fait le choix des concessions à l'extrême droite. Sous la pression de son ministre de l'Intérieur Horst Seehofer, elle a accepté l'instauration de « centres de transit » pour faciliter l'expulsion des demandeurs d'asile déjà enregistrés dans un pays européens. « [...] Essoufflée, usée, fatiguée. », l'hebdomadaire Der Spiegel ne mâche pas ses mots pour qualifier la politique de la chancelière allemande.
Depuis toujours considérée comme la locomotive de l'Union européenne, Angela Merkel est-elle aujourd'hui le maillon faible de l'Europe ?
Nous en discutons avec Marion Van Renterghem, grand reporter, Stefan Simons, correspondant à Paris du Spiegel Online et Jean-Dominique Giuliani, président de la Fondation Robert Schuman, spécialiste de l'Europe.
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