La BCE maintient ses taux inchangés malgré le risque déflationniste
La BCE a décidé de ne pas changer ses taux ce jeudi, malgré les pressions des marchés.
La BCE a décidé de ne pas changer ses taux ce jeudi, malgré les pressions des marchés.
Avec l'union bancaire, les dirigeants européens affichent leur protection des "contribuables." Mais ces contribuables risquent encore, si l'on ne pratique pas une vraie séparation bancaire, de payer.
Avant la décision très attendue ce jeudi de la BCE, La Tribune propose une revue de détail des moyens dont dispose Mario Draghi pour combattre le risque déflationniste.
La réunion de la BCE jeudi est très attendue. Pour comprendre la situation, voici un tour d'horizon des défis auxquels la banque centrale doit faire face.
Le Medef et la Fédération allemande de l'industrie ont demandé mercredi que "la compétitivité des entreprises européennes soit au cœur de chacune des politiques de l'Union".
Le tabloïd allemand fait encore ce mercredi matin une "manchette" au vitriol sur la richesse des Grecs au moment où se négocie un troisième plan d'aide. Mais leur argumentation est entièrement fausse.
L'optimisme outre-Rhin touche surtout l'industrie exportatrice qui profite de la reprise dans les pays périphériques. La demande intérieure reste faible et les investissements seront sans doute limités.
La crise des émergents pourrait peser sur les banques européennes, qui y sont particulièrement exposées au risque de crédit. En zone euro, les banques espagnoles sont les plus en danger.
L'Espagne a enregistré 113.000 nouveaux chômeurs en janvier pour s'établir à 4,8 millions. Mais le mois de janvier est traditionnellement un mauvais mois, et les signes d'une lente reprise sont bien là.
Athènes sera à cours d'argent à la mi-2014. L'Allemagne travaille à un nouveau plan d'aide. Sous conditions...
La Commission européenne publie pour la première fois un rapport faisant l'état des lieux de la lutte anti-corruption au sein de l'Union européenne.
Angela Merkel soutiendrait Jean-Claude Juncker pour être la candidat conservateur à la présidence de la commission. Un mauvais choix.
Une série d'indicateurs relativement positifs pour la zone euro a été publiée ce lundi, notamment concernant l'activité manufacturière, à son plus haut niveau depuis 32 mois ou le déficit public à 3,1% du PIB. En revanche, l'inflation reste...
Selon le Handelsblatt, Jeroen Dijsselbloem, l'actuel président de l'Eurogroupe, pourrait être remplacé dès le mois de juin par un président permanent et "neutre." Pas si facile.