Pour les gestionnaires, un embarras du choix

L'expertise des gestionnaires de flottes s'aiguisant au fil de la pratique, les constructeurs sont obligés de se démarquer pour convaincre.
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Il leur revient de cibler les fonctions et les équipements dont sont friands les collaborateurs à bord de leur véhicule de société, tout en caressant les chefs d'entreprise dans le sens du poil "financier". Un compromis assez bien obtenu avec les produits connectés, embarqués dans des véhicules respectueux de l'environnement et qui consomment peu.
La part des professionnels dans les ventes globales de véhicules particuliers est passée de 33% en 2009 à 37% en 2010. De plus, on estime qu'en 2011, 865?000 véhicules seront vendus directement aux entreprises. Une part non négligeable du marché, qui engendre naturellement une vive concurrence. Et une obligation pour les constructeurs de se structurer ou de se développer, afin de mieux encadrer cette activité. Il s'agit de se hâter pour ne pas manquer le train de la croissance économique.
De l'autre côté de la barrière, le client. De la compacte à la berline, d'une marque généraliste au Premium, exploitée par un simple achat, en crédit-bail ou encore en location longue durée... Un champ de possibles régi par de multiples taxes, et tout particulièrement en matière d'environnement.
On l'a dit, l'appréciation des entreprises va croissant, mais demander conseil en termes de fiscalité peut permettre de faire les choix opportuns. Faire face à de nouveaux arrivants, appréhender la revente des véhicules, innover... Entre constructeurs et gestionnaires, l'opération séduction est en marche.

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