
Quasiment un an après la publication par le Premier ministre de la lettre de mission qui, le 2 juillet 2019, a marqué le lancement officiel de la Convention citoyenne pour le climat, cette institution démocratique inédite, annoncée par Emmanuel Macron à l'issue du Grand débat national, achève ses travaux ce week-end. Entre vendredi et dimanche, les 150 citoyens tirés au sort voteront sur 150 propositions de mesures afin de lutter contre le réchauffement climatique, ainsi que sur un rapport faisant état de leurs réflexions. Thierry Pech, coprésident avec Laurence Tubiana du comité de gouvernance, revient pour La Tribune sur son sens et analyse son héritage.
LA TRIBUNE - La Convention citoyenne sur le climat (CCC) rend enfin ses propositions de mesures ce week-end, quasiment un an après son lancement. Quel bilan tirez-vous de cette expérience?
THIERRY PECH - Le bilan que j'en tire est extrêmement positif. Un tel exercice de démocratie représentait une première en France, et peut-être même au monde, compte tenu des ambitions fixées, impressionnantes : définir des mesures susceptibles de réduire les émissions de gaz à effet de serre (GES) de la France de 40% en 2040 d'ici
2030, leur donner une forme législative ou réglementaire et déterminer dire lesquelles
devaient emprunter la voie parlementaire, lesquelles la voie référendaire... Ce n'était pas évident que la CCC puisse atteindre un tel objectif. Mais les 150 citoyens tirés au sort ont énormément travaillé, et su valoriser pleinement leurs différences, leur capital d'expérience personnel. Je suis d'ailleurs également très satisfait des relations qu'ils ont su construire avec les experts: les fact checkers et les groupes d'appui qui se sont mis au service de la CCC, mais aussi les quelque 120 experts qui ont été auditionnés.
Lire: Nicolas Hulot appelle la Convention citoyenne pour le climat à "faire les choses en grand"
Une source de satisfaction est encore que, malgré la méfiance réciproque du début, jamais il n'y a eu d'opposition avec les institutions traditionnelles de la démocratie représentative. Le constat de l'utilité du travail mené par la CCC a permis de lever tout doute. Au fond, en France, il n'y a pas beaucoup de climatosceptiques. Les divisions portent plutôt sur les moyens pour lutter contre le réchauffement, sur le partage des efforts à consentir. C'est pour cette raison qu'il était important que 150 citoyens aussi divers que la société française elle-même se mettent d'accord sur ces moyens d'action, car le consensus qu'ils ont atteint est susceptible de rencontrer l'adhésion de leurs concitoyens.
Quels enseignements retenir de cette expérimentation?
Cette expérience montre surtout à quel point les démocraties européennes gagneraient à impliquer davantage les citoyens dans la définition des politiques publiques. De nombreux pays européens sont en effet confrontés au même phénomène : une remise en cause des institutions de la démocratie représentative telles que nous les avons connues jusqu'à présent. Face à l'urgence environnementale, imaginer de simples "inflexions" des politiques publiques ne suffit plus : des changements plus profonds sont désormais nécessaires, touchant à l'ensemble de nos modes de vie, de nos façons de produire, de consommer. Or, de tels changements imposent de trouver les moyens de construire des consensus très larges. La forte hostilité face à l'écotaxe, puis à la taxe carbone, qui pourtant avaient le soutien de nombreux experts et de nombreux élus, illustre bien ce besoin. Il faut désormais réfléchir autrement et élargir le cercle de la citoyenneté, pour que les citoyens participent aux décisions publiques.
Lire: Convention citoyenne pour le climat : « Relocalisons nos secteurs stratégiques »
Vous considérez néanmoins la CCC non pas comme une forme de démocratie directe, mais comme une nouvelle institution de démocratie représentative. Pourquoi?
Les 150 citoyens de la CCC sont bien des représentants du peuple, pour deux raisons. D'une part, ils composent un panel représentatif de la société française, et ils parlent souvent au nom de leurs concitoyens. D'autre part, comme pour tous les représentants, ils ont une fonction normative : en l'espèce, préfigurer un consensus social sur les règles qui doivent présider aux changements nécessaires pour lutter contre le réchauffement climatique.
La CCC pourrait toutefois déboucher sur une pratique de la démocratie directe: le référendum.
Le paradoxe n'est qu'apparent et tient à la distinction qu'il faut faire entre l'exercice de la CCC et le reste du processus. La CCC n'a pas de pouvoir de décision législative. Selon la Constitution française, celui-ci appartient au peuple, qui normalement le délègue au Parlement, mais qui peut exceptionnellement le reprendre via un référendum. Parmi les missions de la CCC, il y a aussi celle d'exprimer sa préférence sur ces divers modes de décision sur ses mesures, c'est-à-dire ce qui appartiendra au référendum ou au Parlement.
Comment éviter néanmoins qu'un référendum sur les propositions de la CCC se transforme en plébiscite sur l'action du gouvernement?
Examiner la pertinence de cet outil démocratique en partant de cette approche est une erreur, car ce n'est pas la seule donnée à prendre en compte. Le risque plébiscitaire est d'ailleurs plus ou moins élevé selon les contextes. En 1969, par exemple, c'est le général de Gaulle lui-même qui, par ses déclarations, a transformé le référendum en plébiscite. Le nombre de questions posées, leurs origines, le temps consacré à leur explication et à leur discussion comptent aussi. Aux Etats-Unis par exemple, dans l'Etat de l'Oregon, les questions posées sont d'abord instruites par des assemblées délibératives de citoyens, qui en préfigurent les enjeux.
Finalement, la crise sanitaire et économique du Covid-19 a-t-elle été un frein ou une opportunité pour la CCC?
D'abord, elle a surtout représenté une difficulté. Individuellement, ses membres ont dû faire face à tous les problèmes quotidiens auxquels ont été confrontés l'ensemble des Français. Et le confinement a beaucoup perturbé les travaux collectifs, qui en mars étaient sur le point de se terminer. Il est aussi vrai que cette crise a redéfini les priorités politiques, mais il est trop tôt pour dire si les questions environnementales en sortiront renforcées ou affaiblies. La difficulté dans les mois à venir sera sans doute de sauver l'économie sans sacrifier la transition écologique. Mais ce qui est sûr, c'est que l'ampleur de l'urgence environnementale est plus grande encore que celle de la pandémie. Si les intérêts de court terme devaient nous éloigner des intérêts de long terme en la matière, notre pays en sortirait deux fois meurtri.
L'exercice de la CCC a été mené au niveau national. Est-ce toujours la bonne échelle, à l'aune des enseignements de la crise sur les failles de la mondialisation et les atouts de la dimension locale?
C'est une échelle toujours pertinente, mais pas la seule. Je suis en effet convaincu qu'un tel exercice gagnerait à être étendu au niveau local, puisque de nombreux sujets liés à la transition écologique sont dans les mains des collectivités. Que les Français puissent les examiner à ce niveau aussi, ce serait la suite logique de la CCC. En outre, cela permettrait à davantage de citoyens d'être confrontés à une question très saine: celle des décisions à prendre face à des enjeux complexes comme le réchauffement climatique. Ce n'est pas simple, cela peut même paraître impressionnant, mais ils sont tous concernés et ont tous une expérience qui leur donne voix au chapitre. Il faut s'efforcer de sortir davantage de citoyens du simple rôle de spectateurs pour leur permettre de s'engager pleinement, et de montrer aux décideurs publics que, confrontés à la complexité, ils sont capables de faire des choix éclairés. Ce serait une école de décision collective et de citoyenneté, susceptible de générer une multitude de micro-décisions profitables à la transition écologique.
Lire: Face au Covid-19, les villes françaises réinventent leurs stratégies alimentaires
Comment et quand pourra-t-on évaluer le véritable succès de la CCC?
Elle est déjà un succès, puisqu'elle est parvenue à accomplir sa tâche malgré plusieurs avaries: les grèves de décembre à janvier, puis la crise sanitaire et le confinement. Les objectifs, extrêmement ambitieux, qui lui avaient été fixés ont été atteints. Mais il y aura aussi un deuxième critère de réussite: ce qu'il en restera dans les lois et les règles du pays. Son succès sera d'autant plus grand si elle inspire aux pouvoirs publiques des décisions ambitieuses et susceptibles d'être mises en oeuvre sans déchirures inutiles.
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a le à :
Je crains pour ma part, de retomber dans le schéma du grand débat post gilets jaunes.
L'arrière pensée du président MACRON est de s'attirer les faveurs des écologistes de tous poils pour les futures presidentielles.
L'amélioration de la biodiversite et de l'écologie pour sauver la planète ne dépend pas que de nous français qui ne représentons que 1 % de la population mondiale et n'avons pas à rougir de notre mode de vie et de pollution. Qu'en pensez-vous ? Dans les difficultés post COVID je vois bien d'autres priorités à surmonter dans un pays ou le niveau de la dette publique (110 % du PIB bientôt), du déficit public 60 à 90 milliards tous les ans, des dépenses publiques 56 % du PIB, des prélèvements obligatoires 46 % du PIB.....etc
Je ne sais pas si c'est au programme, mais ce qui serait tout aussi utile, serait de ramener le niveau sonore des motos à celui des voitures.
Je fais des économies sur tous les postes de dépenses auto, et surtout je ne me presse pas.
en toute liberté
car c'est bien la validation de la destruction d'emploi
et la continuité de la désindustrialisation
du pays et avec conséquence la baisse de revenue
et de cotisation donc augmentation des impôts
voila a donner la parole a des nuls
qui a été bien organisé par le pouvoir
car aucun message ne leur a été délivré sur les causes de la fermeture d'entreprise
nous allons devenir tous des assisté voir tous fonctionnaire
ou la seule présence justifiera une rémunération
et pas le travail
donc plus de production et tout sera vert
et ceci a cause de certain qui prétende dirigé une nation sans
avoir une vision du pays
ou seule la gestion au jour le jour et leur avenir
et ceux depuis les annees 1980
Encore un truc pour amuser la galerie comme le grand débat et les milliers de contributions....
L'écologie c'est et sera toujours la punition fiscale.
Nul ne sait comment ces participants ont été sélectionnés pour être nominés « élus ». Nul ne sait comment s'est fait désigner le chef d'orchestre et nul ne sait dans quel creuset tous ces figurants ont été puisés. Et c'est un institut de sondage qui a organisé la manoeuvre, pas les communes de France ni un collectif d'électeurs représentatifs des régions, des métropoles et des provinces. Chapeau bas...
Le résultat est un nauséeux simulacre. Encore une vessie de loup qui cherche à se faire passer pour une lanterne.
Le summum de la piperie est de vouloir faire croire au plus grand nombre que des propositions seront soumises à référendum.
Oui il manquait bien cela au souverain Macron pour que la pantomime atteigne des sommets de ridicule alors que bien d'autres sujets nettement plus graves et importants auraient dû être soumis depuis longtemps à la souveraineté populaire... alors que la souveraineté populaire devrait être agrandie et gravée dans le marbre.
Le roi a dit !!!
Mais le peuple reste inexistant pour le roi. C'est ce genre de machiavélisme qui a fait guillotiner Louis XVI.
Il y a des similitudes qui ne trompent pas. Il a raison de deviner qu'il y aura un monde d'après... mais il ne se doute pas un seul instant que ce ne sera pas son monde et que les français finiront par se l'inventer sans lui.
Là où l'autorité de l'Etat aurait dû et devrait être forte, il n'y a plus d'autorité censée et plus d'Etat.
Là où le peuple doit et veut se faire entendre, il y a tentatives de musellement.
Là où la souveraineté populaire devrait s'exercer, on ne trouve qu'une cacophonie de quelques roitelets usurpateurs imbus d'un pouvoir discrétionnaire.
Là où des promesses se font ne reste qu'un terrain en friche que rien ne vient rendre productif.
Là ou des règles simples, claires et raisonnables devraient s'appliquer, n'existe qu'un foisonnement de mesures contradictoires voire même discriminatoires.
Non, non et non.
Y a t'il encore quelqu'un que l'équipe en place arrive à tromper ?
Certainement pas un think thank hein, seulement une "boite à idées" comme le démontre dit le Diplo.
Maintenant le problème va revenir sur l'autoroute. Donc il faut également abaisser la vitesse des poids-lourds. Le conseil constitutionnel devant l'égalité doit être saisi de cette situation.
Dans mon département, on peut les dépasser à nouveaux sur les routes départementales qui sont repassées à 90 km/heure, ce qui est déjà un plus.
Cela aurait été idéal, 70 max pour les camions, 80 pour les bagnoles et 90 pour les motos, cela aurait été bien plus homogène comme loi mais voilà ils ont préféré permettre aux poids lourds de transporter 4 tonnes supplémentaires leur faisant détruire encore plus nos infrastructures routières, tout en consommant plus et en faisant prendre plus de risques aux utilisateurs de la route.
c'est ça le nouveau monde à Macron
plus besoin d'élus, plus besoin d'Assemblée Nationale, encore moins besoin du Sénat, pas besoin de conseillers municipaux,
juste une poignée d'individus tiré au sort ...
voilà le nouveau monde EN MARCHE.
a part remettre sur la table sa reforme de retraite
avec toute la chienlit qui vas suivre
suite a la crise ce qu'il vise c'est la destruction complète du pays
la ou il faut reconcilier pour sortir au plus vite
lui et les siens cherche a diviser
Thierry Pech, né le 8 août 1968 est un essayiste français. Ancien éditeur, il est directeur général du groupe de réflexion Terra Nova depuis 2013
Patron de Terra Nova, une officine socialiste bobo bien pensante !
Autant vous dire qu'avec un parrain comme cela les débats ont été orientés tous dans la même direction.
N'oubliez pas que ces mêmes bobos ont remis en cause avec succès le résultat du référendum de 2005 au nom de la maxime : faisons le bien même contre le peuple !
Encore une machine à taxes et autres contraintes et limitations sur notre liberté de circuler
Quelques libéraux (Louis Gallois ?) perdus au milieu.
Macron a voulu ratisser chez la goche dogmatique pour récupérer des voix.
On se s' étonne plus des choix...
1) a déjà voté. que les gouvernants applique le programme, assez de pseudo débats, haut commissaire, (sauf pour les taxes et impots c' est toujours fait en premier), on voit tous jours que ça ne sert à rien sauf à enfumer le peuple souverain.
2) le peuple souverain est berné, car l exécutif impose toujours son choix au législatif et même au judiciaire. Cette république est dévoyée.
3)le peuple souverain ne peux jamais s' exprimer directement car on interdit les référendums d initiative populaire, de peur que quelqu'un inscrive une question du genre "faut il limiter l'immigration ?" ou faut il "autoriser la GPA ?" , portant marqueurs sociétaux fondamentaux d' une nation.
Thierry Pech, né le 8 août 1968 est un essayiste français. Ancien éditeur, il est directeur général du groupe de réflexion Terra Nova depuis 2013
Patron de Terra Nova, une officine socialiste bobo bien pensante !
Autant vous dire qu'avec un parrain comme cela les débats ont été orientés tous dans la même direction.
N'oubliez pas que ces mêmes bobos ont remis en cause avec succès le résultat du référendum de 2005 au nom de la maxime : faisons le bien même contre le peuple !
Encore une machine à taxes et autres contraintes et limitations sur notre liberté de circuler
"C'est totalement déconnecté de la réalité et c'est indéfendable dans le contexte actuel. Et cette mesure discrédite totalement la convention, c'est donner le bâton pour se faire battre. Si c'est proposé, ça sera rejeté et ça aura juste discrédité notre travail," jugeait ainsi Mélanie (en séance, les membres de la convention ne sont mentionnés que par leurs prénoms)."Le partage c'est beau mais avec la crise actuelle c'est pas possible. J'ai travaillé toute ma vie 50 heures par semaine en élevant seule deux enfants. C'est toujours les mêmes qui travaillent moins, toujours les mêmes qui travaillent plus et pour des salaires minables," lançait de son côté Marie-Hélène en refusant la mesure.
Et bien sûr, derrière tout ça se cache les extrêmes (gauches bien pensantes entre autres).
C'est indéniable, ils veulent créer le chaos et le désordre... Et que fait Castaner dans tout ça, imcapable de défendre ses troupes.
Et puis tout est devenu dans notre société, excusable et excusé....
déjà les 35 heures non pas réduits le chômage comme il aurais du
mais la avec 28 plus reverser une partie donc un impôts en plus
demain c'est sans emploi pour tous et plus de France
donner du pouvoir au nuls est être encore plus nul
quel récolte le sabordage de la France
( pour être président il faut aussi avoir des idées du pays
et lui prévoir un avenir) mais rien comme disais coluche pas un gramme
mais ou vas t'on
ras le bol de ce snobisme y compris des ministre qui refuse les mots Français
une réduction de rémunération pour chaque mots en anglais..
c'est une macronade pur jus ;
A la bonne vôtre !
Ne nous laissons pas spolier par une poignée de Français manipulés par des écologistes extrémistes.
Privilégier le local, arrêter les CETA et autres accords de libre échange, sauf avec nos voisins immédiats, revaloriser nos agriculteurs, bref, redevenir souverains.
Mais cette matière passe au travers des règles de bon sens, on devrait pouvoir obliger tout produit avec la mention 80% fer de recyclage minimum.
En attendant la vieille ferraille est payée entre 4 et 6 cmes le kg, pas bien motivant pour ceux qui trient, le monde à l'envers, piailler pour le climat et pas de subvention pour celui qui se donne du mal à trier, c'est incohérent.
1/Train Forcé, avec bagages trop encombrants et non surveillés,
pour Paris-Centre : avion interdit,
2/ Et essayer d'attraper le vol international ou DOM TOM, après ENCORE trajet Paris-Orly, ou Paris Roissy-Charles De Gaulle avec ses encombrants bagages
ENCORE AU PREJUDICE DES PROVINCES.
Mais aucun des participants n'a eu l'idée d'une telle proposition qui de toute façon n'aurait pas été retenue par un régime qui ne voit que par le taux de croissance et celui de la consommation. Rien ne sera fait pour protéger notre planète ! nous allons rapidement à notre disparition...
Les questions intéressantes pour la planète sont par exemple:
-comment convaincre l'Allemagne de ne plus construire de mega centrales à charbon?
-comment convaincre Bolsonaro d'arrêter de massacrer la forêt amazonienne ?
-Comment convaincre la Chine d'arrêter de piller et de détruire sans bruits l'Afrique?
-comment convaincre les populations pauvres d'arrêter de se reproduire?
Rien que ça et la Terre se portera mieux.
40.000 euros, c'est l'amende que va devoir payer un couple de Guangzhou au Bureau municipal de la santé. La raison ? Ils viennent d'accueillir un troisième enfant, ce qui n'est pas autorisé dans le pays, rapporte le Courrier international. Faute d'argent suffisant "les comptes bancaires du couple ont été gelés, sur décision du tribunal", confirme le site d’informations Jiemian.
Il faut dire que la famille, composée de sept personnes, dont deux grands-parents, ne vit que sur le salaire du père. Ce dernier, qui travaille dans les télécommunications, gagne 10.000 yuans par mois, soit 1.300 euros. Une amende salée qui vient s'ajouter à une situation déjà compliquée, la grand-mère "étant atteinte d’un cancer, et le deuxième enfant n’étant toujours pas inscrit à l’école maternelle, faute de moyens, explique la mère de famille à Jiemian.
Thierry Pech, né le 8 août 1968 est un essayiste français. Ancien éditeur, il est directeur général du groupe de réflexion Terra Nova depuis 2013
Patron de Terra Nova, une officine socialiste bobo bien pensante !
Autant vous dire qu'avec un parrain comme cela les débats ont été orientés tous dans la même direction.
N'oubliez pas que ces mêmes bobos ont remis en cause avec succès le résultat du référendum de 2005 au nom de la maxime : faisons le bien même contre le peuple !
Encore une machine à taxes et autres contraintes et limitations sur notre liberté de circuler
Suivra le cout de tout cela qui se traduira par de nouveaux impots.
Pauvre France.
Le changement d'axe de la terre suite à un tremblement de terre sud américain, au déplacement du pôle nord magnétique de 50 km par an, plue de 500 kilomètres en 10 ans passé du Canada à la Russie. Par ailleurs l'atmosphère contient toujours 0,44 % de CO2 sans changement mesurable. Planter des arbres Oui mais sans CO2 pas de croisance. Intéressez vous plutôt aux micro-loupes qui multiplient la chaleur solaire émises par les avions et là il y a un gros progrès à faire plut^0t que de vous faire taxer pour le CO2.
votre pseudo porte bien son nom. vous voulez remettre en cause le droit de propriété et faire payer encore une nouvelle taxe à certains pour payer les lubies décidées par d'autres.
je remettrai plutôt le vote censitaire en œuvre. Seul peut voter et donc décider de l'impôt celui qui le paye...!
"Ben voyons ! Quelques pays tout au plus et uniquement des pays de faible superficie... "
J'ai juste regardé sur le net :
- Canada : 100 km/h à 110 km/h
- États-Unis:70 mph (113 km/h) ,plusieurs états à 65 mph (105 km/h),le Texas est l'État où la limite est la plus élevée avec une vitesse maximale de 85 mph (137 km/h).
Mexique: 90 à 110 km/h.
- Chine: 100 km/h
- Corée du sud : Les voies rapides et autoroutes publiques sont également limitées à 80 km/h. Sur les autoroutes privées, la vitesse maximale autorisée est habituellement de 100 km/h mais peut être théoriquement portée jusqu'à 120 km/h.
- Indonésie : la limitation varie entre 60 km/h et 100 km/h.
- Japon : 100 km/h.
L'Union européenne recommande une vitesse maximale inférieure à 130 km/h. Toutefois en Allemagne, les deux tiers des tronçons d'autoroute n'ont pas de limitation de vitesse maximale mais seulement une vitesse recommandée et en Pologne ainsi qu'en Bulgarie, la vitesse maximale est de 140 km/h. La plupart des pays ont une vitesse maximale de 120 km/h (c'est le cas de la Suisse et de la Belgique).La Norvège est le pays européen avec la vitesse maximale sur autoroute la plus basse, elle s'élève à 100 km/h.
-
une bobo mesure qui montre la composition de cet aréopage. Rendre obligatoire l'isolation des bâtiments en 2040, on a le temps devant nous.
Trop fort les gars !
il est plus judicieux de proposer une convention pour le climat social !
d'idées de lois restrictives voire liberticides proposées par le peuple contre
lui-meme....desesperant.
Thierry Pech, né le 8 août 1968 est un essayiste français. Ancien éditeur, il est directeur général du groupe de réflexion Terra Nova depuis 2013
Patron de Terra Nova, une officine socialiste bobo bien pensante !
Autant vous dire qu'avec un parrain comme cela les débats ont été orientés tous dans la même direction.
N'oubliez pas que ces mêmes bobos ont remis en cause avec succès le résultat du référendum de 2005 au nom de la maxime : faisons le bien même contre le peuple !
Encore une machine à taxes et autres contraintes et limitations sur notre liberté de circuler
Thierry Pech, né le 8 août 1968 est un essayiste français. Ancien éditeur, il est directeur général du groupe de réflexion Terra Nova depuis 2013
Patron de Terra Nova, une officine socialiste bobo bien pensante !
Autant vous dire qu'avec un parrain comme cela les débats ont été orientés tous dans la même direction.
N'oubliez pas que ces mêmes bobos ont remis en cause avec succès le résultat du référendum de 2005 au nom de la maxime : faisons le bien même contre le peuple !
Encore une machine à taxes et autres contraintes et limitations sur notre liberté de circuler
Quand j'entends que la voiture c'est 60% du CO2 (= passer tous à l'électrique avec une sorte de location longue durée vu les prix des engins rendant l'achat impossible à pas mal de monde), ça me laisse rêveur, le journaliste a dû oublier un bout de phrase, peut-être "60% du CO2 des transports & déplacements" (trains diesels, voitures, camions, bus) sinon y a un problème, quid du chauffage, de l'industrie, de l'agriculture ? En ville je comprends, déjà moins de bruit hors roulement (il existe des chaussées bruyantes, en ai entendu en Suède, c'est une nuisance, peut-être que ça tient mieux en hiver sous la neige ? En Norvège, silence en roulant). Diviser l'élevage par deux en payant mieux les éleveurs (pas par bonne volonté des industriels) et évitant d'importer de quoi les nourrir, ça réduirait fortement la pollution, mais rendrait les produits carnés chers (aïe aïe, même le pot au feu ? Qui sait que ça existe comme préparation ? Vite un sondage ! :-) )
je suis sur qu'il y a eu plein de bonnes idees ' pour les autres' et ' payees par personne'.........
interdisons les produits venus d'ailleurs, relocalisons les activites, obligeons total a produire un petrole qui n'emet pas de co2, faisons du transports gratuit pour tous, interdisons le travail, ca enelvera les deplacements professionnels, obligeons les agriculteurs a planter sans tracteur, et a recolter a la main
c'est les memes qui ont mis les entreprises dehors ( et qui ne reviendront pas), qui achetent des produits chinois en supermarche car c'est pas cher, qui prennent leur voiture pour un oui ou un non, qui veulent un revenu universel pour ne plus devoir travailler, et qui veulent manger sainement de preference ( mais pas cher, hein, vu qu'ils n'ont pas beaucoup d'argent), et que toute la population soit nourrie
si vous voulez plein d'idees, je peux vous ecrire un livre sur tout ce qui est souhaitable que les francais fassent!
a commencer par ne pas utiliser de masques jetables, de gants en plastiques, de ne pas manger des boites de conserves, de pates pas tres saines pour leur sante, etc.... ah mais oui mon bon monsieur, mais la on a change d'avis a cause du covid!
demandez a ces gens ' qu'etes vous pret a faire a titre personnel', et vous aurez des reponses surprenantes ( genre ' rien, car je n'en n'ai pas les moyens moi')
Peu de liberté d'action quand même hein puisque demande bien trop précise pour laisser parler les citoyens que nous sommes.
Demain une convention citoyenne afin de calibrer les nouvelles gouttières pour qu'elles passent à 12cm de diamètre au lieu de 10 actuellement.
Désolé de casser l'ambiance hein mais tout cet enthousiasme pour si peu expose comme nous aurions besoin en tant que citoyens de nous exprimer, que nous en avons de plus en plus envie mais que c'est bien trop encadré pour en tirer une quelconque leçon démocratique.