Le père Georges Vandenbusch, enlevé par Boko Haram le 14 novembre dernier dans le nord du Cameroun, est resté détenu pendant sept semaines au Nigéria. Sept semaines où il dit avoir vu « l'extrême banalité du mal ».
Mais pour lui, et comme le montre le récent enlèvement de plus de 200 lycéennes nigérianes par ces terroristes, « ce qui est grave, c'est ce qu'ils font aux populations civiles. Il faudrait qu'il y ait un processus de négociation et en même temps une armée pour leur faire la guerre sérieusement ».
EXPRESSO
Par Thibaut Nolte
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