Dette et déficit : comment le gouvernement veut « refroidir la dépense publique »

Le gouvernement compte accélérer le désendettement de l'économie française en dopant l'activité et en créant plus d'emplois. Mais les dernières prévisions du nouveau programme de stabilité envoyé à Bruxelles semblent optimistes. Bercy compte également sur l'extinction du bouclier tarifaire et la fin des chèques énergie pour les ménages afin de réduire la dépense. Enfin, la Première ministre Elisabeth Borne a envoyé une lettre de cadrage à chaque ministère pour tailler dans les dépenses.
Grégoire Normand
Le ministre des Comptes publics, Gabriel Attal, et le ministre de l'Economie, Bruno Le Maire.
Le ministre des Comptes publics, Gabriel Attal, et le ministre de l'Economie, Bruno Le Maire. (Crédits : Reuters)

Emmanuel Macron veut tourner la page de l'épisode houleux de la réforme des retraites. Après trois mois de mobilisation intense et d'âpres débats, le chef de l'Etat a rapidement embrayé sur les réformes du travail en espérant que la colère retombe. En déplacement ce jeudi 20 avril dans l'Hérault, le chef de l'Etat a fait des annonces de revalorisation sur le salaire des enseignants. Mais les tensions sont loin de s'apaiser. Dans de nombreux secteurs, les travailleurs et les syndicats sont particulièrement remontés contre l'utilisation du 49-3 par l'exécutif pour faire passer sa réforme décriée.

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Dans ce contexte brûlant, les ministres de Bercy ont dévoilé leur feuille de route budgétaire pour les cinq prochaines années ce jeudi. Avant d'envoyer le programme de stabilité à Bruxelles la semaine prochaine, le ministre de l'Economie, Bruno Le Maire, a annoncé qu'il voulait accélérer le désendettement de la France. La dette publique en pourcentage du produit intérieur brut (PIB) devrait passer de 111,6% à 108,3% entre 2022 et 2027 alors qu'il anticipait une hausse de 111,9% à 112,5% sur la même période lors du précédent programme de stabilité présenté à l'été 2022.

Le déficit public devrait, lui, passer de 4,7% du PIB en 2022 à 2,7% en 2027. En juillet dernier, Bercy tablait sur un solde public passant de 5% en 2022 à 2,9%. Sur la dépense publique, le ministère de l'Economie a conservé la même cible à 53,5% du PIB d'ici 2027 avec une trajectoire légèrement modifiée. « Nous devons impérativement reconstituer nos marges de manœuvre si nous devons faire face à de nouveaux chocs conjoncturels. En demandant un effort aux Français sur la réforme des retraites, il est normal de demander un effort à nos collectivités », a déclaré le ministre de l'Economie lors d'un point presse.

De son côté, le ministre des Comptes publics, Gabriel Attal, a tiré la sonnette d'alarme sur la hausse des taux et la charge de la dette. « C'est un moment de bascule, c'est la fin de l'ère de l'argent gratuit. Il y a un an, la France empruntait à 1%. Aujourd'hui, la France emprunte à 3%. La France doit reprendre le contrôle de la dette pour rester libre. Cette dette n'est pas gratuite. Elle doit être remboursée. »

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Plus de croissance pour diminuer le ratio dette sur PIB, un pari compliqué

Comment expliquer la modification de cette trajectoire ? L'exécutif compte sur une croissance plus soutenue lors des prochaines années. « Le premier pilier de cette stratégie est la croissance », a ainsi déclaré Bruno Le Maire. « Il faut augmenter la richesse nationale pour diminuer le ratio de dette sur PIB, par le travail et la baisse d'impôt. La réforme France Travail doit permettre de faire revenir nos compatriotes qui sont les plus éloignés du marché du travail. Le plein emploi est à portée de main. Tous ceux qui travaillent en France travaillent beaucoup. C'est notre volume global de travail qui doit augmenter », a-t-il poursuivi. Dans le document envoyé à Bruxelles, les économistes de Bercy tablent toujours sur une croissance de 1% en 2023, 1,6% en 2024 et 1,7% en 2025 et 2026. Et enfin 1,8% en 2027.

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Sur ce point, l'accumulation des crises (pandémie, guerre en Ukraine, énergie) a montré que les prévisions macroéconomiques devenaient très périlleuses et complique sérieusement l'équation budgétaire du gouvernement. Le dernier climat des affaires publié par l'Insee ce jeudi matin souligne que la confiance dans l'économie est à un niveau inédit depuis le printemps 2021.« Les données du climat des affaires indiquent que le rythme de croissance de l'économie française sera probablement très faible au cours des prochains trimestres. Une croissance de l'ordre de 0.1% en glissement trimestriel est attendue pour le deuxième trimestre », a affirmé l'économiste d'ING, Charlotte de Montpellier. Elle prévoit « des perspectives ternes » pour la seconde partie de l'année. « Il y a une forme d'aplatissement de la reprise depuis la fin de l'année 2021 », a ajouté l'économiste, Mathieu Plane, lors de la présentation des dernières perspectives de croissance de l'OFCE à la mi-avril. En outre, ce coup de frein de l'économie pourrait se traduire par des destructions d'emplois et une remontée du chômage selon les conjoncturistes de Sciences-Po et de la Banque de France.

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Fin des chèques et extinction du bouclier énergie

L'inflation devrait rester élevée à 4,9% cette année selon le gouvernement avant de redescendre à 2,6% en 2024 puis 2% en 2025 et enfin 1,75% à l'horizon 2027. L'accalmie sur les prix de l'énergie devrait s'accélérer et permettre à l'indice général des prix de poursuivre le ralentissement dans les mois à venir. Dans sa stratégie, le gouvernement compte bien sur le reflux des prix du gaz, du pétrole et de l'électricité pour baisser ses dépenses en faveur des ménages et des entreprises. « Le second pilier est la sortie du bouclier énergétique dans les deux années à venir. Nous mettrons fin à la politique des chèques exceptionnels », a annoncé Bruno Le Maire. Face à l'envolée des prix après l'éclatement du conflit en Ukraine, l'exécutif avait mis en place un bouclier sur les prix du gaz et de l'électricité dont le coût brut est estimé à 24 milliards d'euros en 2022 par Bercy.

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En prenant en compte les prélèvements sur les entreprises énergétiques, le coût net est estimé à « 7 milliards d'euros » selon l'entourage des ministres. « Pour cette année, il est encore difficile d'avoir un chiffre définitif du coût du bouclier tarifaire », a indiqué Bruno Le Maire. Mais il sera sans doute moindre que l'année dernière. En effet, l'exécutif à réhaussé le plafond du bouclier à 15% en début d'année. Ce qui signifie qu'une partie de la hausse sur le premier trimestre a été encaissée par les ménages. Ce bouclier moins généreux et l'extinction des différents chèques devraient permettre au gouvernement d'alléger les dépenses. S'agissant du carburant, le ministre de l'Economie a également annoncé que les dépenses en faveur des ménages avaient fondu passant de 8 milliards d'euros en 2022 à 1 milliard d'euros en 2023.

Des coupes de 5% dans les dépenses des ministères demandées par Elisabeth Borne

Pour accélérer le désendettement, l'exécutif compte également sabrer dans les dépenses des ministères. « La réforme des retraites demande un effort aux Français. En retour, nous garantissons l'équilibre financier du système par répartition. C'est aussi pourquoi on doit demander des efforts à l'Etat et aux administrations. Ce serait injuste », a souligné Bruno Le Maire.

Dans une lettre de cadrage consultée par La Tribune, la Première ministre Elisabeth Borne demande à chaque ministre de trouver 5% d'économies dans leur périmètre sans tailler dans la masse salariale. « Afin de réorienter le budget de l'Etat vers cette priorité [la transition écologique], je vous demande de transmettre à mon directeur de cabinet, en amont des réunions budgétaires annuelles conduites par le ministère chargé des Comptes publics, des propositions pour dégager des marges de manoeuvre financières au sein de vos budgets », ordonne la locataire de Matignon. Les négociations pour la préparation du budget 2024 cet été promettent d'être tendues.

Grégoire Normand
Commentaires 42
à écrit le 22/04/2023 à 22:18
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Les états dépensiers sont pris au piège de la hausse des taux et de l'arrêt de l'achat des OAT par la BCE. Maintenant il faut aller chercher les créanciers sur le marché et pour qu'ils nous prêtent, ils imposeront leurs volontés et c'est généralement...

à écrit le 22/04/2023 à 16:08
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Il seraiut bon d'expliquer en détail que la France qui a déjà 3.000 milliards de dettes publiques, s"'apprêtent à emprunter sur les marchés 270 milliards de plus d'ici fin 2023 pour terminer ses fins de mois difficiles. Bruno LE MAIRE demande aux min...

à écrit le 22/04/2023 à 13:58
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Ca ne servira absolument à rien, le déficit est structurel, armée surdimensionnée pour un pays de petite taille, outre mer aux quatre coins du mone ingérable pour un pays de petite taille comma la France, etc...

à écrit le 21/04/2023 à 14:28
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Les prêteurs ne souhaitent pas un remboursements leur souhait maintenir le taux. Pour la France le problème jusqu'où les prêteurs estiment la possibilité pour la France de rembourser au taux du marché.La France peut encore augmenter les taxes sur l'i...

à écrit le 21/04/2023 à 11:51
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Il y a l'état mais aussi les collectivités locales , Hidalgo par ex qui a fait exploser la dette de la ville de Paris. Nous avons pléthore de fonctionnaires qui produisent des normes incompréhensibles qui freinent les initiatives. Les politiques ne s...

le 21/04/2023 à 16:45
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En parlant d'hidalgo. La consultation en ligne lancée ce lundi 17 avril sur la pérennisation d’une file réservée du périphérique recueille déjà 3 000 réponses environ. Plus de 80 % des avis sont plutôt défavorables au projet. Malgré ce résultat, l...

à écrit le 21/04/2023 à 10:18
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Réduire drastiquement le nombre de ministres, rembourser les parlementaires aux frais réels limités avec jeton de présence, bien payer les ministres avec prime aux résultats; bref appliquer les recettes du Privé qui semblent si bien lui réussir. J'av...

le 21/04/2023 à 19:07
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Diminuer le nombre de ministre ou rembourser les parlementaires aux frais réels de présence, ne peut pas régler 150 milliards de déficit du budget, même si les petits ruisseaux font les grandes rivières. Quand on veut diminuer les dépenses, il suffit...

à écrit le 21/04/2023 à 10:03
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Les hausses qui nous attendent bientôt : Le blocage des prix du gaz et de l’électricité, c’est bientôt terminé. Interrogé sur LCI ce vendredi, le ministre de l’Économie Bruno Le Maire, a dévoilé le calendrier de l’arrêt de cette protection des con...

à écrit le 21/04/2023 à 9:44
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Tjrs de l'humour chez nos ministres de l'économie et du budget très volontaristes sur la dette mais le résultat est inversement proportionnelle aux discours. Après l'emballage pour que les chiffres correspondent aux discours est souvent acrobatique....

à écrit le 21/04/2023 à 9:36
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Ce matin dans mon quotidien: augmentation des profs (sans doute nécessaire) et coup de pousse pour les vacances des familles défavorisées (sans doute nécessaire).. Les deux façons de détruire un pays sont la guerre et la dette, la guerre arrive et la...

le 21/04/2023 à 13:41
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"Général qui fait un remarquable travail" : disons que c'est plus facile quand on a le droit de dépenser sans compter pour répondre au caprice d'un président ...

le 21/04/2023 à 16:47
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"la guerre arrive " C'est d'ailleurs un moyen pour Macron de se maintenir au pouvoir.

à écrit le 21/04/2023 à 9:21
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On va pleurer sous peu dans quelques mois lorsque le Président et Gouvernement seront obligés par la commission Européenne de mettre en application la loi Sapin 2.

le 21/04/2023 à 16:51
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"de mettre en application la loi Sapin 2. " Promulguée le 9 décembre 2016. Ses dispositions sont entrées en vigueur le 1er juin 2017.

à écrit le 21/04/2023 à 9:18
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La dette qu'engagent de soi-disant responsables, fait le déficit du domaine public.. a l'image de la privatisation des profits et de la socialisation des pertes ! Non? ;-)

le 21/04/2023 à 13:54
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Bonjour, Exacte, les profits s'est pour les patron , les pertes s'est pour tout le monde... ( Ons demande une aide exceptionnelle pour sauver l'emploi). D'ailleurs, si une grande partie des ouvriers sont très pauvres, se n'est pas le cas des patron...

le 21/04/2023 à 19:10
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@ Roger : Alors si les choses sont si binaires, faites vous patron.

à écrit le 21/04/2023 à 9:11
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Homéopathie. Des vraies coupes dans les dépenses publiques se feront seulement quand la France ne pourra plus se financer sur les marchés. C'est le est le seul espoir pour la France. Les français n'en sont pas capables: ils sont persuadés que l'arg...

à écrit le 21/04/2023 à 6:38
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Bonjour, S'est simple , arrêté de donner de l'argent publique a tous s'est grns qui ne travail pas.... N'importe comment, les francais savent bien d'ou viennet les déficits depuis 30 ans ..ils suffit de regarder dans la rue , tous s'est individu ...

à écrit le 21/04/2023 à 5:16
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croissance du .... déficit et bientôt le FMI aux fesses pour rembourser les dettes, comme les Grecs, les Italiens, en amputant les retraites, vive la France des Jeux Olympiques de Misères.

à écrit le 21/04/2023 à 2:22
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On n'est pas prêt de la rembourser la dette. Et jamais le gouvernement ne pourra remettre les faignasses au travail. Une amie chef d'entreprise, qui recrute pour des formations, se retrouve actuellement avec Pôle Emploi qui lui propose d'incorporer d...

le 21/04/2023 à 8:56
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Voeux pieux, la France ne peut pas vivre sans son énorme dépense public. Chacun de nous Français demande sa petite part d'aide de l'état et on veut toujours plus de service public. Donc c'est impossible de réduire nos dépenses publiques sans une refo...

à écrit le 21/04/2023 à 0:28
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Il est si facile de prédire ce qui va se passer dans les 5 à 7 prochaines années. Les dirigeants du gouvernement ne voudront pas réduire les dépenses et, pour les rares fois où le sujet sera abordé, les gens dans la rue empêcheront toute réduction, l...

le 21/04/2023 à 1:48
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Scenario helas previsible.

à écrit le 20/04/2023 à 22:02
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Apres que Lemaire I ait dépensé sans compter , Le maire II s'en trouva fort dépourvu. He! Lemaire II, si tu réduisais le "pognon de dingue" de 160 milliards d'aide publique pour les entreprises privées, le premier budget de l'état. Ah c'est vrai, tu ...

à écrit le 20/04/2023 à 21:47
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La plainte au pénal contre Ursula von der Leyen sur des SMS à 75 milliards d'euros avec Pfizer, ils font quoi les politiques français ? À t' elle déclaré la guerre à Poutine à coup de SMS avec Washington ? C'est quoi cette commission européenne ? qu...

à écrit le 20/04/2023 à 21:09
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Et bien excepté les enseignants, corporation oblige, je parie qu’ils vont d’abord geler le point d’indice des fonctionnaires pour faire stagner les dépenses tout en ayant des recettes calées sur l’inflation. Classique.

à écrit le 20/04/2023 à 19:55
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Aujourd'hui : "La France redevient le pays européen où l'électricité est la plus chère !"

à écrit le 20/04/2023 à 19:37
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Bruno Lumière est clairement sur la sellette qui vole de velléités en velléités. Je m' explique, Le /1/202, bruno Lumière se pavanait en étant «porteur du projet de réindustrialisation verte» de la France Le 6/03 les grands groupes...

le 21/04/2023 à 5:54
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Recettes fiscales 300 milliards dépenses de l’état 450 milliards voilà le problème les dépenses de fonctionnement de l’état sont excessives, il faut trancher

à écrit le 20/04/2023 à 19:29
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Qui a dit " il y a un chat qui marche en arrière encore plus vite que les autres pour nous faire comprendre que « le mensonger s’est menti à lui-même » ? Ce chat s’appelle Bruno.

à écrit le 20/04/2023 à 19:07
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la france a une credibilite 0; elle est portee a bout de bras par l'allemagne qui n'en peut plus, j'en discutais encore avec eux la semaine derniere.......hollande a promis un retour a l'equilibre en 2173, ce qui laisse de la marge pour depenser d'ic...

le 20/04/2023 à 22:48
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Vous racontez ´ importe quoi .. si on nous prête encore c est que le pays est riche - pas tous les citoyens notamment ceux ne gagnant pas + 2500€..- comparez l épargne des français : 7000 milliards .. faut pas confondre état et pays , de même l Alle...

le 20/04/2023 à 22:48
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Vous racontez ´ importe quoi .. si on nous prête encore c est que le pays est riche - pas tous les citoyens notamment ceux ne gagnant pas + 2500€..- comparez l épargne des français : 7000 milliards .. faut pas confondre état et pays , de même l Alle...

le 21/04/2023 à 7:00
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@Cigidu. Pour votre gouverne un pays en etat de banqueroute a tous ces avoirs geles. Les comptes epargnants et autres valeurs sont en premiere ligne. Alors vos 700KE, vous pouvez vite les convertir en Francs Suisse.

à écrit le 20/04/2023 à 18:54
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ici un article comme quoi Bruno le rigolo promet de baisser le deficit et juste a cote un article qui explique que macron va augmenter de 200 € net min les profs. Soyons clair,si on veut recruter des profs motivés ils faut arreter de les sous payer m...

à écrit le 20/04/2023 à 18:24
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Lorsque l'on voit le gaspillage de l'argent public des administrations et des entreprises publiques types sncf, EDF, etc et des largesses données aux fonctionnaires avec des augmentations de salaires malgré leur faible productivité et sans contre par...

le 20/04/2023 à 18:54
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Sans oublier que "le gaspillage de l'argent public " profite également à certaines entreprises privées qui ne s'en plaignent pas et qui même en redemandent comme le secteur du BTP !!

le 20/04/2023 à 23:48
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Affirmer n est pas savoir … de quelles augmentations , largesses parlez vous de quelle productivité parlez vous … facile de faire du bashîng . donnez moi votre secteur votre métier et je vous en trouve des anomalies ..?Ex sncf Ca effectif : 1984 :...

à écrit le 20/04/2023 à 18:09
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Toujours la même technique qui a toujours réduit les déficits à la marge en voulant doter la croissance, c’est bien mais très insuffisant on ne voit rien sur la réforme de l’état avec des dépenses de fonctionnement gigantesques

le 20/04/2023 à 19:03
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@carlier "Des dépenses de fonctionnement gigantesques" avec un vol organisé par la caste post loi Pompidou Giscard de 73 afin de faire payer une montagne d' intérêts aux banquiers privés, afin d' assurer une paupérisation et ...

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