Rio Tinto veut approfondir son développement en Chine. Mais dans son secteur, les mines, difficile de s'implanter dans la République populaire sans l'appui du gouvernement. Le géant mondial envisagerait donc de créer des joint-venture avec des groupes tels que Chinalco, qui sont sous étroite surveillance des autorités.
Tom Albanese, le directeur générale de Rio Tinto s'est confié au Britain's Observer. Il affirme que son groupe souhaite former des partenariats avec des entreprises chinoises pour développer de nouveaux projets d'extraction de minerai de fer. Selon lui, les Chinois se chargeraient de construire les infrastructures nécessaires au transport des matières premières (routes, voies ferrées et ports).
Le géant chinois de l'aluminium, Chinalco, est déjà lié à Rio Tinto. Le groupe a pris une participation de 9% dans le groupe d'origine sud-américaine. Une opération qui avait principalement pour but de se protéger d'une offre de rachat du leader mondial du secteur minier: BHP Billiton.
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