Le résultat net part du groupe à bondi de 61% au premier semestre par rapport à l'an dernier, et s'élève à 230 millions d'euros. Mais à la tête du group on prévient que le reste de l'exercice s'annonce "incertain et difficile"
L'Ebitda (excédent d'exploitation) a augmenté de 9,8% cette hausse s'explique en partie par un changement comptable lié à un changement de fiscalité avec le remplacement de la taxe professionnelle par la cotisation foncière des entreprises (CFE) et par la cotisation sur la valeur ajoutée des entreprises (CVAE). Sans tenir compte de ce changement, il ne progresse que de 6,9%.
Le chiffre d'affaire est en hausse de 6,8% à 20 milliards d'euros mais seulement de 1% (hors essence) si l'on déduit les effets de l'augmentation du nombre de magasin et les effets de change. Ce groupe qui a des filiales dans le monde entier réalise 54% de son chiffre d'affaires à l'étranger, et 46% en France.
Le groupe contrôlé par la famille Mulliez a part ailleurs fait état d'une diminution sensible de son niveau d'endettement qui passe à 4,18 milliards d'euros soit 52% des capitaux propres contre 64% l'an passé avec une dette de 4,65 milliards.
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