Le bilan économique du quinquennat Macron percuté par la pandémie

DÉCRYPTAGE. Croissance, chômage, emploi, pouvoir d'achat, commerce extérieur... Les cinq années au pouvoir d'Emmanuel Macron ont profondément été marquées par les violentes secousses de la pandémie. A 100 jours de l'élection présidentielle, la menace du variant Omicron plane au dessus du chef de l'Etat et futur candidat.
Grégoire Normand
La campagne électorale d'Emmanuel Macron pourrait se transformer en parcours d'obstacles.
La campagne électorale d'Emmanuel Macron pourrait se transformer en parcours d'obstacles. (Crédits : Reuters)

A 100 jours du premier tour de l'élection présidentielle, l'heure des bilans a sonné. Après avoir été notamment propulsé vers sa candidature un après-midi lyonnais par Gérard Collomb, Emmanuel Macron avait organisé son premier meeting au parc des expositions de la porte de Versailles réunissant "plus de 15.000" personnes selon les chiffres de son entourage. Le jeune ministre de l'Economie de François Hollande entamait alors sa campagne dans une bataille présidentielle pleine de rebondissements.

Cinq ans après, le chef de l'Etat, pas encore officiellement candidat à un second mandat, a défendu les principales réformes de son quinquennat dans un entretien fleuve de plus de deux heures accordé à TF1 et LCI, laissant transpirer son envie de rester à l'Elysée pour un bail de plus. Dans les semaines à venir, le président défenseur de la politique du "en même temps" et du "quoi qu'il en coûte" doit jouer un rôle d'équilibriste entre sa candidature et sa fin de règne qui approche à grand pas.

Surtout, la pandémie continue de semer le trouble dans la course à l'Elysée. L'accélération du variant Omicron sur le territoire européen oblige sans cesse le gouvernement à revoir sa stratégie d'endiguement. Les candidats à l'investiture suprême s'interrogent sur l'organisation de leur campagne sérieusement bousculée par cette maladie infectieuse à rallonge. Il est en effet difficile d'imaginer de grands rassemblements de partisans à l'intérieur de salles dans les semaines à venir. Dans ce contexte sanitaire troublé, le bilan économique du quinquennat Macron à partir des grands indicateurs économiques tels que la croissance, le chômage, l'emploi, le pouvoir d'achat pourrait encore bouger à l'horizon du premier tour du scrutin fixé le 10 avril 2022.

Macron cour du Louvre 2017

Emmanuel Macron le soir de sa victoire à la présidentielle le 6 mai 2017 à son arrivée dans la cour du Louvre avant son discours. Crédits : Reuters.

Une croissance heurtée par la pandémie

La croissance de l'économie française a été violemment chahutée par la pandémie. En 2020, la croissance du produit intérieur brut (PIB) avait reculé de 7,9% par rapport à 2019, soit un niveau inédit depuis la Seconde Guerre mondiale. La mise sous cloche de l'économie au premier confinement avait provoqué un plongeon vertigineux de l'activité dans de nombreux secteurs. Près de deux ans après l'arrivée du virus sur le Vieux continent, l'économie tricolore a retrouvé des couleurs en 2021 avec un rebond spectaculaire estimé à 6,7% lié au creux historique de 2020.

Si la vaccination a insufflé un vent d'optimisme en début d'année 2021 malgré de nombreux couacs, la cinquième vague et le variant Omicron ont de nouveau assombri les perspectives. La Banque de France a révisé à la baisse ses perspectives économiques pour 2022 à 3,6% contre 4% en septembre dernier.

Interrogé sur le niveau de croissance entre 2017 et 2022, l'économiste de COE Rexecode, Emmanuel Jessua, explique que "les mesures de politique économique prises en début de quinquennat étaient de nature à améliorer la croissance potentielle. De fait, la croissance a été élevée en début de quinquennat mais a été coupée dans son élan par la crise sanitaire."

A titre de comparaison, la moyenne de la croissance du PIB était d'environ 0,8% entre 2012 et 2016 sous le mandat de François Hollande contre 2% en moyenne entre 2017 et 2019. En prenant en compte les deux dernières années de mandat marquées par la pandémie, la moyenne de la croissance du PIB s'élève à 1% environ.

Bars fermés

La fermeture des bars décidée au printemps 2020 a été vécue comme un traumatisme pour beaucoup de professionnels. Crédits : Reuters

Un chômage à 7% d'ici la fin du quinquennat ?

Sur le front du chômage, les indicateurs sont plutôt au vert. Lors de la prise de pouvoir d'Emmanuel Macron en 2017, le taux de chômage au sens du bureau international du travail (BIT) était à 9,4% selon l'Insee. D'après les dernières projections de l'institut de statistiques, ce ratio pourrait frôler les 7,6% à la mi-2022.

"La France a retrouvé son niveau d'emploi d'avant la crise grâce à l'activité partielle. De ce fait, on a aussi retrouvé les problèmes d'avant-crise avec les difficultés de recrutement. Il existe des tensions inédites dans la plupart des secteurs alors que la France est à 8% du chômage. Cela traduit le fait que l'on vient mordre sur le noyau dur du chômage", rappelle Emmanuel Jessua.

Même si le chômage a reflué sur les cinq dernières années, les difficultés pour atteindre le plein emploi persistent malgré les vastes réformes de libéralisation du marché du travail. "Le chômage est un serpent de mer douloureux pour les gouvernements. La France est toujours à 8% et elle devrait rester longtemps à ce niveau. Beaucoup de gens reviennent sur le marché du travail. La France devrait avoir du mal à atteindre les 4% comme en Allemagne ou aux Etats-Unis" complète Anne-Sophie Alsif, cheffe économiste du cabinet conseil BDO France et professeure d'économie à l'université Paris 1 Panthéon.

Comment expliquer une telle stagnation ? "Cela peut s'expliquer par une faible taux d'activité chez les jeunes et les plus âgés. Plus de 100.00 jeunes sortent du système éducatif tous les ans sans qualification. L'apprentissage pourrait aider mais ce ne sont pas des filières valorisées. Beaucoup de financements ont été alloués par les différents gouvernements mais ils n'ont pas toujours été efficaces", ajoute-elle.

Au cours de sa campagne présidentielle, Emmanuel Macron, avait affiché un objectif de 7% de chômage avant la fin du quinquennat. Surtout, lors de sa récente interview à TF1 et LCI, il affirmé qu'il visait le plein emploi. Or, il est difficile à ce stade de tabler sur un chômage à 7% d'ici quatre mois et encore moins d'atteindre un niveau de chômage proche du plein emploi.

Une baisse du chômage mais pas pour tous les demandeurs d'emploi

En outre, le chômage a bien diminué en moyenne mais pas pour l'ensemble des demandeurs d'emploi. En effet, le nombre de demandeurs d'emploi en catégorie A, c'est-à-dire ceux qui n'ont pas travaillé, a bien diminué sur les cinq ans, passant de 3,48 millions à la fin juin 2017 à 3,3 millions à la fin du troisième trimestre dernier. En revanche, les catégories B et C, c'est-à-dire ceux qui ont une activité réduite, ont bondi sur l'ensemble du mandat d'Emmanuel Macron d'environ 200.000 personnes (+10%).

"En dépit des mesures pour faciliter l'embauche des plus éloignés de l'emploi comme la réforme de la formation professionnelle, le chômage structurel ne semble pas s'être réduit. Ces réformes mettent du temps à porter leurs fruits. L'un des grands problèmes est la question des compétences. Même dans le contexte de la reprise de l'emploi depuis 2015, le taux d'emploi pour les moins qualifiés n'a pas augmenté. C'est un constat préoccupant", ajoute Emmanuel Jessua.

La récente réforme de l'assurance-chômage plusieurs fois repoussée et finalement mise en oeuvre depuis le premier décembre dernier pourrait avoir un impact majeur sur l'indemnisation de ces catégories. En effet, il faut désormais cotiser six mois au lieu de quatre pour pouvoir bénéficier des indemnités chômage.

réforme de l'assurance chômage

Manifestation de chômeurs inscrits à Pôle Emploi, dans le cadre du mouvement d occupation des théâtres contre la reforme de l'assurance chômage au printemps 2021. Crédits : Reuters.

Le pouvoir d'achat, dossier brûlant du quinquennat Macron

Le sujet du pouvoir d'achat est une question prioritaire pour les Français. A quelques mois du scrutin présidentiel, le gouvernement et la majorité parlementaire s'efforcent de convaincre les Français, surtout les classes moyennes et les plus modestes, que le pouvoir d'achat a augmenté sur l'ensemble du quinquennat mais les bilans peuvent différer selon les méthodes et les sources.

Surtout, la flambée des prix de l'énergie, les pénuries de matières premières et de composants électroniques et la pagaille dans les chaînes d'approvisionnement pourraient bien assombrir la communication de la Macronie malgré la distribution de chèques tous azimuts (chèque inflation, chèque énergie) pour freiner la hausse du coût de la vie.

En effet, l'Insee prévoit une baisse du pouvoir d'achat par unité de consommation de 0,5% sur le premier semestre 2022, détaille une note de conjoncture publiée en décembre. Pour l'exécutif, cette baisse pourrait venir enrayer ses efforts menés pour tenter de limiter les dégâts de la pandémie sur le porte-monnaie des Français les plus fragiles.

Station service Carburant

Les prix à la pompe ont considérablement augmenté ces derniers mois en France. Crédits : Reuters.

"Le pouvoir d'achat a légèrement augmenté pour l'ensemble des Français en moyenne pendant la crise alors que le PIB a chuté de 8% en 2020. Avant la crise, le rebond de l'emploi, la baisse du chômage et certaines mesures socio-fiscales ont favorisé le pouvoir d'achat des actifs. La prime d'activité a également participé à cette dynamique. L'objectif du gouvernement est de favoriser les revenus issus du travail", rappelle Emmanuel Jessua.

Dans le rapport économique, social et financier du Trésor annexé au budget 2022, les économistes de Bercy ont dressé un premier bilan des cinq dernières années. "Le pouvoir d'achat a augmenté de 8% entre 2017 et 2022, ce qui fait une hausse annuelle moyenne de 1,5%. C'est une hausse deux fois plus importante que lors des deux quinquennats précédents", avait assuré l'entourage d'Emmanuel Macron en octobre lors d'une réunion avec des journalistes.

A la lecture de cet épais document de plus de 243 pages, l'expression "pouvoir d'achat" apparaît à 47 reprises. Autant dire que ce thème est devenu prioritaire dans les couloirs de Bercy. Pour parvenir à un tel résultat, les statisticiens du ministère des Finances ont découpé la population française en décile. Il apparaît effectivement que le niveau de vie (c'est-à-dire l'ensemble des revenus après impôts et prestations) du premier décile aurait augmenté de 4% sur les cinq dernières années contre 2% sur le dernier décile.

Dans une autre approche avec une population découpée en centiles, les économistes de l'institut des politiques publiques (IPP) ont montré que tous les ménages ont vu leur niveau de vie progresser d'environ 1,6% depuis le début du quinquennat, sauf les 5% de ménages les plus pauvres, qui ont perdu 0,5% en moyenne. A l'autre bout du spectre, le top 0,1% a enregistré une hausse de 4% du niveau de vie en raison notamment de la baisse de la fiscalité sur le capital (prélèvement forfaitaire unique, transformation de l'impôt sur la fortune en impôt sur la fortune immobilière).

"La réforme de la fiscalité sur le capital a mécaniquement favorisé les revenus des plus aisés mais cette réforme vise d'abord à favoriser l'entrepreneuriat et l'accumulation de capital productif", affirme l'économiste de Rexecode.

Sur la fiscalité des ménages, le gouvernement se targue régulièrement d'avoir augmenté les revenus des Français en supprimant la taxe d'habitation pour 80% des familles imposables, puis 100%. Pour Emmanuel Jessua, cette extension n'est pas justifiée.

"Le point noir de la politique fiscale a été la suppression de la taxe d'habitation. Au départ, cette suppression devait être réservée aux 80% des ménages les plus modestes. L'élargissement aux 20% restants a fait exploser le coût de 11 milliards d'euros à 18 milliards d'euros. Tous les ménages en ont profité. Cette mesure n'a de justification ni en termes d'efficacité économique, ni en termes de réduction des inégalités. Il y a un coût d'opportunité extrêmement élevé d'une somme qui aurait pu être consacré à des fins beaucoup plus utiles", a-t-il affirmé.

La balance commerciale fortement secouée pendant le quinquennat

Le déficit extérieur est le devenu le point noir de l'économie tricolore. Entre l'affaire des sous-marins australiens et la chute abyssale des exportations tricolores pendant la pandémie, la politique commerciale de la France a subi de sacrés revers ces derniers mois. La fermeture des frontières, le blocage des ports de commerce et des aéroports au printemps 2020 avaient plongé un grand nombre d'entreprises exportatrices tricolores dans un épais brouillard. Au total, le déficit commercial de la France s'était creusé de 65 milliards d'euros l'année dernière, un record.

Si l'année 2021 a été plus favorable, la recrudescence de la pandémie en fin d'année et la montée du variant Omicron dans les chaînes de contamination pourraient à nouveau assombrir la situation du commerce extérieur de l'Hexagone.

"La reprise des exportations reste en décalage par rapport au PIB en raison notamment des difficultés dans les secteurs du tourisme, de l'automobile, dont la situation se détériore depuis le mois de juillet 2021 en lien avec la pénurie de semi-conducteurs, et de l'aéronautique qui subit toujours les restrictions sur la mobilité internationale", explique la Banque de France.

Dans ses dernières prévisions de fin décembre, la banque centrale prévoit une accélération des exportations à la fin de l'année 2022 seulement.

Louvre LockDown

La cour du Louvre désertée au printemps 2020. En France, l'industrie du tourisme a particulièrement souffert de la pandémie. Crédits : Reuters

Interrogé sur les années 2017-2022, Emmanuel Jessua distingue deux périodes. "Sur la période 2016-2019, il y a une fin de l'hémorragie des pertes de marché de la France à l'export par rapport à nos voisins européens en raison notamment des baisses de prélèvements sur le coût du travail (CICE, Pacte de responsabilité). La crise sanitaire a fait retomber la France dans certaines ornières. La France a recommencé à perdre des parts de marché en zone euro en 2020 de manière généralisée sur toutes les catégories de produits [...]  Il reste à voir si c'est un trou d'air conjoncturel. En attendant, le déficit commercial tutoie les 100 milliards d'euros, à des niveaux inédits", explique t-il.

La dépendance énergétique de la France est un autre facteur qui explique une grande partie du déficit commercial. Sur les exportations de biens, la spécialisation de la France sur seulement quelques filières comme l'agroalimentaire, le luxe ou l'aéronautique peut s'avérer problématique. La filière aéronautique qui est l'un des principaux moteurs de l'exportation hexagonale a subi de plein fouet la chute abyssale du transport de voyageurs à travers le monde. Au cours du premier semestre 2021, les exportations de matériel aéronautique français était encore bien en-deçà de leur niveau d'avant crise.

S'agissant des services, la France s'en tire mieux mais l'effondrement du tourisme en 2020 et le prolongement de la fermeture des frontières dans le contexte de cette pandémie à rallonge pourraient laisser des stigmates. A l'approche de la présidentielle, la campagne d'Emmanuel Macron pourrait bien s'avérer plus difficile qu'escompté.

Grégoire Normand
Commentaires 49
à écrit le 01/02/2022 à 17:59
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Dites moi comment quelqu'un par exemple peut recueillir un parrainage si il n'est pas déclaré candidat , il y quelque chose qui tourne pas rond .... Regardez la liste publie par le conseil constitutionnel c'est complètement absurde, ça ressemble a un...

à écrit le 28/12/2021 à 12:15
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Le qu1nquennat du cha0s !

à écrit le 27/12/2021 à 19:24
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Et pourtant, il était bien épaulé par la droite ! des premiers ministres, en passant par l'économie,...jusqu'à l'extrême droite de l'intérieur !

le 01/02/2022 à 18:04
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c est un président omniprésent c'est lui qui prend la décision a la fin, donc l'argument tient pas trop

à écrit le 27/12/2021 à 19:22
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Et pourtant, il était bien épaulé par la droite ! des premiers ministres, en passant par l'économie,...jusqu'à l'extrême droite de l'intérieur !

à écrit le 27/12/2021 à 18:40
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Plus ils sont mauvais et plus les électeurs veulent être sauvés par eux allez comprendre quelque chose

à écrit le 26/12/2021 à 14:09
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Avant de parler du bilan economique, discutons de la gestion de la crise pandemique :rappelez vous l impossibilite d'avoir des masques , de s'approvisioner en vaccins etc un gouvernement digne de ce nom doit proteger sa population avant tout et apre...

à écrit le 26/12/2021 à 12:10
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Moi j'aurais plutôt dit "sauvé par le covid 19" depuis plus aucune grèves pourtant le pays est pire qu'il y a deux ans. Regardez le prix de l'essence gazole et électricité...

le 26/12/2021 à 17:57
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aaa Oui, l'électricité... et gaz ,et maintenant ils nous demandent d'ouvrir les fenêtres toute les dix minutes en hiver pour tuer le méchant virus,ah,ah

à écrit le 26/12/2021 à 9:15
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Le qu1nquennat du cha0s !

à écrit le 25/12/2021 à 11:38
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C'est simple il suffit de regarder les principaux indicateurs de la France pour voir que notre déclassement s'est accéléré avec MLACRON: de 5ème puissance économique occidentale au est 7ème; de 98% d'endettement du PIB fin 2019 on est passé à 118 ou ...

le 25/12/2021 à 21:51
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La France est championne du monde sur les impôts et taxes, championne du monde sur les dépenses publiques, parmi les champions en Europe sur le nombre de fonctionnaires, championne des pays de l'OCDE dans le ratio des dépenses de retraites par rappor...

à écrit le 24/12/2021 à 16:27
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Macron n' est pas au mieux qui vient de recevoir la torpille de Faits et Documents. Si l' affaire n' est pas tranchée, son bilan lui est parfaitement clair, un creusement de la dette de 550 milliards d' euros dont la grande partie est due ...

le 25/12/2021 à 7:42
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oui c'est sa responsabilité la désindustrialisation n'est pas stoppé les taxes des entreprises sont toujours au dessus des autres nation les taxes sur les francais aussi au dessus des autres pays et toujours plus de cumul pour une meme fonction d...

le 25/12/2021 à 10:02
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et sile prix de l'electricite en france augmente la responsabilite de m macron est en cause avec la fermeture des central nucleaire et son copinage avec mme merkel au detriment de la france et des francais

le 27/12/2021 à 8:47
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mandat nul en grande partie du a m phillippe inconstant sur sa vision de l(etat. des 80kmh au gilet jaune et la reforme des retraites ou jamais la bonne idees est apparu toujours en contradiction avec ses idees de la veille et en 2 la crise hospi...

le 28/12/2021 à 8:22
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que sera sa légitimité si mme lepen et m zemour n'ont pas le parainage alors qu'il represente plus d'un tiers des sufrage que m macron peine a obtenit un quart le desordre continura et sera d'autant emplifie

à écrit le 24/12/2021 à 13:31
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Beaucoup de "beaux esprits", qui déballent ici leurs critiques supposées éclairées,, seraient bien inspirés de regarder ce qui se passe ailleurs et de prendre en compte la phrase de Talleyrand légèrement modifiée: "quand on se regarde, on se désole ...

le 24/12/2021 à 17:23
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Talleyrand a dit quelque chose de très différent ; Quand je me regarde je m'inquiète, mais quand je me compare, je me rassure,

le 28/12/2021 à 12:16
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S0umis de naissance ou aut0didacte ?

à écrit le 24/12/2021 à 13:30
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Beaucoup de "beaux esprits", qui déballent ici leurs critiques supposées éclairées,, seraient bien inspirés de regarder ce qui se passe ailleurs et de prendre en compte la phrase de Talleyrand légèrement modifiée: "quand on se regarde, on se désole ...

le 25/12/2021 à 16:59
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Si la France se compare elle se désole. La France est en phase terminale.

à écrit le 24/12/2021 à 11:16
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La violence de situation est telle, que l'on voit simplement l'application du pouvoir du roi. O empathie, une fuite en avant vaccinale qui permet par ailleurs la mise hors de l'état de droit, qui permet des transferts économiques et informations bia...

le 24/12/2021 à 12:37
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pour la pandémie je suis ok mais pour le reste c'est nul sa vision n'est pas la france mais bien un mondialiste pur jus et plus europeen que tout autre les francais souhaite etre defendu face a toute autre nation et surtout pas faire les frais...

le 24/12/2021 à 13:27
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Il n'est pas faux d'écrire que nous vivons sous une forme de dictature sanitaire (ou plutôt vaccinale). Mais il est d'une absolue mauvaise foi de prétendre qu'il s'agirait de la "dictature d'un seul homme", alors que l'on voit partout, sur la planète...

le 24/12/2021 à 13:30
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Il n'est pas faux d'écrire que nous vivons sous une forme de dictature sanitaire (ou plutôt vaccinale). Mais il est d'une absolue mauvaise foi de prétendre qu'il s'agirait de la "dictature d'un seul homme", alors que l'on voit partout, sur la planète...

le 26/12/2021 à 10:10
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@chamaude "A ce titre, il est d'ailleurs remarquable que le premier pays à décréter l'obligation vaccinale pour les enfants soit l'Equateur: pays gouverné par la Gauche" Oui, comme ici : « Une obligation vaccinale généralisée » contre le Covi...

à écrit le 24/12/2021 à 9:26
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Quel bilan économique si ce n'est la dégradation de la situation d'un très grand nombre de Français et de la lente glissade de la France vers le sous-développement, quand on compare à beaucoup d'autres pays ?

à écrit le 24/12/2021 à 7:11
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Bilan de Macron: ministère fictif de bayrou et ses centaine d'employés. L' a t'on entendu une seule fois depuis sa nomination ? 47 ministres et milliers de conseillers : pour quel bilan ? Com journalière

le 24/12/2021 à 9:04
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Sans oublier les instituts de sondage : Edouard Philippe et ses ministres vont pouvoir laisser libre cours à leur goût des sondages. Le 6 août dernier, la réponse du Premier ministre à une question écrite du député socialiste Régis Juanico révélai...

à écrit le 23/12/2021 à 21:34
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Ce personnage est capable de reporter les élections d'Avril sous couvert de pandémie !

le 24/12/2021 à 11:23
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c'est le scénario qui se dessine ! je pense que l'outil candidat vaccin, semble plus avoir lien que ce que "la pandémie " est endémie et cela l'important permet d'être hors du droit commun, donc l'acte du vaccin est simplement le consentement non écl...

à écrit le 23/12/2021 à 19:53
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Sur le fond rapporté par un mainstream, RAS, sur la forme, en France on vient d'avoir un retour sur la dernière interview de Macron, l'audience est tombée à 3 millions ! Cet homme du passé n' intéresse plus personne.

à écrit le 23/12/2021 à 19:08
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C'est pour ça, stop micron = stop covid ?

à écrit le 23/12/2021 à 16:54
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La pandémie le sert énormément et fait oublier le désastre de sa politique économique, il s'apoprit la croissance dû au ratrapage normal de l'arrêt des entreprises et confinements .

à écrit le 23/12/2021 à 16:50
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Covid ou pas covid, seul les plus riches peuvent lui dire merci!

à écrit le 23/12/2021 à 16:35
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de surcoût le décrochage des français pour Union européenne est un constat. la rhétorique de guerre contre virus est devenue un jeu de com politique mais sans sauveur. incohérence et stigmatisation d une partie de la population

à écrit le 23/12/2021 à 16:22
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le virus a bon dos mais ce n'ai pas lui qui a empeche de diminuer le nombre d'elus et toute l'equipe qu'il y a derriere genre l'equipe BAYROU qui ne sert à rien le train de vie de l'Elysee, l'augmentation du grand nombre de fonctionnaires dans les...

à écrit le 23/12/2021 à 16:13
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A propos du deficit abyssal du commerce exterieur, pas un mot sur la hausse des importations. Extraordinaire!!! Les chèques distribués par M. Macron ont alimenté l'industrie allemande. Lidl et Volkswagen peuvent dire merci à M. Macron. La France a le...

à écrit le 23/12/2021 à 15:04
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Mouais, le PIB avait déjà commencé à reculer fin 2019 avant l'arrivée du virus en Europe. On se souviendra que les gouvernements mondiaux ont préféré conserver le transport aérien et répandre le virus plutôt que stopper la pandémie.

à écrit le 23/12/2021 à 14:45
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un président méprisant ...pour les retraités qui ce sont retrousser les manches pendant 44 années ...un pourvoir d' achats perdu de 300 euros depuis 2017.......un traître , seule loyer 50% du budget ...découvert tout les mois 500 euros .............

le 25/12/2021 à 16:55
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les retraités devraient garder profil bas: c est grace a eux qu on est dans la merde: qui a voté pour des nuls depuis 40 ans (mitterrand, Chirac ...). En plus ils touhcent en general des pensions sans commune mesure avec ce qu ils ont cotisé et sont ...

à écrit le 23/12/2021 à 14:41
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plutôt pas mal, le bilan (qui est dû aussi aux prédécesseurs) : niveau d’investissement public plutôt élevé, explosion de l’entrepreneuriat, hausse du nombre d’entreprises manufacturières alors que cela baisse depuis au moins 2009 en Allemagne, expl...

le 23/12/2021 à 19:14
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"France premier pays européen pour l’accueil des investissements étrangers", en fait en France on veut bien les investissements étrangers, mais pas les étrangers ? (cf idées nauséabondes de micron à Ze).

à écrit le 23/12/2021 à 14:16
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Le plein emploi n'existe que dans les pays où le travail est indispensable pour vivre. Dans ce cas, on prend n'importe quel travail disponible. Quand les aides sociales sont aussi fortes, pourquoi se fatiguer pour des métiers mal payés ?

à écrit le 23/12/2021 à 13:57
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Décidément, il a bon dos ce virus.

à écrit le 23/12/2021 à 13:47
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Mais oui, mais oui, c'est la faute à la pandémie, mais surtout pas à la politique sanitariste, non bien sûr

à écrit le 23/12/2021 à 13:22
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Non c'est pas Omicron qui menace Macron c'est la dictature sanitaire imposée au peuple français depuis deux ans et demi, c'est lourd, très lourd à porter et même s'il n'y est pour rien vu que ce totalitarisme est mondial il va forcément en payer les ...

à écrit le 23/12/2021 à 13:13
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Au regard de l'histoire recente et plus particulierement celle de la troisieme republique riche en nullites, micron remporte aisement le premier prix. Pourtant les precedents etaient des plus nuls. Accessit merite. En 22 ce sera Z, comme Zemmour.

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