La planète est dévastée, et ce n'est que le début

Records de chaleur, multiplication des catastrophes météo, fonte des glaces, déclin de la nature: les preuves de l'impact dévastateur des activités humaines sur la planète s'accumulent, attestant de l'urgence à agir, en particulier contre le dérèglement climatique.
New Delhi (Inde), le 4 novembre 2019. Une policière porte un masque pour se protéger de la pollution de l'air, lors d'une journée de restriction sur les véhicules privés.
New Delhi (Inde), le 4 novembre 2019. Une policière porte un masque pour se protéger de la pollution de l'air, lors d'une journée de restriction sur les véhicules privés. (Crédits : Reuters)

En moins d'un an, quatre rapports des scientifiques de l'ONU sur l'état de la planète ont sonné comme des coups de tonnerre réveillant des citoyens du monde entier. Un constat alarmant qui met la pression sur les signataires de l'accord de Paris sur le climat réunis à partir de lundi à Madrid pour la COP25. Tour d'horizon des signaux qui montrent que les impacts du dérèglement climatique se font sentir dès à présent et qu'il est urgent d'agir.

  • Records de chaleur

Les quatre dernières années ont été les plus chaudes jamais enregistrées sur la planète. Avec notamment le mois le plus chaud de l'histoire en juillet, 2019 va rejoindre le top 5, selon l'ONU.

Et ce n'est que le début. Le monde a gagné environ 1°C depuis l'ère pré-industrielle. Mais si le mercure continue de grimper au rythme actuel sous l'effet des émissions de gaz à effet de serre, le seuil de +1,5°C, objectif idéal de l'accord de Paris, devrait être atteint entre 2030 et 2052, selon les experts climat de l'ONU (Giec).

Même si les États tiennent leurs engagements de réduction d'émissions, ce sera au moins +3°C d'ici la fin du siècle, alors que chaque demi-degré supplémentaire augmente l'intensité et/ou la fréquence de catastrophes météo comme les canicules, les tempêtes, les sécheresses ou les inondations.

En outre, des scientifiques qui travaillent sur de nouveaux modèles climatiques qui serviront de base au prochain rapport du Giec de 2021 laissent présager d'un réchauffement encore plus prononcé que prévu, avec un scénario du pire de +7°C en 2100, soit un degré de plus que les estimations précédentes.

Lire aussi : Face à l'urgence climatique, un sursaut qui ne vient pas

  • Catastrophes multipliées

Canicules exceptionnelles en Europe, incendies monstres en Sibérie ou en Australie, cyclone Idai au Mozambique, Venise sous l'eau...

Même s'il est difficile d'attribuer une catastrophe spécifique au dérèglement climatique, la multiplication déjà en cours des phénomènes extrêmes reflète les prévisions des scientifiques. Et l'avenir sera encore plus sombre.

Dans un monde à +1,5°C, les épisodes de fortes précipitations seront plus fréquents, intenses et/ou abondants, selon le Giec. La fréquence et l'intensité des sécheresses devraient aussi augmenter.

Et encore un demi-degré supplémentaire causerait des différences d'impact "nettes".

Ainsi par exemple, même si le plafond de +2°C, objectif minimal de l'accord de Paris, est respecté, la proportion des cyclones de catégorie 4 et 5 devrait encore augmenter.

Lire aussi : Catastrophes naturelles : des milliards de pertes et le régime d'indemnisation remis en cause

  • Trop de CO2

Selon un récent rapport de l'ONU, les émissions de CO2 ont progressé en moyenne de 1,5% par an ces 10 dernières années et ne donnent aucun signe de ralentissement, alors qu'il faudrait qu'elles baissent de 7,6% par an, chaque année entre 2020 et 2030 pour espérer respecter la limite de +1,5°C.

Fin 2018, les principaux gaz à effet de serre ont franchi de nouveaux records de concentration dans l'atmosphère, en particulier le CO2, avec 407,8 parties par millions (ppm).

Lire aussi : Le plan d'Air France pour compenser 100% de ses émissions de CO2 (pour ses vols intérieurs)

  • La glace fond, l'eau monte

Selon le Giec, le niveau des mers a augmenté de 15 cm au XXe siècle. Le rythme de cette élévation s'accélère et le niveau des océans continuera à monter pendant des siècles, menaçant des zones côtières peu élevées où vivront d'ici 2050 plus d'un milliard de personnes.

Même si le monde parvient à réduire fortement les émissions, la hausse des océans pourrait atteindre 30 à 60 cm d'ici 2100. Et 60 à 110 cm si les émissions continuent d'augmenter.

Cette élévation est due principalement à la fonte des glaces. Les deux calottes glaciaires, en Antarctique et au Groenland, ont perdu en moyenne 430 milliards de tonnes chaque année depuis 2006. La banquise de l'Arctique rétrécit aussi et de nombreux glaciers de montagne pourraient disparaître.

Lire aussi : Réchauffement climatique : une nouvelle saison en enfer au Groenland

  • Points de bascule

Des scientifiques craignent qu'au delà de certains seuils, la planète bascule dans un état durable d'étuve, même si on parvient à réduire les émissions.

Selon un texte publié récemment dans la revue scientifique Nature, 9 de ces 15 points de bascule sont dangereusement proches, notamment celui lié à la fonte du permafrost. Cette fonte, au delà d'une certaine température, conduirait à libérer inéluctablement des quantités énormes de gaz à effet dans l'atmosphère.

Lire aussi : Trois points de bascule climatiques qui conditionnent les marchés

  • 1 million d'espèces menacées

L'Homme n'est pas responsable uniquement du climat détraqué. Son exploitation sans précédent des ressources naturelles, en particulier pour nourrir une population croissante, conduit en parallèle à un déclin de la nature plus rapide que jamais.

Pratiques agricoles, exploitation forestière, pollution... Selon les experts biodiversité de l'ONU (IPBES), 75% de l'environnement terrestre et 66% de l'environnement marin sont dégradés. Résultat, un million d'espèces animales et végétales sont en danger de disparition, dont beaucoup dans les prochaines décennies.

Lire aussi : Espèces animales en danger : de nouvelles règles commerciales s'imposent

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Commentaires 52
à écrit le 20/11/2021 à 14:38
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salut: nature,animaux,insectes,oiseaux;vie marine;se meurt disparaisse par notre faute:nourrir le monde en détruisant forêts pour culture,élevage:tous ces pesticides désherbants engrais;utiliser tuent aussi l'HUMAIN qui accepte de ce nourrir de tous ...

à écrit le 10/12/2019 à 18:49
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Ce n'est pas la planète qui est dévastée, mais l'éthique journalistique la plus élémentaire. Nous en avons assez de ces articles foireux qui ne font que nous bassiner avec des catastrophes imaginaires

à écrit le 06/12/2019 à 9:26
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@Qu'est-ce qu'il vous faut ? " Mais aucune civilisation n'a eu à faire face à des températures qui grimpent de 5°C en quelques décennies". Pour le moment, c’est loin d’être le cas : la TMAG (température moyenne annuelle globale) n'est montée que de...

à écrit le 04/12/2019 à 13:40
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L'IPBES est un schmilblick du Grand Machin, dont la mission est la même que celle du GIEC : répandre la terreur et favoriser la mise en place d'un totalitarisme vert mondialisé, avec le soutien servile de la grande majorité des médias. C'est donc ce ...

à écrit le 04/12/2019 à 13:38
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Lors des 500 derniers millions d’années, la moyenne du taux de CO2 atmosphérique a été de 2000 ppm (408 ppm actuellement, soit, 0,04%), avec un pic à 8000 ppm au Cambrien, et il n’y a eu aucun emballement cataclysmique et irréversible des température...

le 04/12/2019 à 15:42
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Ces 500 deniers millions d'année il y a eu 5 crises biologiques majeures, une douzaine de mineures et une énorme à la limite Permo-Trias. Toutes sont liées à des changements climatiques dont les causes peuvent varier. A chaque fois la planète a co...

le 31/07/2022 à 7:52
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Ha bon, parce qu'il y a plusieurs centaines de millions d'années une civilisation existait avec des journalistes capable d'évaluer la situation climatique ? Et cette civilisation a vécu les 6 extinctions du vivant pour pouvoir nous expliquer ce qui s...

à écrit le 04/12/2019 à 13:37
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15 cm en 100 ans, cela fait une montée de 1,5 mm/an. Après la forte montée de 120 m qui a suivi la fin de la dernière glaciation, la montée a continué à raison de 1 à 3 mm/an). Depuis 1807, le marégraphe de Brest mesure une montée régulière de 0,87 +...

à écrit le 04/12/2019 à 13:36
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Selon le rapport AR5 du GIEC, page 471, figure 6.1, nos émissions mondiales de CO2 ne sont que de 4% environ, les 96 autres pourcents étant d’origine naturelle. Donc, quoi que nous fassions, quelles que soient les sommes pharaoniques que nous pourri...

à écrit le 04/12/2019 à 13:30
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« Les quatre dernières années ont été les plus chaudes jamais enregistrées sur la planète. Avec notamment le mois le plus chaud de l'histoire en juillet 2019. » Or, l’évolution du climat s’apprécie sur au moins 30 ans, et les valeurs de la TMAG (tem...

à écrit le 03/12/2019 à 8:44
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Dans les temps passés, c'était records de froids, épidémies, famines, guerres...pas vraiment mieux.

à écrit le 03/12/2019 à 8:29
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Avec le mois de décembre et la COP les articles de ce type vont proliférer. je ne nie pas les effets négatifs de l'activité humaine sur la planète mais tant qu'il n'y aura de remise en cause profonde du système a quoi servent ces gesticulations de cr...

à écrit le 03/12/2019 à 0:32
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Tant que l'on ne ma parle pas de contrôle des populations, pour moi, c'est du pipeau...

à écrit le 02/12/2019 à 20:03
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Pour conclure, cet article est un tissu de mensonges, de désinformation, et de manipulation. Il ne présente aucun intérêt, si ce n'est de montrer le vrai visage des alarmistes climatiques.

le 03/12/2019 à 0:02
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Vous êtes un complotiste hors sol Pas la peine d essayer de vous répondre Vous devez croire à pleine d autres choses incroyables

à écrit le 02/12/2019 à 20:01
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L'IPBES est un schmilblick du Grand Machin, dont la mission est la même que celle du GIEC : répandre la terreur et favoriser la mise en place d'un totalitarisme vert mondialisé, avec le soutien servile de la grande majorité des médias. Ce qu'il racon...

à écrit le 02/12/2019 à 19:57
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Lors de 500 derniers millions d’années, la moyenne du taux de CO2 atmosphérique a été de 2000 ppm (408 ppm actuellement, soit, 0,04%), avec un pic à 8000 ppm au Cambrien, et il n’y a eu aucun emballement des températures. Pourquoi cela serait-il diff...

à écrit le 02/12/2019 à 19:52
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15 cm en 100 ans, cela fait une montée de 1,5 mm/an. Après la forte montée de 120 m qui a suivi la fin de la dernière glaciation, la montée a continué à raison de 1 à 3 mm/an). Depuis 1807, le marégraphe de Brest mesure une montée régulière de 0,87 +...

à écrit le 02/12/2019 à 19:45
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Selon le rapport AR5 du GIEC, page 471, figure 6.1, nos émissions mondiales de CO2 ne sont que de 4% environ, les 96 autres pourcents étant d’origine naturelle. Par ailleurs, la TMAG a très fortement ralenti depuis près de 20 ans, ce que cet article...

à écrit le 02/12/2019 à 19:38
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Voici un exemple de désinformation inacceptable : « Les quatre dernières années ont été les plus chaudes jamais enregistrées sur la planète. Avec notamment le mois le plus chaud de l'histoire en juillet 2019. » C’est stupide, parce ce que l’évolutio...

à écrit le 02/12/2019 à 19:32
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L’AFP est hélas connu pour ses mensonges répétés sur le climat et l’énergie, et sur bien d’autres sujets. Un vrai repaire d’idéologues alarmistes intégristes qui ont oublié l’éthique journalistique et qui ne cessent de nous bassiner avec une propagan...

à écrit le 02/12/2019 à 19:15
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La planète est dévastée ? Vous croyez vraiment que l'on va gober une telle ânerie ?

le 02/12/2019 à 20:22
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Bah oui elle est un plutôt abimée, il suffit de quitter sa zone de confort pour s'en compte.

le 02/12/2019 à 20:23
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Bah oui elle est un plutôt abimée, il suffit de quitter sa zone de confort pour s'en rendre compte.

à écrit le 02/12/2019 à 17:36
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C'est pourtant si simple... trop d'hommes sur la planète. Solution ? Contrôle des naissance pour faire chuter la population... Douloureux, très, mais bien moins que ce qui nous attend sinon

à écrit le 02/12/2019 à 17:22
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Le bateau coule, mais tout est sous contrôle... Et la tarte à la crème du jour ! une pub à la radio vantant les mérites du nucléaire "pas de CO2" (et le reste alors ? broutilles ?) On croit rêver

à écrit le 02/12/2019 à 16:07
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Et que dire qu'en il faudra accueillir tous les réfugiés climatique du Sud Sahel car la région sera devenu intenable niveau température ! Les populistes ont du chemin à faire pour l'acceptation ...

à écrit le 02/12/2019 à 16:04
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Mais on le sait depuis longtemps, tout ça. Maintenant, il est bien trop tard pour agir. Nous sommes sept milliards et demie sur terre, c'est beaucoup trop. Et la population continue d'augmenter, et on ne fait rien pour la faire diminuer.

à écrit le 02/12/2019 à 15:50
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"selon les experts climat de l'ONU (Giec)." le problème, c'est que l'expert du GIEC qui à montré l'évolution de la température du climat avec sa courbe "en forme de cross de hockey" n'a pas été foutu de fournir les paramètres qui lui ont permis de dé...

à écrit le 02/12/2019 à 15:26
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Bravo pour la photo ! Elle interpelle sérieusement...

à écrit le 02/12/2019 à 15:06
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Comme je l'écris depuis des années, c'est mort. Pour tout un chacun, il faut vraiment en avoir une conscience aiguë, préparer son futur et celui de ses proches. Anticiper la future façon de vivre. S'adapter et commencer par renoncer à certaines chos...

à écrit le 02/12/2019 à 13:38
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Le Trump du Brésil fossoyeur de l'Amazonie et le Trump des USA méprisant la cause ( sùr d'etre réélu ) ruinent les efforts. La FR représente 0.3% des émissions

le 02/12/2019 à 19:25
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Non : 0,9% et il est absurde de torpiller notre pays avec une inflation de lois, de décrets, de taxes, de normes et de règlements contraignants.

à écrit le 02/12/2019 à 13:16
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" urgence climatique ", " planète en danger " etc . . . bla bla bla . . . = big bizness sur fond de nouvel Evangile dans lequel il faut croire impérativement sans barguigner. Et vos retraites, votre misère quotidienne, vos fins de mois qui commenc...

à écrit le 02/12/2019 à 13:03
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Quelle honte !Alors que nous sommes dans des variations meteorologiques voila que l'auteur de l'article melange tout !Les variations climatiques se mesurent sur plusieurs decenies voire des siecles !Ces gens mentent sans honte ils croient que tout me...

à écrit le 02/12/2019 à 11:01
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Il serait plus que temps, avant tout, d'arrêter de supputer tous azimuts sur les conséquences des activités humaines non contrôlées (qui sont certes une réalité) et d'engager une vraie réflexion scientifique, ouverte, objective, libérée des contraint...

le 02/12/2019 à 15:53
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les personnes réputées pour leurs connaissances qui si elles ne sont pas d'accord, preuves à l'appui, sont mises au ban. Comme en politique, seul le "politiquement correct" est admis. Tous le reste est hérésie.

à écrit le 02/12/2019 à 10:32
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non pas tout desuite il y aura avant ,les guerres,les epidemies, la famine et les castastrophes naturelles...............

à écrit le 02/12/2019 à 10:15
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Je vais sans doute être mal compris mais il faut bien admettre que l'être humain est le seul animal qui pollue la planète. Depuis soixante ans la population a été multipliée par 3/1/2 sur la terre alors que toutes les autres espèces en liberté dispar...

le 02/12/2019 à 11:04
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Je partage votre avis, malheureusement on entend guère les écologistes sur ce point. La limitation des naissances est sans doute la priorité, notamment en Afrique et en Asie. Voilà un sujet dont l"ONU devrait s'occuper au plus vite.

le 02/12/2019 à 12:32
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En effet en supprimant 1% de la population la plus riche mondiale on sauverait la planète d'un coup.

le 02/12/2019 à 14:40
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On peut accelerer aussi le processus : « Un véritable carnage ! » Mercredi 27 novembre, 84 chasseurs ont participé à une battue dans la forêt de La Croix-Aux-Bois (Ardennes), ponctuée d'un triste record : 158 sangliers ont été tués dans ce qui res...

le 02/12/2019 à 19:43
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les Ardennes sont un cas spécifique. Il y a actuellement une peste porcine qui sévit en Europe du Nord, Belgique incluse. Si cette peste atteint la France via les sangliers c'est toute la production porcine française qui sera sous embargo et on n...

le 03/12/2019 à 9:14
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@ multipsudos: "Il y a actuellement une peste porcine qui sévit en Europe du Nord, Belgique incluse." L'agroindustrie et ses produits injectés dans sa viande ont complètement fragilisé les bêtes de moins en moins résistantes aux diverses maladies...

le 03/12/2019 à 11:06
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On doit également admettre que les écologistes" en coton tige " dont nous disposons sont beaucoup plus préoccupés par les sujets politico- politiques en vue des prochaines élections que par les problèmes environnementaux ...

le 03/12/2019 à 13:47
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Je vous mets un lien qui expliquera le pourquoi du comment. https://www.wallonie.be/fr/peste-porcine-africaine/prolongations-des-mesures-liees-la-chasse Dommage que le rédacteur de l'Ardennais en soit resté au stade de l'émotionnel du massacre. E...

à écrit le 02/12/2019 à 10:06
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La moitié de la population humaine en moins rassurerait les marchés financiers, l'humain étant une variable bien trop peu prévisible pour être intéressante. Les riches eux pourront aller sans problème là où il fera le moins mauvais ou autres, pen...

à écrit le 02/12/2019 à 10:05
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Que nous reste-t-il ? Le suicide ?

à écrit le 02/12/2019 à 10:02
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Pas besoin d'aller au bout du monde pour le voir. Les statistiques sur les inondations dans le sud-est de la France sont terribles. Ce qui était considéré comme des crues "du siècle" est devenu des crues "de la décennie", puis des crues quasi-annuell...

le 02/12/2019 à 19:36
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Le dimensionnement des infrastructures majeures (digues, barrages, ponts, centrales hydraulique et nucléaires) a été effectué en fonction de données météorologiques et hydrologiques datant du siècle dernier (voire avant). Ces données sont obsolète...

à écrit le 02/12/2019 à 9:50
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C'est du grand n'importe quoi. Ce n'est pas la concentration en CO2 qui fait monter la température, mais la température qui détermine la concentration en CO2. D'autre part, il n'y a pas plus de catastrophes maintenant qu'avant. Plus d'informations...

le 02/12/2019 à 20:28
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Vos sources SVP? Vous remettez en cause l'effet de serre, il faut argumenter un peu, le dire sur le site de la Tribune n'en fait pas une vérité.

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