La bien triste Europe de monsieur Leparmentier

L'éditorialiste du Monde rejette sur les Grecs la faute de leurs maux. Et refuse tout nouveau soutien au nom du choix du peuple hellénique. Réponse au nouveau mishellénisme français.
La Grèce est-elle coupable de ses propres maux ?

Il fut un temps béni où les grands écrivains français faisaient de leur philhellénisme une vertu et un courage. Il fut un temps où Chateaubriand pouvait s'enorgueillir de placer dans ses Mémoires d'Outre-Tombe cette réaction des Grecs à sa sortie du Ministère : « Leurs espérances les plus fondées étant dans la générosité de la France, ils se demandent avec inquiétude ce que présage l'éloignement d'un homme dont le caractère leur promettait un appui. » Les temps ont bien changé et, désormais, l'heure est davantage au mishellénisme d'un Pierre Loti qui n'avait à la fin de sa vie pas de mots assez durs pour la « Grécaille. »

Aussi la grande presse ne se lasse-t-elle pas de nous décrire les Grecs comme seuls responsables de leurs malheurs actuels. Et pire, comme travestissant à dessein cette vérité éclatante pour faire payer aux autres leur propre gabegie. Tel serait donc le « masque de la tragédie grecque. » Et c'est sous ce titre que l'éditorialiste du Monde, Arnaud Leparmentier, a mené une charge contre cette « victimisation » des Grecs qui, en réalité, sont les vrais coupables de la crise.

Le conte de fées balte

Cette comédie en forme de tragédie décrite sous la plume de cet éditorialiste commence par un conte de fées, celui du modèle balte. C'est une figure incontournable du mishellénisme contemporain. Le succès de l'ajustement balte montrerait en effet avec éclat l'incroyable manque de volonté des Grecs. Comme tous les vrais contes, il se termine mal : les travailleurs et courageux Baltes doivent finir par payer pour les indolents Grecs (ce qui est faux car la contribution au capital du MES n'est pas un prêt à la Grèce). Mais comme tous les contes, c'est aussi un travestissement de la réalité.

Car à lire Arnaud Leparmentier, on a l'impression que les Baltes ont agi, tandis que les Grecs n'ont rien fait. Or, « l'ajustement » des deux pays baltes que cite l'auteur est moins violent statistiquement que celui des Grecs. Le PIB lituanien a perdu 18 % ? Celui de la Grèce a reculé de 25 %. Les salaires lituaniens ont baissé ? Les grecs aussi et d'un quart. Bref, les « efforts » que semblent tant apprécier l'auteur ont été fournis autant sur les bords de l'Egée que sur ceux de la Baltique. Sauf évidemment à nier l'actuelle misère et la souffrance du peuple grec. Mais le défaut principal des Grecs, pour l'éditorialiste, c'est d'oser se plaindre quand les Lettons ont ajusté « toujours avec effort et discrétion

Les Baltes ont retrouvé la croissance plus rapidement que les Grecs ? Certes, mais c'est précisément la preuve que les mêmes recettes appliqués à tous ne donnent pas les mêmes résultats. Parce que les structures économiques ne sont pas les mêmes. La géographie, la capacité industrielle, la culture, l'histoire pèsent sur l'économie. La culture économique des pays baltes n'est pas celle de la Grèce, elle est davantage influencée par le traumatisme soviétique et par l'influence germanique. Les pays baltes ont commencé leur nouvelle vie en 1991 vierge de dettes, alors que dès l'indépendance en 1830, les Européens ont imposé un fardeau financier à Athènes. Autre différence : le modèle économique différent, basé sur l'exportation depuis le début pour les petits pays baltes, centré sur la consommation pour la Grèce.

Tout ceci suggérerait une politique plus fine, plus adaptée que celle qu'a menée la troïka. A moins de considérer l'économie comme une science exacte indépendante et de nier qu'il s'agisse d'une science sans doute trop humaine, mais néanmoins humaine. Au reste, le miracle balte n'est pas si radieux. Si la Lituanie a retrouvé en 2013 son niveau de PIB de 2007, ce n'est pas le cas de la Lettonie qui est encore 10 % en deçà. L'émigration a été massive, dans des pays à la démographie déjà déclinante. Ce « miracle balte » pourrait être un mirage, car il a gravement obéré l'avenir de ces pays.

Mais peu importe : si la politique appliquée sous les applaudissements des belles âmes européennes en Grèce depuis 2010 n'a pas donné les mêmes résultats que dans les pays baltes, c'est bien une raison suffisante pour en changer. Et, dès lors, le raisonnement économique de Syriza de stopper l'austérité est pleinement justifié.

Étrange Europe

Au final, cette course aux taux de croissance après  les ajustements est un peu dérisoire. Après la pluie vient le beau temps. En détruisant un quart de la richesse du pays, en coupant les salaires à la hache, il est logique que la croissance revienne ou qu'à tout le moins le PIB se stabilise. Mais est-ce le modèle que l'Europe propose aujourd'hui à ses peuples ? Détruire de la richesse pendant quelques années pour avoir le plaisir d'afficher de beaux taux de croissance « à la balte » afin de « rattraper » les effets de cette chute ? A n'en pas douter, l'enthousiasme ne saurait manquer devant un tel projet !

Dans l'Europe d'Arnaud Leparmentier, tous les États sont strictement indépendants les uns des autres. Les résultats des pays sont mesurés à l'aune de la détermination des peuples à réaliser leurs « ajustements nécessaires » en silence. Il loue ainsi la « discrétion » de la Lettonie. Là encore, c'est un beau projet pour l'Europe que de mettre en permanence en concurrence des États en leur demandant d'être plus compétitifs que leurs voisins. C'est un beau projet pour l'Europe que de comparer sans cesse Baltes et Grecs, Allemands et Français, etc. Là encore, la fraternité entre les peuples ne manquera pas d'en sortir grandie.

Des Allemands innocents et dupes ?

Dans cette Europe, l'auteur dessine l'image d'un autre mythe, celui des Allemands « dupes » des Grecs qui n'ont pas su corriger ce qui semble, pour lui, être des tares congénitales. Braves Allemands, travailleurs, qui ont eux aussi « ajusté », qui sont solidaires (pour payer leurs propres créances, devrait-on ajouter) et, surtout, nous dit l'auteur qui ont sacrifié leur sacro-saint Mark auquel ils tenaient tant en croyant la promesse qu'il n'y aurait pas de « transferts » en Europe. Mais si cela était vrai, alors, les Allemands n'ont été dupes que d'eux-mêmes. Comment pouvaient-ils croire qu'une union monétaire pouvait tenir debout sans mécanisme de solidarité interne ? Comment ont-ils pu se convaincre qu'une zone aussi hétérogène n'aurait pas besoin d'un système de compensation pour pouvoir tenir debout ?

Mais là aussi, on est dans le mythe. Si les Allemands ont abandonné le Mark, c'est qu'ils y trouvaient leur intérêt. L'euro les protège des dévaluations compétitives de l'Europe et l'austérité leur assure des importations bon marché, tout en gelant les capacités d'investissement dans les autres pays qui pourraient déboucher sur des innovations venant concurrencer les exportations allemandes. L'euro dans sa configuration actuelle est une bénédiction pour l'Allemagne. Et c'est aussi pour cela que, malgré ses réticences, Angela Merkel a accepté de le sauver en 2010 puis en 2012. Du reste, on n'oubliera pas que ces Allemands sur le sort desquels s'apitoie l'éditorialiste du Monde ne sont pas tout blancs dans cette affaire.

Lorsque Gerhard Schröder a engagé ses réformes qui font rêver tous les éditorialistes français, il s'est appuyé sur un gel du pacte de stabilité, sur le fait que l'Allemagne alors était seule à « ajuster » et, enfin, sur des taux bas garantis alors par la BCE de Jean-Claude Trichet. Ces trois éléments ont eu des répercussions dans les pays du sud de la zone euro. Incapables de rivaliser avec une Allemagne meilleure marché, les États comme l'Espagne et la Grèce ont décidé de se concentrer sur la demande intérieure. C'était parfait : les taux bas assuraient un financement à bon compte à la dette publique grecque et à l'immobilier espagnol. Et surtout, il y avait preneur. Car les banques allemandes étaient alors très heureuses de pouvoir recycler l'immense excédent courant de leur pays dans ces circuits plutôt que dans la demande intérieure en Allemagne qui risquait de nuire à sa compétitivité externe... L'indolence grecque n'est pas la seule responsable de la crise européenne. Et si les responsabilités sont partagées, alors le coût doit l'être.

Logique restructuration

A ce sujet, on ne se lassera pas de répéter qu'une restructuration de la dette grecque est tout ce qu'il y a de plus logique. Les Européens ont imposé à Athènes un système de cavalerie financière pour sauver l'euro plus que la Grèce : ce système était voué à l'échec dès le premier jour, non pas en raison de l'indolence des Grecs, mais parce que les bases économiques sur lesquelles se sont fondés les calculs étaient fausses : l'austérité n'a pas rétabli la confiance et les effets multiplicateurs de cette politique étaient sous-estimés. Cette erreur, nos gouvernements, français, allemands, italiens, l'ont toute faite. Ils doivent aujourd'hui l'assumer. C'est ce qu'exige cette raison économique brandie en permanence pour justifier les souffrances des Grecs. Mais voilà, comme le notait Bossuet, « le riche à qui abonde n'est pas moins impatient dans ses pertes que le pauvre à qui tout manque »...

La gabegie hellénique

Venons-en à présent au cœur du propos d'Arnaud Leparmentier : l'austérité n'est pas la cause du problème grec, c'est la gabegie grecque qui continue et justifie que l'on soit ferme avec le nouveau gouvernement hellénique. Personne évidemment ne peut nier que les dysfonctionnements de l'État et de la société grecs soient à l'origine des difficultés du pays. Du reste, nul n'en est plus conscient que les Grecs eux-mêmes, car, ne l'oublions pas, ils en sont les premières victimes, bien plus que le gentil et travailleur contribuable allemand. C'est précisément pour cette raison qu'ils ont voulu changer de majorité.

Les deux partis, Nouvelle Démocratie et le Pasok, que l'Europe a soutenu sans vergogne et qu'Arnaud Leparmentier semble tant regretter, sont en effet les constructeurs de cet État inefficace et captateur. Et la troïka n'a pas changé la donne : les coupes se sont concentrées sur le bas de la fonction publique, sur des objectifs chiffrés, jamais sur l'efficacité. Quiconque a traversé un service d'urgence en Grèce pourra s'en convaincre aisément. Les licenciements de fonctionnaires (un tiers des effectifs tout de même, ce n'est pas mal pour des indolents) ont été décidés sur des critères bien peu transparents. Les popes et les armateurs - dont l'auteur fustige avec raison les avantages fiscaux - ont été protégés. Et ce n'est pas Antonis Samaras qui prévoyait de changer cet état de fait : il est le candidat des popes et des armateurs. Avec Alexis Tsipras, Syriza était pour les Grecs, le vrai parti de la réforme. L'auteur devrait s'en réjouir, mais il est sans doute aveuglé par l'amitié entre Antonis Samaras et ses héros, Angela Merkel et Mariano Rajoy...

L'austérité, pas coupable ?

Quant à l'austérité, elle a échoué sur toute la ligne en Grèce : le choc qu'elle a provoqué a aggravé les maux grecs et a empêché tout vrai redressement de l'économie. Pour dégager un excédent primaire inutile aux Grecs, on a payé le prix fort : un appauvrissement radical de la population qui se traduit dans des faits comme l'augmentation de la mortalité infantile ou la présence d'un quart de la population sous le seuil de pauvreté. Des faits que l'éditorialiste du Monde ne juge pas utile de rappeler puisque ce ne sont que des « dommages collatéraux » de la bonne politique.

Pour Le Monde, le service de la dette grecque étant fort faible du fait de la magnanimité européenne, la restructuration de la dette devient inutile. Rien de plus faux : la Grèce n'a pas accès aux marchés. Son problème est donc le déficit budgétaire final qui ne peut être comblé que par de nouveaux « efforts » ou par une aide extérieure supposant de nouveaux « efforts. » Son autre problème est le remboursement du capital de la dette qui ponctionne des sommes là encore insoutenables puisqu'il n'est possible, comme en France ou en Espagne, de reprendre de la dette pour le financer (en France, lorsqu'un un emprunt arrive à échéance, il est remboursé par un nouvel endettement).  La Grèce est donc condamnée comme Sisyphe a toujours faire pire. Elle est donc condamnée à une croissance insuffisante et à une austérité sans fin.

Une démocratie à deux vitesses

Reste enfin la démocratie. Arnaud Leparmentier refuse absolument l'idée de la remise en cause démocratique de l'austérité. Il estime qu'il existe deux « légitimités » démocratiques en Europe : une en faveur de l'austérité, l'autre contre. Et pour prouver que l'Europe démocratique fonctionne, il cite la chute du gouvernement slovaque de 2011 sur la question de l'aide à la Grèce. Certes, mais la réalité, c'est que depuis 2010, la légitimité anti-austéritaire a toujours perdu. On a vu ce qu'est devenue la légitimité démocratique française en 2012. On a vu François Hollande, auréolé de sa victoire devoir courber l'échine et accepter un pacte budgétaire signé par son prédécesseur pour un plat de lentilles. On a vu un gouvernement français menacer des députés français pour les convaincre à trahir leur mandat et ratifier ce pacte budgétaire. On a vu des gouvernements en Italie et en Grèce tomber par la volonté d'Angela Merkel. On a vu les manœuvres contre le projet de référendum grec de novembre 2011 sur l'austérité. On a vu des unions nationales contraintes par l'Europe en Grèce ou en Italie. On a vu l'austérité se poursuivre en Italie malgré la défaite électorale du parti du premier ministre choisi par l'Europe, Mario Monti, pour mener cette politique. On a vu les manœuvres pour effrayer les Grecs en juin 2012. Le 25 janvier, les Grecs ont choisi une autre voie. Si l'Europe la leur refuse, ils devront décider si leur « légitimité démocratique » est inférieure ou non à celle de l'Allemagne ou de la Slovaquie...

Au final, que retenir de cet éditorial ? L'image d'une Europe condamnée aux « ajustements », refusant toute solidarité interne et en même temps toute différence, montant les peuples les uns contre les autres, établissant une démocratie sur la base de critères économiques. L'Europe dont rêve Arnaud Leparmentier n'est en fait qu'un immense gâchis.

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Commentaires 180
à écrit le 17/09/2015 à 23:11
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Je lis avec beaucoup de retard, mais ... merci beaucoup de cet article. Il est clair, très compréhensible Claire B

à écrit le 09/07/2015 à 8:33
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@chamco06: "Remplacez le "peuple grec" par "juifs" dans ce que l'on lit en ce moment et vous aurez froid dans le dos.". Encore plus quand on regarde la Une du Bild Zeitung !

le 24/07/2015 à 22:29
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Très juste!

à écrit le 08/07/2015 à 22:16
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Que plaisir de vous lire, une réflexion sensée, juste, argumentée. Vos confères devraient vous imiter, mais au lieu de ça ils répètent en boucle les mêmes stéréotypes réducteurs. Que dire des commentaires des lecteurs, entre insultes et commentaires ...

à écrit le 08/07/2015 à 16:56
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Rarement entendu un individu aussi prétentieux et suffisant que ce Mr Leparmentier, encore un qui se prend pour un aigle et qui n'est qu'un triste dindon! Quand aux Pays Baltes qu'il y aille! je les lui laisse volontiers, pas besoin de sortir d'HEC...

à écrit le 08/07/2015 à 15:57
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Comme d'habitude, Romaric nous livre un article de qualité, bien construit et bien écrit. Un des meilleurs journalistes économiques du pays !

à écrit le 07/07/2015 à 12:17
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On ne peut comprendre un événement sans le remettre dans son contexte, c'est la base de la base. Mr Godin, vous êtes un des rares journaliste qui soit (très) compétent, félicitation, et merci de le rester

à écrit le 06/07/2015 à 22:18
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Bravo pour cet article et tous les précédents qui apportent un éclairage précieux dans un monde journalistique aux ordres d'une minorité qui oppriment plutôt que gouvernent. S'il pouvait y avoir plus de journalistes de votre niveau, ça changerait la ...

à écrit le 01/07/2015 à 15:38
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Merci pour cet article.

à écrit le 01/05/2015 à 11:54
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Je dois avouer que bien que je suivais ces affaires avec efforts depuis 2008, je ne comprenais pas la "logique" de la troïka européenne. Je me disais que c'était de l'aveuglement idéologique, qu'ils étaient déconnectés de la réalité comme on dit... M...

à écrit le 11/02/2015 à 8:52
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Merci, encore une fois, Monsieur Godin, pour cet article qui me laisse penser qu'il y a encore des journalistes qui ont une certaine liberté de penser. Votre clairvoyance détonne avec le parti-pris d'une caste médiatique qui se comporte de façon éhon...

à écrit le 09/02/2015 à 5:06
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Il manquerait au tableau: - le sentiment politique. Les Baltes, par leur crainte bien fondée de la Russie

à écrit le 08/02/2015 à 11:34
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Le Monde n'est plus que l’ombre de lui même ; et je suis gentil

à écrit le 08/02/2015 à 11:00
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Il faudrait parler de la responsabilité écrasante des banques dans cette histoire . . .et bien non tout ça est éludé. . Pourtant elles se sont gavées pour arranger l'entrée de la Grèce dans l'EU, se sont gavées avec les intérêts, et vont se gaver ave...

à écrit le 08/02/2015 à 10:58
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Il faudrait parler de la responsabilité écrasante des banques dans cette histoire . . .et bien non tout ça est éludé. . Pourtant elles se sont gavées pour arranger l'entrée de la Grèce dans l'EU, se sont gavées avec les intérêts, et vont se gaver ave...

à écrit le 08/02/2015 à 10:57
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Il faudrait parler de la responsabilité écrasante des banques dans cette histoire . . .et bien non tout ça est éludé. . Pourtant elles se sont gavées pour arranger l'entrée de la Grèce dans l'EU, se sont gavées avec les intérêts, et vont se gaver ave...

à écrit le 08/02/2015 à 10:08
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L IDEE DE SUPRIME LE RENBOURSEMENT DES INTERES DE LA DETTE DES PAYS ET UNE TRES BONNE IDEE? CELA PERMETRER DE NE RENBOURSE QUE LA DETTE???

à écrit le 08/02/2015 à 8:30
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Je ne m’attendais pas à lire un article avec tant de bon sens sur La Tribune. Merci à l’auteur, qui contribue grandement à la crédibilité du journal.

à écrit le 07/02/2015 à 19:21
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Faut-il rappeler que le Traité de Maastricht avait prévu qu'une CONVERGENCE se ferait entre les différents pays, notamment sur le plan fiscal et sur les prélèvement sociaux. L’argument était que les pays qui la refuseraient seraient pénalisés par une...

le 08/02/2015 à 8:37
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Avec : - les pauvres, - les moins pauvres, - les fonctionnaires, - les grecs, - les portugais, - les espagnols, - les wallons, - les chypriotes, - les maliens, - les libyens, - les syriens, - les afghans, - les ours blancs, - les ukrai...

le 08/02/2015 à 16:15
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vous avez oublié l'imprimeur dévasté à cause de Charlie Hebdo. Ce journal,désormais à la tête d'une galette magique,b'a aucune compassion pour cette entreprise,ni pour les employés en chômage technique. Une avance financière pour remettreà flot c...

à écrit le 07/02/2015 à 18:50
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Effectivement l'Europe sous sa forme actuelle est un immense gâchis. Les propagandistes de "la pensée unique" se trompent lourdement et font du tord à l'idéal européen qui risque d'exploser.

à écrit le 07/02/2015 à 17:47
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Je remarque que les Grecs ne veulent pas sortir de l'euro, et pour eux rester en europe est une évidence, et ils veulent payer leurs dettes, toutes leurs dettes, c'est juste qu'ils ne veulent pas payer les intérêts de la dette qui s'accumulent ad vit...

le 07/02/2015 à 22:16
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+100000

à écrit le 07/02/2015 à 17:00
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Cher Romaric Godin, vous est-il venu à l'esprit que si vos lecteurs lisent La Tribune c'est aussi pour ne pas lire le Monde. La prise de tête sans queue ni tête des intellos du gauchisme délirant intéressent peu. Nous aurions préféré que vous répondi...

le 07/02/2015 à 20:26
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Vous etes porte parole des lecteurs depuis quand pauvre droitos

à écrit le 07/02/2015 à 16:40
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Les articles de Romaric Godin sont pertinents et objectifs. J'apprécie qu'il fasse la part des choses, sans compromission, au-delà des positions partisanes.

à écrit le 07/02/2015 à 16:16
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Il y a une chose que M.Godin oublie: c'est que nous avons ensemble, nations européennes, décidé de la façon dont nous allions gérer un bien commun: l'Euro. La Grèce ne rempli pas ses obligations, encore une fois, librement décidées. Elle s'est mise d...

le 07/02/2015 à 16:59
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La Grèce s'est mise dans son tord.." ! QUI , la mise "dans son tord"? ENCORE UNE FOIS, est ce le petit peuple, ou les oligarques Grecs que ça intéressaient tellement de rentrer dans l'eu car ils avaient TOUT A Y GAGNER?!!!!!!!!! n'ayez pas des peau...

le 07/02/2015 à 21:46
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Bien sur que le petit peuple, comme vous l'appelez, est partie de cette faute. Qui a profité des salaires augmentés, des prestations sociales? Et qui a élu des dirigeants qui ont failli..il faut être Responsables! Et perso, j'aime la saucisse, surtou...

le 08/02/2015 à 8:33
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@Bh Votre argument est mauvais. Les élites trahissent. Prenons le cas français que nous connaissons mieux : nous avons élu François Hollande pour appliquer une politique de gauche, certes très molle, mais il avait un programme. Celui-ci a totale...

le 08/02/2015 à 9:39
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C'est trop simple de s'en prendre "aux elites qui trahissent". En Grece ou en France on veut croire au Pere Noel lors des elections, et on finit par elire ceux qui vendent du reve pour arriver au pouvoir. BH a raison de souligner que le petit peuple ...

le 10/02/2015 à 4:16
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"C'est trop simple de s'en prendre "aux elites qui trahissent"" C'est beau de vous voir leur offrir, à ces "élites qui trahissent", une telle absolution. Genre dans une démocratie, il faudrait accepter cet état de fait. I n'y aurai aucun intérêt d...

à écrit le 07/02/2015 à 15:51
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les allemands d'aujourd'hui ne sont plus nationalistes socialistes mais sont restés nationalistes. La mentalité reste la même. Ils sont en guerre avec le reste de l'UE, non par les armes mais par l'économie.

à écrit le 07/02/2015 à 15:33
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C'est vrai qu'un pseudo trotskiste éditorialiste à la Tribune, c'est un peu curieux. Chaque article de RG sent le mélenchonisme tendance bolivarienne avec les résultats que l'on connait lorsqu'il est en place dans un pays (heureusement pas très fréqu...

le 07/02/2015 à 15:57
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+1000 Mr Godin fait de l"'entrisme" a la Tribune, comme Mailly a FO et Jospin au PS. Perso, il me saoule.

le 07/02/2015 à 16:45
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@ALAI1498 Ce n'est pas parce que Romaric Godin énonce des vérités qui ne vous plaisent pas qu'il est trotskiste, mélenchoniste ou zoulou.Le néo-libéralisme est loin d'être la panacée. On peut en croquer mais aussi regarder les choses en face. Les oe...

le 07/07/2015 à 11:48
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Attaque ad hominen pour masquer son incapacité à opposer de véritables contre-arguments... Classique.

à écrit le 07/02/2015 à 15:17
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Un pays dont l'économie est tourné entièrement vers la consommation interne ne peut qu'échouer à moyen terme. Les gouvernements grecs successifs, élus par le peuple grec, en sont bien entendus responsables. Cet article oublie également les généreuse...

le 07/02/2015 à 15:46
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il n'y aura jamais d'Europe avec les allemands dans cette UE L'Allemagne n'a jamais voulu mettre de frontières aux porte de l'UE pour qu'elle puisse continuer à exporter ces produits aux pays émergents tout en étouffant la concurrence européenne grâ...

le 08/02/2015 à 1:36
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les grecs fabriquent ils des voitures ?

le 08/02/2015 à 9:58
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L'Allemagne a la grande sagesse d'integrer la mondialisation actuelle dans sa politique economique, ce que beaucoup d'huluberlus ne comprennent pas tandis qu'ils revassent a un "protectionnisme" europeen, qui viendrait proteger leur petit comfort. Ce...

le 08/02/2015 à 19:12
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c'est étrange car les USA et la Chine font du protectionnisme sauf l'Europe n'en fait pas car cela pourrait nuire aux intérêts des allemands.

à écrit le 07/02/2015 à 15:17
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Il est maintenant clair que l'Allemagne a complètement dérouté le projet Européen de De Gaulle à son seul profit. Ouverture à l'est (folie d'intégrer la Pologne totalement soumise aux USA), renforcement du pouvoir au sein de la commission européenne ...

le 07/02/2015 à 20:17
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C'est mal barré d'ici 2020 on va intégrer la Serbie, sans doute l'Albanie, Bosnie, Moldavie, Monténégro, Macédoine d'ici 2030, sans doute aussi le futur état ukrainien de l'Ouest pour les protéger des Russes. L'ukraine va se séparer en 2 et la partie...

à écrit le 07/02/2015 à 14:57
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L'éditorial de Leparmentier (que je connais pas, en ayant arrêté mon abonnement au monde, il y a longtemps),n'est pas étonnant.Le Monde est passé sous le contrôle des grands groupes économiques et il est normal qu'il défende la doxa ordo-libérale.Ce ...

à écrit le 07/02/2015 à 14:02
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Romaric Godin relève au passage, comme excuse pour que les Grecs aient échoué là où les Baltes ont réussi, "le modèle économique différent, basé sur l'exportation... pour les... pays baltes, {et} centré sur la consommation pour la Grèce". Cela montr...

le 07/02/2015 à 14:46
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mais avant tout, faudrait que votre pays modèle devant lequel vous êtes en admiration, c'est à dire l'ALLEMAGNE, rembourse ses dettes avant de demander aux Grecques et consoeurs de rembourser la leur.

le 07/02/2015 à 15:53
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@Kapo : Il n'y a pas besoin d'admirer l'Allemagne pour constater qu'elle a choisi un modèle économique qui a marché et la France un modèle économique qui n'a pas marché. Ce n'est pas affaire de morale ou de sentiment. C'est une question purement obje...

le 07/02/2015 à 16:04
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l'économiste allemand Marcel Fratzscher, qui a publié Die Deutschland illusion (Allemagne, l'illusion) dans lequel il n'hésite pas à parler de pays en «déclin» qui «vit sur ses acquis». Selon lui, la compétitivité retrouvée du pays, la chute du nombr...

le 07/02/2015 à 16:52
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@L'illusion allemande Dans les 10ans à venir, l'Allemagne sera le malade de l'Europe pour la raison que son industrie, certes performante, sera rejointe puis dépassée par des pays qui feront pour moins cher ce qu'elle fait aujourd'hui. Ca a déjà com...

le 07/02/2015 à 16:52
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@L'illusion allemande Dans les 10ans à venir, l'Allemagne sera le malade de l'Europe pour la raison que son industrie, certes performante, sera rejointe puis dépassée par des pays qui feront pour moins cher ce qu'elle fait aujourd'hui. Ca a déjà com...

à écrit le 07/02/2015 à 12:57
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si vous voulez arrêter le processus de destruction de l'industrie en France imposé et voulu par l'Allemagne, il faut boycotter les produits allemands. Ces produits sont identifiables grâce au code-barres. 400 à 440. Vive la France!

le 08/02/2015 à 8:36
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Je le pratique avec bonheur depuis quelques années maintenant. Dire qu’auparavant, j’achetais volontiers Allemand en considérant que si c’était européen, j’achetais. J’ai restreint cette « politique » au seuls produits français, en y ai ajouté la con...

le 08/02/2015 à 19:15
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@TH... bien vous en a prit, n'allait pas croire qu'en Allemagne les allemands achètent français.

à écrit le 07/02/2015 à 11:55
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Avant de recevoir toute aide qui soit, il faut que les Grecs commencent à payer leurs impôts !

à écrit le 07/02/2015 à 11:44
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Il faut voir pourquoi la Grèce s'est endettée de cette manière et cela, l'article l'explique bien. L'Euro surévalué pour l'économie grecque a détruit le maigre tissus industriel et exportateur grecque. Le tourisme secteur important de l'économie gr...

le 07/02/2015 à 13:52
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@Machin 22....Qu´est-ce qui vous fait penser que dans 5 ans "...(la Grece) sera une économie avec une monnaie lui convenant, un pays prospère et attractif qui attirera les investissements étrangers et les touristes."?... Sont-ils a ce point manchots ...

le 07/02/2015 à 14:04
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votre vision d'ensemble paraît bien documentée, notamment sur la question de l'endettement public, cependant, votre conclusion est désastreuse : s'affranchir de l'euro pour la Grèce signifie le retour à un appauvrissement qui sera particulièrement br...

le 07/02/2015 à 14:51
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moi je prédis une Guerre en Europe, l'Allemagne contre tous les pays du club med.

le 07/02/2015 à 15:25
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Aujourd'hui la sortie de la Grèce de la zone Euro se ferait plus facilement qu'en 2010 au plus fort de la crise. Aujourd'hui, le budget grec est équilibré au niveau du solde primaire ce qui revient à dire que sans dette le Grèce bénéficierait d'un éx...

à écrit le 07/02/2015 à 11:31
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Bravo Romaric pour cet article et la hauteur de vue qui le caractérise. Voilà un débat de haut vol qui méritait d'être ouvert et méritera d'être poursuivi. Au demeurant, Le Monde est un quotidien somme toute très conservateur qui se préoccupe bien ...

le 07/02/2015 à 16:57
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@sophsanc Ce fut avec regret que j'ai arrêté de lire le Monde. 10/12 ans au moins.

à écrit le 07/02/2015 à 10:39
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La Grèce a dépensé sans compter, gouvernements comme particuliers, en profitant des taux bas obtenus grâce à l'Europe. Les gouvernements en particulier ont mi le pays dans un état de surendettement, puis ont magouillé leurs comptes nationaux pour cac...

le 07/02/2015 à 13:36
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Qu'entendez-vous par la "confiscation"?

le 24/06/2015 à 11:17
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@Antoine Archifaux ce que vous prétendez sans preuves sur la Corrèze. Je ne porte pas FH dans mon coeur, mais il faut arrêter de dire des bêtises. Le sur endettement de ce département provient en majeure partie de la majorité précédente UMP. Re...

à écrit le 07/02/2015 à 10:09
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Non mais on croit rêver. On demande à votre journal d'apporter de l'information. Pas de tenter de produire des articles à charge contre vis confrères. Votre journaliste a t il des origines grecques ou une résidence en Grèce ? Que chaque pays assume ...

le 07/02/2015 à 15:48
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lisez les dépêches AFP dans ce cas

à écrit le 07/02/2015 à 10:01
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Il serait temps aussi de parler des responsabilités externes à la Grèce, comme les banques qui les ont aidées à truquer leurs compte pour rentrer dans l'Europe, les banksters ont une énorme part de responsabilité. . mais tout cela reste bien caché.

à écrit le 07/02/2015 à 9:45
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une dette se paye la démagogie anti austérité menera à la dictature

le 07/02/2015 à 13:11
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que l'Allemagne rembourse ses dettes avant alors!

à écrit le 07/02/2015 à 9:44
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Au moins il y a une constance dans vos propos...un relent antigermanique profond...en France on aime pas les vainqueurs...sauf quand ils sont francais..

le 07/02/2015 à 11:20
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Romaric Godin ne peut pas être taxé d'antigermanisme : il a été longtemps correspondant en Allemagne. Il fait l'effort de ne pas tomber dans l'accusation simpliste selon laquelle les Grecs seraient seuls fautifs. Et il a raison. D'évidence, l'économi...

le 07/02/2015 à 13:40
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tiens un commentaire d'un allemand, et en Allemagne vous n'achetez que allemand, n'est-ce pas?

le 07/02/2015 à 14:54
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En Allemagne, on achète que Allemand et on a l'esprit revanchard.

le 07/02/2015 à 16:47
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vous achetez bien que des produits allemands en Allemagne.

le 07/02/2015 à 16:59
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@Der Parce que vous avez aimé les vainqueurs de 1940?

à écrit le 07/02/2015 à 9:38
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A la difference de vous Monsieur Godin, l´editorialiste du Monde, a bien saisi le probleme de la Grece. Je vais citer les propos d´un autre economiste, Mr. Colmant, qui a ecrit :....1/ "le maintien de cours de change artificiels est un contre-sens éc...

le 07/02/2015 à 14:48
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Le problème est que si la Grèce quitte l'euro,c'est sans doute la fin de l'euro.D'autres pays suivraient ,en commençant par l'Italie. Même si la Grèce ne quitte pas l'euro, celui-ci est sans doute condamné( les raisons données par Colmant sont réell...

à écrit le 07/02/2015 à 8:32
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J'ai apprécié cet article très pertinent qui prend intelligemment le contre-pied de l'édito de M. Leparmentier. Les leçons de bonne conduite budgétaire du Monde témoigne du formatage et de l'aveuglement de cette presse "de référence".

à écrit le 07/02/2015 à 8:03
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Et pourtant parfois la meilleure aide c'est de laisser les gens se débrouiller tout seul sinon c'est reculer pour mieux sauter.

à écrit le 07/02/2015 à 7:55
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il est impressionnant de voir les commentaires de cet article et les deux France(s) que cela représente. Malheureusement les FAITS ont la vie dure, quand on vit à crédit un jour il faut payer, les Grecs y sont. Les Français y seront un jour, nous avo...

à écrit le 07/02/2015 à 7:51
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Pfff......qui êtes-vous , Monsieur Godin pour asséner vos "vérités"de façon aussi caricaturale ? Un scientifique? J'en doute car , s'agissant d'une science molle : l'économie , vous devriez savoir que vos certitudes argumentées uniquement à charge su...

le 07/02/2015 à 10:27
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C'est cela, restez dans vos certitudes qui ne souffriront pas d'être ébranlées, joli signe d'intelligence.

le 07/02/2015 à 13:19
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allez émigrer en Allemagne, suis certain que le jour ou vous reviendrez en France (c'est à dire rapidement), vous penserez comme M. Godin mais en pire.

à écrit le 07/02/2015 à 0:09
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C'est agréable de lire un article de fond qui démonte les poncifs habituels repris aux uns et aux autres et lus partout : continuez !

à écrit le 06/02/2015 à 23:04
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La vision de Monsieur Leparmentier à la télévision, ou la lecture de ses éditoriaux dans Le Monde est pénible : la morgue et l'arrogance dont il fait preuve sont un parfait exemple de la dicature de la bien pensance néo-libérale. Ici on peut au moi...

à écrit le 06/02/2015 à 22:57
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Je découvre un éditorialiste d'épaisseur remarquable -vous. Je deviens dès aujourd'hui lecteur de la Tribune. Merci M. Godin

à écrit le 06/02/2015 à 22:31
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Ne dites pas de mal de Leparmentier! Il va mal, il est en service commandé! Son journal est complètement discrédité et ne vit que des subventions publiques. Ne tirez pas sur un futur chomeur!

à écrit le 06/02/2015 à 22:09
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Les pignolos de palais qui flinguent le pib et font flamber le chômage, ça coûte cher en cantines et mensonges!

à écrit le 06/02/2015 à 21:58
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L'Europe n'est pas une zone de croissance et d'emplois, c'est l'inverse. En revanche en France, on eu un bain de sang terroriste dans le caniveau, on manque de respect par rapport aux religions et dans le monde on brûle le drapeau français. Voilà qui...

à écrit le 06/02/2015 à 21:49
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très long, mais pas très convaincant cet article. On peut prendre le problème dans tous les sens, faire appel aux théories les plus tordues ou les plus intelligentes, une cigale reste une cigale, et une fourmi reste une fourmi. Pour une fois que le M...

le 07/02/2015 à 10:11
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D'accord avec bof. Que chacun paie ses dettes.

le 07/02/2015 à 10:28
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donc les grecs seraient congenitalement des flambeurs ? Pas un peu raciste ça ?

le 10/02/2015 à 4:19
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Donc, que l'Allemagne paie sa dette de 162 milliards à la Grèce. Merci @bof et @gilles82.

à écrit le 06/02/2015 à 21:26
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Finalement, si on transpose à la science médicale, la science économique européenne en est restée au stade de la "saignée". Laquelle a manifestement ses Diafoirus.

le 06/02/2015 à 21:52
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bien vu.

à écrit le 06/02/2015 à 20:59
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Pas demain la veille que je vais m'abonner au Monde.

à écrit le 06/02/2015 à 20:52
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Il y va entre les individus comme entre les sociétés. La solidarité, l'entraide, tout ça c'est bien beau, mais entre entités responsables, en position de se venir en aide mutuellement au cas où, avec en plus, la certitude que l'aidé fera TOUT ce qui ...

à écrit le 06/02/2015 à 20:31
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juste une remarque, la Hongrie en 20 ans d'Europe s'est énormement améliorée. Mais le Portugal s'est toujours aussi cata avec des ruines partout dans les villes. Pourtant, ils ont eu les mêmes subventions européennes, non ?

le 06/02/2015 à 21:22
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La Hongrie bénéficie d'un atout géographique énorme avec ses voisin comparé au Portugal. Les industriels allemands, autrichiens et italiens sous-traitent dans ce pays à bas coût très proche. Le Portugal est loin de tout malheureusement. Et nous po...

le 07/02/2015 à 9:36
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la Hongrie en 20 ans d'Europe s'est énormément améliorée??? n'importe quoi, aller faire un tour en Hongrie pour voir si ils sont heureux avec l'europe. mon meilleur ami est franco hongrois ( il retourne en hongri tout les ans ), ce qu'il ma racont...

le 07/02/2015 à 17:06
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@DARKSTAR51 "Regretter la période communiste", pour contrer le libéralisme et surtout le néolibéralisme on n'a rien trouvé de mieux que le communisme. HD'où la peur bleue des US du communisme . La seule voie raisonnable, c'est la social-démocratie

le 10/02/2015 à 4:21
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La Hongrie, la Hongrie... Ce n'est pas le pays d'un Viktor Orban, proche des néo-nazis par hasard ? Tu parles d'un pays sain...

à écrit le 06/02/2015 à 20:24
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Mr Godin, a decidement un problème a regler avec l'Allemagne, et il devrait d'urgence aller consulter.. cela se soigne

le 06/02/2015 à 21:49
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L Allemagne n a pas compris que l Europe politique n a pas d avenir sans des mécanismes de solidarité. Elle s est enrichie sur le dos de ses voisins en faisant de la désinflation compétitive au début des années 2000. Bien sur que la Grèce n avait pas...

le 07/02/2015 à 9:58
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Avec euro, les economies du sud se sont du jour a lendemain retrouvees et pour 1ere fois de leur histoire, avec l’équivalent d'une carte amex gold (monnaie forte, taux d’intérêts faibles) : elles ont "fait la fête" (bulle de consommation, immobilière...

le 07/02/2015 à 13:16
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M. Godin décrit une réalité, ce n'est pas parce que cela ne vous plaît pas que c'est de la germanophobie. L'Allemagne en faisant toujours cavalier seul a une grosse part de responsabilité dans le crise actuelle. Le but de l'Allemagne est d'être en si...

à écrit le 06/02/2015 à 20:17
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Il faut quoi pour écrire un Article sur la tribune ? Car à la lumière de celui que je viens de lire la science en matière économique de Mr Godin est proche de ma fille qui a huit ans..

le 06/02/2015 à 20:41
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+1000 Du blabla et vas-y que je t'embrouille avec mille raisonnements aussi décousus que partiaux. Au delà du fait qu'il y a de braves gens partout, les Grecs sont CULTURELLEMENT un peuple qui aime vivre sans trop se fatiguer en tolérant le scandale...

le 06/02/2015 à 21:43
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Elle est en avance alors ! Heureux homme que vous êtes !

le 06/02/2015 à 21:55
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à votre fille ! elle se destine à un brillant avenir. Soyez en fier. [ avant d' attaquer le Nobel, laisser la vivre quand même sa vie d' ado ]

le 06/02/2015 à 23:14
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Une fine et rigoureuse analyse ethnologique des Grecs, Uranus. Vous avez pensé à faire publier vos travaux réalisés en vacances ?

le 07/02/2015 à 3:34
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- Avant la crise, nombreux étaient les grecs qui cumulaient 2 emplois (voire même 3, dans certains cas). - En 2013, les grecs ont travaillé en moyenne 2037 heures (contre 1489 pour la France et 1388 pour l'Allemagne). Votre démonstration sur la...

le 07/02/2015 à 3:39
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- 1000 Vous accusez pourtant cet article d'être partial, mais je n'ai rien constaté de cette "vérité vérifiable" dont vous parlez, c'est bizarre. Sérieusement, vu le mal que vous pensez de ces gens, je pense qu'ils y gagneraient à ne plus rece...

le 07/02/2015 à 10:31
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et en vertu de quelle compétence êtes vous capable de le juger ? Que ça ne vous plaisent pas n'en fait pas quelque chose de faux.

à écrit le 06/02/2015 à 19:26
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Le gouvernement grec a la légitimité qu'il tire des urnes mais .... il se doit de comprendre que le fait que l'ensemble des grecs se soit mis d'accord pour que les autres européens payent leurs fonctionnaires, leurs retraites et leurs allocations div...

le 06/02/2015 à 21:31
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Je suis en parti d'accord avec vous, ils récoltent ce qu'ils ont semé. Les Grecs et leurs gouvernements successifs n'ont jamais entrepris les réformes fiscales et d'assainissement nécessaire au bon développement de leur pays quand tout allait pour ...

le 06/02/2015 à 23:34
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D'abord, ce raisonnement n'est pas exclusif à la gauche, mais relève plutôt du bon sens. Quand l'Allemagne, qui avait accumulé une immense dette, non pas en paressant, mais en envahissant des pays souverains et en massacrant des millions de personnes...

à écrit le 06/02/2015 à 19:23
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Merci M.Godin, encore une fois. Votre présence sur des plateaux télé en tant que contradicteur serait aussi la bienvenue.

à écrit le 06/02/2015 à 19:12
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Avec les socialistes, c'est toujours sur l'argent des autres qu'il faut compter. Ah, si j'avais l....l'argent DES AUTRES Ah, si on pouvait donner..l'argent DES AUTRES Ah, tout irait mieux si on pouvait depenser... l'argent DES AUTRES... E...

à écrit le 06/02/2015 à 19:09
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Merci beaucoup pour cet excellent article. Je vous présente aussi mes sincères félicitations

à écrit le 06/02/2015 à 18:16
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Très exellent papier, merci

à écrit le 06/02/2015 à 17:47
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Merci Romaric Godin pour vos articles. Vous nous donnez à respirer.

à écrit le 06/02/2015 à 17:39
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excellent papier ( comme d' hab.. ).. On aurait pu aussi ajouter à la longue liste des dommages collatéraux, qu" à chaque un pour cent de réduction des dépenses public Grec correspond une hausse de 0.43 % du nombre de suicide.. ce qui in fine donne ...

à écrit le 06/02/2015 à 17:30
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C'est des conneries tout çca, l'irlande et la gb qui ont pratiqué l'austérité s'en sortent très bien, et l'irlande n'a pas fait de QE contrairement à la GB ! Plus de 3 pc de croissance pas mal au moins les Baltes et les Irlandais se retroussent les m...

le 06/02/2015 à 17:46
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vous pouvez me donnez le chiffre ou le pourcentage des Irlandais, portugais, espagnols ayant fuit leurs pays respectif depuis 2008 ? si vous pouviez allez consulter ceci vous préparera vous aussi à éventuellement envisagé devenir un immigré quand vos...

le 06/02/2015 à 18:22
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Il y a encore 4 millions d'Irlandais, certes il y a eu pas mal de départ mais la démographie là bas y est encore dynamique. Et puis on s'en fout, je préfère une france en déclin démographique qui fait 3 pc de croissance qu'une france a 70 millions d'...

le 06/02/2015 à 20:39
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Réponse à Heu... qui a le mérite d'avoir un ID modeste Dire que les irlandais fuient leurs pays m'interpellent. Ils vont à NY, San Francisco, en Australe... bref dans des endroits plutôt géniaux... Mais eux ils sont riches (Regardez les chiffre...

le 06/02/2015 à 21:51
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mon cher chris, en déclin démographique vous ne pouvez pas faire 3 points de croissance. Un vieux ne consomme pas ( en marketing ( comme dans les ressources humaines ) vieux s' entend dés 40 ans ). Un bébé consomme, un ado consomme, un jeune adulte c...

le 07/02/2015 à 20:11
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Bref pour en revenir au sujet d'origine, les pays qui se serrent la ceinture comme l'Allemagne, irlande, Portugal, Espagne s'en sortent, les autres qui ne font pas de réformes comme la France et l'Italie continuent de couler, c'est simple ! Je ne par...

à écrit le 06/02/2015 à 17:05
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Bonjour, je constate que M. Godin est d'une grande objectivité... La rédaction de La Tribune vire au bolchévismes apparemment. En dehors des considérations économiques, je tiens à souligner que si Syriza a été élu démocratiquement par le peuple grec...

le 06/02/2015 à 19:15
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excellente reponse. Ca rassure...

le 06/02/2015 à 23:19
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Les politiques punitives qui ont été imposées aux Grecs depuis quatre ans sont directement responsables du doublement de leur dette et de leur appauvrissement conséquent. C'est factuel. Il ne s'agit donc pas simplement de "leurs" conneries, mais aus...

le 07/02/2015 à 3:46
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"votre sensibilité" Je sais que ce mot a un sens différent avec le contexte de votre phrase, mais à vrai dire, je pense que ces gens qui s'acharnent sur les grecs (les difficultés économiques ne suffisant pas, il faut sans doute - à leurs yeux - y...

le 07/02/2015 à 10:35
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donc quand on est pas dans la doxa ordo libérale on est bolchévique ? Au moins avec vous le monde est simple à comprendre.

à écrit le 06/02/2015 à 16:49
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Bonjour, je constate que M. Godin est d'une grande objectivité... La rédaction de La Tribune vire au bolchévismes apparemment. En dehors des considérations économiques, je tiens à souligner que si Syriza a été élu démocratiquement par le peuple grec...

le 07/02/2015 à 10:36
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avez vous lu l'article ? Si oui vous avez visiblement du mal à comprendre la finesse et complexité des choses..

à écrit le 06/02/2015 à 16:48
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M Romaric Godin vous êtes un grand Monsieur. Dans ces jours sombres, défendre le faible contre le fort est un acte révolutionnaire que personne n'ose. Continuez à écrire.

à écrit le 06/02/2015 à 16:47
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Très bonne analyse, mais que "le monde" publie les élucubrations d'Arnaud le Parmentier en dit long sur sa décomposition intellectuelle

à écrit le 06/02/2015 à 16:29
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L'article d'Arnaud Leparmentier ne me semble pas meriter tant de tremolos indignes. Celui-ci est en revanche hallucinant de manicheisme et de clichés que je ne pensais pas trouver dans un quotidien serieux. On peut gloser a l'infini sur l'efficacite ...

le 06/02/2015 à 17:52
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Vous avez manquer l' épisode des coups d' états vous ! Papandreou et Berlusconi ont étés éjecter " démocratiquement " par Obama, Merkel, Sarko... pour des goldman sachs boys... vous vous souvenez ou vous n' étiez pas en europe à l' époque ?

à écrit le 06/02/2015 à 16:01
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Pour connaitre ce pays (en vrai, pas à travers le prisme déformé de certains médias), je suis tellement fatigué et sidéré de lire tous ces mensonges et ce mépris quotidien à l'égard des grecs que je ne peux que me joindre aux commentaires qui soutien...

à écrit le 06/02/2015 à 15:55
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Aucune mention des impôts qui ne rentrent pas ? Bizarre...

le 06/02/2015 à 16:06
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Qu'est-ce que ça peut-être usant de lire encore et toujours les mêmes mensonges. Les impôts (qui n'ont cessé d'augmenter depuis la crise) sont prélevés à la source (pour les fonctionnaires, salariés du privé ou retraités). Qu'il y ait des problèmes a...

le 06/02/2015 à 16:10
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Aucune mention nulle part de la fortune de l'église grecque orthodoxe qui pourrait d'une façon substancielle aider au plan financier en collaterisant son foncier et ses trésors. ..

le 06/02/2015 à 17:03
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Pourquoi ma réponse, dans laquelle j'explique qu'en Grèce les impôts des fonctionnaires, des salariés du privé et des retraités ont augmenté et sont prélevés à la source, n'a pas été publiée ? Qu'y-a-t-il de hors charte dans mon message ?

le 06/02/2015 à 20:42
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oui c'est vrai ca d'abord, ya qu'a piquer le fric des riches. Faire comme les Khmers Rouges d'abord ! On zigouille la moitié de la population ca fera autant de Pib pour les autres. Sauf que c'est pas si simple

le 24/06/2015 à 11:38
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@tco Vous on sent que vous aimez la complexité, hein?

à écrit le 06/02/2015 à 15:34
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La ou l auteur de l article a raison, c est quand il dit que le plan d ajustement mit en place par Samaras etait vicie des le depart car il epargnait les categories qui votaient pour lui ou qui le financait. Et on peut esperer que Syriza fasse mieux...

à écrit le 06/02/2015 à 15:24
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Votre analyse est parfaite.Je partage votre indignation sur la position hallucinante d'A. Le Parmentier vis a vis du peuple grec dont le pays nous a leguer une si belle culture!Mais ou est passe la soladirite preconisee par les peres fondateurs pour ...

à écrit le 06/02/2015 à 15:00
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la vérité c'est que la Grèce n'a jamais été prête pour l'Europe, C'est une grosse erreur de Casting ... et le Film a été un gros Bide Le pire c'est que je le savais dès que j'ai sûr qu'ils rentraient dans la zone euro (à l'époque je ne m'expliquais...

à écrit le 06/02/2015 à 14:58
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Merci encore à Romaric Godin pour cet excellent article, remarquablement documenté et argumenté, comme toujours.Une bouffée d'air frais et d'intelligence, dans le maquis de mauvaise foi et d'aveuglement idéologique des médisas mainstream. J'attends ...

à écrit le 06/02/2015 à 14:30
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Merci pour cet excellent article ! Toutefois, à lire la plupart des commentaires, je mme rends compte à quel point l'ignorance et la propagande des médias fait des ravages partout. Je vis en Grèce, je suis grecque... ceux qui parlent dues transaction...

le 06/02/2015 à 15:43
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Merci pour votre témoignage, on lit effectivement bien trop souvent toutes sortes de commentaires qui accusent les grecs des pires maux, sans jamais avoir l'autre version des faits. Les articles à charge qui pointent du doigt le moindre dysfonct...

le 06/02/2015 à 17:06
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Pourquoi ma réponse à ce message, dans laquelle je me réjouis de ce témoignage (qui offre une version des faits différente de celle qu'on entend habituellement en provenance de soit-disant "experts" de la situation grecque qui accusent les grecs des ...

à écrit le 06/02/2015 à 14:02
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Merci Romaric Godin pour votre série d'articles très détaillés et remettant dans une perspective historique longue ce problème de dette Grecque. Aujourd'hui Syriza porte l'espoir d'une capacité de faire évoluer le système de l'UE de l'intérieur, ve...

à écrit le 06/02/2015 à 13:53
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Bon article : Permettez-moi de dire que les Grecs ont été abusé par l'acceptation de leur entrée dans l'Europe. Ils avaient conscience de leur grande pauvreté et s'imaginaient que l'Europe les feraient "monter" aux niveau économique des pays plus "r...

à écrit le 06/02/2015 à 13:52
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Les grecs sont collectivement responsables de leurs ennuis comme les français sont collectivement coupables de leur socialisme. Les Allemands ne sont pas fautifs de réussir, bien au contraire, ils doivent leur industrie à leur vertu collective. Les g...

le 06/02/2015 à 14:46
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J'espère que votre mauvaise foi pour ne pas dire votre malhonnêteté ne vous a pas étouffé

le 06/02/2015 à 16:07
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la réussite allemande est en grande partie due au plan Marshall et à la reconstruction d'un pays détruit. Mais le réunification à aussi contribué à l'emploi et à l'investissement. .. Si la France pouvait se débarrasser de tous ces archaïsmes. ...et ...

le 07/02/2015 à 13:05
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et la pseudo réussite allemande reposait pour beaucoup sur l'emploi à bas coût d'immigrés de pays de l'est (grâce à une absence de salaire minimum). De même, que beaucoup de produits de pseudos qualité allemande sont fabriqués dans le hinterland que...

à écrit le 06/02/2015 à 13:50
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J'ai tout compris : ce hachis est du gâchis. Mais, il n'est qu'une maigre portion du festin : celui de le financiarisation monétarisée, ça fait des montagnes qui surprennent ; mais qui ? Justement des fortiches bien au courant, qui sont aujourd'hui...

à écrit le 06/02/2015 à 13:29
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Je suis frappé par tous les commentaires qui semblent soutenir des politiques de dépenses et de déficits publiques ! Le lectorat de ce journal serait-il devenu gauchiste voire ultra-gauchiste ?

le 06/02/2015 à 18:05
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Parce que l' objectivité ou la transcription de ce qui est factuel devrait ètre classifié de gauchiste voir ultra gauchiste ?

le 06/02/2015 à 23:40
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Le keynesiannisme, c'est du gauchisme maintenant ? Le nouveau libéralisme a vraiment conquis les cerveaux à ce que je vois.

le 07/02/2015 à 10:39
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Visiblement la macro économie ça vous dépasse... ouvrez quelques livres autres que ceux de Milton Friedman.

à écrit le 06/02/2015 à 13:25
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100% d'accord avec ce commentaire ! Arrêtons de délirer sur des positions dogmatiques. De la responsabilité avant tout, ce qui n'empêche d'ailleurs pas le réalisme.

à écrit le 06/02/2015 à 13:16
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Félicitations pour votre série d'articles sur le dossier grec avec notamment le rappel édifiant du " mur d'argent " de 1926 .

à écrit le 06/02/2015 à 13:05
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Tout mettre sur le dos des grecs est peut être une erreur, mais quiconque a passé quelques jours de vacances là bas sait que le marché noir y est monnaie courante, au point qu'un certain nombre de commerçants vous font payer une "surtaxe" dés lors qu...

le 07/02/2015 à 10:21
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justement, Siriza se propose de lutter contre cela !

à écrit le 06/02/2015 à 12:47
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"Personne évidemment ne peut nier que les dysfonctionnements de l'État et de la société grecs soient à l'origine des difficultés du pays." Donc vous reconnaissez que la Grèce porte une part de responsabilité importante dans sa situation. Impôts non p...

le 07/02/2015 à 10:23
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la question est, comment on sort de tout ceci par le haut, et comment respecter le choux démocratique Grec de changer tout ça ! Rien ne sert de s'enfermer dans un dogmatisme fou qui détruit tout au final.

à écrit le 06/02/2015 à 12:44
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Bien, mais on ( l'Allemagne et la France) a jusqu'à present gagner beaucoup d'argent sur la Grèce.... Il faudrait aussi le dire...., et ce sera le cas aussi longtemps qu'il n'y a pas de défaut grec. Il ne faut pas croire que des taux negatifs ou 0,60...

à écrit le 06/02/2015 à 12:34
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Essayez de vivre en dilapidant de l'argent que vous n'avez pas et vous verrez si vous ne serez pas malmenée par les banques et la justice... si la Grèce n'a pas été trop malmenée, si elle a échappé à la faillite , c'est grâce à la solidarité de l'Eur...

le 06/02/2015 à 13:10
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L’Allemagne n’a pas prêté à la Grèce par solidarité mais pour éviter un Grexit. Les allemands sont bien au chaud dans l’euro et il suffit de voir les déboires des Suisses avec le franc suisse pour s’en rendre compte. Combien vaudrait un Deutsch Mark...

le 06/02/2015 à 14:44
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L’Allemagne n’a pas prêté à la Grèce par solidarité mais pour éviter un Grexit. Les allemands sont bien au chaud dans l’euro et il suffit de voir les déboires des Suisses avec le franc suisse pour s’en rendre compte. Combien vaudrait un Deutsch Mark...

le 06/02/2015 à 23:43
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Est-ce vraiment de la générosité quand un euro de prêté en fait à terme perdre beaucoup plus, parce qu'il est conditionné à toutes sortes de "réformes" absurdes démolissant l'économie ?

le 07/02/2015 à 10:25
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croissance de 3% ??? ou ça, quoi ça ? sur un PIB réduit à sa plus simple expression on ne peut plus que croitre, mais cela fait il une réussite ?

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