
Exit le rayon enfants, oublié celui de la salle de bain, des sections produits de la maison, arts de la table et meuble divisés par deux... le Printemps parisien risque de changer radicalement de visage. Et de compter près de 226 emplois de moins. C'est du moins ce qu'affirme le site Mediapart qui s'est procuré un document intitulée "Arthur 3" contenant un projet de transformation de l'enseigne parisienne par les probables futurs actionnaires majoritaires du Printemps . Il s'agirait de réaménager le magasin situé boulevard Haussmann, dans le IXe arrondissement de Paris, en un centre commercial réservé aux griffes de luxe et capable d'attirer davantage de clients étrangers.
Inquiétude des syndicats
Un tel projet aurait menacerait des emplois dans le magasins mais aussi dans la centrale d'achat ou la logistique, craignent les représentants syndicaux contactés par l'AFP. La réunion au sujet du projet de reprise du Printemps, prévue jeudi 25 avril risque d'être particulièrement houleuse. Pour mémoire, le magasin, créé en 1865 et ancienne propriété du groupe PPR, avait été revendu en 2006. L'un de ses principaux actionnaires, l'italien Borletti, cherche aujourd'hui des investisseurs. Un fonds d'investissement qatari installé au Luxembourg sous le nom de Disa serait le mieux placé.
Pour aller plus loin:
>> Printemps à vendre, Borletti ne veut pas des Galeries Lafayette
Vos dits actionaires qatars n'ont pas lieu de causer une peur dans le secteur des salariés, ce n'est pas le goût du jour, à ma convenance, il faut enrayer la suppression d'emplois, maintenant, je ne juge pas. En l'occurence, maintenir l'emploi sinon, ce serait un pays qui meure. Ceci dit, ça ne veut pas dire que nous n'ayons pas besoin de l'un ou de l'autre.
Je termine cette grande parenthèse en vous souhaitant tout le bonheur du monde.
J'avoue que je sais qu'elle existe.
Enfin, dans la positivité de l'actualité, restons sereins.
Vendeurs ou acheteurs, il faut de tout pour faire un monde.
Ils ont un statut favorable qui leur permet d'investir beaucoup sans rien payer.
Et pépére ne fait rien. Il ne crie pas au scandale. Non, il préfère enfonce les entreprises françaises en alourdissant encore plus les taxes et impots.
Le pillage était inscrit dès le rachat du Printemps en 2006 par la société Borletti et un fonds d'investissement RREEF, géré par la Deutsche Bank.
Aider pour que la société soit " à peu près" équitable. C'est la vision que beaucoup devraient avoir. Imaginez tous ces milliards placés dans des comptes off shore, imaginez qu'ils soient partiellement redistribués. Peut être ne verrions nous pas autant d'écart entre Nord Sud ? Oui Peut être suis je idéaliste parce que je me dis que l'Homme ne peut pas être fondamentalement "mauvais et ne penser qu'à ""sa gueule"". Quizas ?
@ ltnuer : d?accord avec vous, mais cela n'a rien à voir avec l'industrie du luxe en particulier. Amazon et les caisses automatiques en hypermarché posent les mêmes problèmes avec des produits ultra courants à des prix modiques..