
MISE AU POINT
Par Sandrine Le Calvez
La France a désormais jusqu'en 2017 pour ramener ses finances publiques aux chiffres voulus par Bruxelles. Le retour à un déficit inférieur à 3 % du PIB a en effet été prolongé de deux ans, mais sous plusieurs conditions.
RETROVISEUR
Par Marc-Antoine de Poret
1983 : le tournant de la rigueur et le contrôle des changes
En 1983, le déficit budgétaire de la France se creuse, et François Mitterrand lance la politique de rigueur. Mais son réajustement de politique économique voit naître les "déçus du socialisme".
DEBAT
Pour en débattre, l'économiste Benjamin Coriat, l'économiste et chargée de recherche au CNRS Anne-Laure Delatte, et la directrice de l'Institut français pour la recherche sur les administrations publiques Agnès Verdier-Molinié.
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Il est vrai que nos politiques ont souvent les deux casquettes.
rien en plus c'est nous qui avons dicté cela. Pourquoi pas 5% voir 7%?
En période de vache maigre l'état doit dépensé pour éviter la révolte.
Mais bon ces politicards sont bien protégé et vive bien.
qui viennent vivre 1 mois chez les pauvres.
Les rois sont tombé les nantis ça viendra l'histoire se répètent.
Par ailleurs la Commission est sous l'autorité des gouvernements des pays européens. Les budgets et les reformes sont contrôlées par les services de la Commission certes, mais in-fine ils sont soumis aux exécutifs des différents pays (qui ont le dernier mot)
Pourquoi changer, dans ce cas ...
oublié ? Macron vient de chez Rotschildd et ne déplaît pas à Bruxelles ......
La France a signé des traités qu'elle ne respecte pas. Personne ne l'obligeait à signer ni même à faire partie de l'Europe.
L'Europe ne fait que rappeler à la France de respecter ses engagements, comme le ferait tout signataire d'un contrat que l'autre partenaire ne respecterait pas.
Heureusement d'ailleurs que nous avons ce chien de garde... Car sinon ce serait la gabegie intégrale et la faillite assurée à moyen terme.
Et pourquoi ces remontrances ? Parce que nous nous endettons chaque anee aussi irresponsablement.
Donc non, il n'y a pas de Diktat, la relation Paris - Bruxelles est celle du mauvais eleve avec son professeur. Mauvais eleve qui a accepté les regles du jeu en toute connaissance mais tergiverse a travailler et refuse la sanction logique quand elle se presente, stop a l'hypocrisie, Bruxelles defend le citoyen face a l'irresponsabilité de ses gouvernants.