
La fronde des magasins indépendants monte depuis la semaine dernière. En cause : la fermeture forcée d'environ 200.000 commerces jugés "non essentiels" jusqu'au 1er décembre en raison d'un deuxième confinement, alors que Noël approche à grands pas. Parmi eux, les librairies -exemple emblématique depuis le début de la crise- mais aussi les fleuristes, les magasins de jouets, de vêtements...
Face aux critiques de fédérations et syndicats de commerçants qui dénoncent une concurrence déloyale des enseignes de la grande distribution et des plateformes de e-commerce, qui elles, peuvent poursuivre leurs activités, le gouvernement a laissé jusqu'à mercredi aux grandes surfaces pour retirer de leurs rayons les produits jugés "non essentiels", dont les livres et DVD, les décorations ou encore les vêtements. Une décision qui a encore déclenché une vive polémique.
Madame Roselyne Bachelot veut réduire les tarifs postaux sur l'expédition des livres.
Chez Amazon ou FNAC, c'est 0.01€....
Si le livre est édité en numérique, c'est encore mieux: on l'obtient en 5 minutes...
La position de Bercy est beaucoup intelligente: il faut absolument aider les petits commerçants à se lancer dans le numérique.
Cordialement