
Le coût des logements à Paris reste inabordable pour le plus grand nombre, certes, mais la tendance est à la baisse. Au quatrième trimestre 2012, le prix moyen d?un logement ancien s?y établit ainsi à 8 270 euros le m², en baisse de 170 euros et de 2% par rapport au 3ème trimestre 2012, indique ce jeudi la Chambre des notaires Paris-Ile-de-France. "En un an, il s?érode de seulement 1% du fait de la poursuite de la hausse des prix au 1er semestre", soulignent les notaires. Ils ajoutent que les indicateurs "laissent prévoir que cette tendance baissière va se poursuivre dans les prochains mois dans la capitale".
L'effet transacction sur les prix reste marginal
La baisse des transactions se fait donc enfin ressentir sur les prix. L?effet reste cependant marginal au regard de l?ampleur de la baisse des transactions, qui ont chuté de 21% à 5930 ventes au quatrième trimestre 2012 sur un an."Jusqu?à l?été, les prix ont fait preuve de résistance, alors même que les transactions avaient connu après le mois de janvier un ralentissement sensible. Cette phase de résistance semble désormais derrière nous", remarque malgré tout la Chambre des notaires Paris-Ile-de-France. Sur l'ensemble de l'année 2012, 27 690 appartements ont été vendus dans la capitale, soit un volume à peine plus élevé que celui de l'année 2009 (26 540), le plus faible depuis 1996.
Baisse modérée des prix en Ile-de-France
Dans l'ensemble de l'Ile-de-France, les ventes de logements anciens (appartements et maisons) sont en recul 12% sur un an à 128 310 pour l'ensemble de l'année 2012. Au quatrième trimestre "il fallait compter 306 500 euros pour devenir propriétaire d'une maison en Ile-de-France, soit 2 900 euros de moins (0,9%) qu'au troisième trimestre 2012", note le communiqué.
Enfin, les notaires notent que la baisse des ventes "ne peut s'expliquer par un désintérêt des ménages pour le logement" mais remarquent que "les conditions d'obtention des prêts se sont durcies" et ils constatent "une recrudescence des refus de prêts".
>> Pour aller plus loin :
- Découvrez les prix de l'immobilier dans votre rue
5% de baisse sur 5 ans font 27%.
Il y en a qui se jetteront par la fenêtre pour moins que ça.
RDV en 2020, les petits malins....
C est sur ca vient cette fois...
mdrrr
- quand les revenus baissent, même si les loyers stagnent, les taux d'impayés deviennent insupportables pour les bailleurs.
Conséquences :
=> tous les malins qui disent qu'ils vont répercuter la hausse de la fiscalité sur les loyers vont découvrir les joies de l'impayé.
=> les bailleurs qui vont racheter du bien vont maintenant intégrer la hausse de fiscalité et une baisse potentielle importante du loyer pour calculer leur rendement : ils vont tirer les prix de vente vers le bas.bref, ceux là ne sauront plus là non plus pour venir soutenir les prix et sauver les gogos qui ont acheté au plus haut ces dernières années...c est cuit, les neuneus vont découvrir un des gros inconvénients de ce support :il n'est pas liquide....game over, et pas mal d' insomnies à prévoir....je me marre.
Vous avez raison d'attendre la vie est si longue...
Moi, Je suis à Bali....
Bisous salé.
Oui la France, le pays qui est devenue en une décennie le paradis des rentiers, la caste des parasites qui se nourrissent sur le dos des travailleurs français (propriétaires endettés sur plusieurs décennies ou locataires).
Et oui pauvre France qui ne supporte même plus la comparaison avec notre voisin Allemand.
La France où l'on a fait passer des vessies pour des lanternes : ( en vrac)
- La pénurie de logement, voir ce qu'en dit l'INSEE
- Le coup de c?ur (ridicule)
- La valeur refuge (n'importe quoi)
- La plus valu automatique (on passe doucement en moins valu pour les acheteur post 2006-2007)
- Jeter l'argent par la fenêtre (faire des simulations et apprendre à compter pour certains serait utile)
ect
Alors on comprend un peu pourquoi les parasites n'aiment pas la baisse, le temps du pigeon facile est révolue, c'était néanmoins une excellente époque pour eux car lesdits pigeons se sont bien fait cou....nés.
Vous parlez d'une "petite baisse" habitant dans un département recherché (proche Versailles) un ami arrive à négocier 25% sur le prix de base avec le vendeur lui disant qu'il ne trouve pas un acheteur solvable ? Je ne vous parle pas de 10% là !
Faux: puisque l'immobilier devient beaucoup moins attractive pour les investisseurs qui désertent le marché pour trouver plus rentable
Attendons aussi de voir l'impact de la crise du mur budgétaire sur la solvabitité des Etats Unis et sur les taux d'intérêt de la BCE, avec l'état actuel et les perspectives de croissance à 2 ans ... une hausse des taux et un durcissement des conditions d'obtention des crédits sont inévitables et ce à partir de fin Mars. Que faudrait-il attendre quand le dernier soutien au pouvoir d'achat immobilier devient une contrainte suplémentaire à l'achat.
On voit BEAUCOUP d'annonces apparaitre avec des biens déja loué, cela prouve que les bailleurs ont peur et qu'ils mettent en vente, Les socialos vous ont pour cible les papys rentiers !
Bien sûr, c'est d'ailleurs pour cette raison que le volume des transactions revient vers son niveau des années 90, soit 500 000/an contre 800 000/an en période "haute" (1999-2007, selon "Notaires de Paris/IdF")
Les gens qui ont cru très fort à un fantasme sont incapables, "structurellement", d'y renoncer.
En attendant, rourou ferait bien d'aller faire un petit tour sur le site de l'INED ou de l'INSEE. Cela lui permettrait de mettre à jour ses présupposé sur les questions démographiques. Il ne sait manifestement pas, par exemple, que TOUTES les générations suivant le baby-boom (1943-1957) sont moins nombreuses, classes d'âge après classe d'âge. Le ralentissement du desserrement des ménages, celui de l'augmentation des ménages, de l'augmentation de l'espérance de vie, de l'augmentation des décès sont des questions qu'il n'a manifestement pas étudié non plus. Beaucoup d'ignorance malgré beaucoup d'assurance.
en bout de chaine, l'ignorent, avez vous des infos ?
hihi
au revoir les pauvres
Continuez de payer votre loyer....
Les autres sont juste des rigolos.
Pourquoi voulez-vous que les propriétaires vendent en masse?
Vous pouvez gesticuler, ca ne changera pas grand chose. Je comprends que vous êtes aigris mais ca ne changera pas grand chose l'offre étant toujours inférieur à la demande.
La tendance aujourd hui est la mono parentalité. 1 logement 1 adulte.
Il faut donc le double de foyer.
Je vais commencer par taquiner les proprios de studettes de moins de 10 m² à 80,000 euros et plus ce weekend!
La bulle risque d'éclater...
Ca baisse vous dites???
C est bien d y croire....
Rien à voir avec une quelconque manipulation de revente dans le but de faire de bonnes affaires comme vous, vous êtes finalement un spéculateur... Lui, ne pense qu'à se loger, en fait, comme tout le monde à part quelques hurluberlus.
Soit on a acheté pour investir, et dans ce cas, on supporte les aléas du paris qu'est tout investissement :: le risque de perte touche tout investissement. Il n'y a pas plus de raison de s'apitoyer plus sur celui qui a investit dans l'immobilier et va perdre que sur celui qui a investit dans une action d'entreprise côtée et a perdu.
Enfin, Il Cavaliere, il y a aussi des gens qui ont économisé, beaucoup, beaucoup, mais sont restés locataires, considérant que les prix étaient ridicules. Acheter n'est pas le signe d'une supériorité en termes d'épargne. Il y a des gens qui, aujourd'hui, ont une épargne à six chiffres et donc on su comme vous économiser, mais ont attendu et attendent encore, simplement que les prix deviennent raisonnables...Ils pourraient bien profiter à la fois de prix plus bas et de taux d'intérêt plus bas ce qui serait inédit.
president de copro, je peut vous dire que l'on peut reduire de 25% les charges...qui seront
forcement en augmentation dans les années a venir.
Trentenaire, j ai l impression de me faire dépouiller par les papy boomers en remboursant une dette qu ils ont creusé depuis 30 ans. Sachant que j ai fait une croix sur ma retraite, pas question de subir la double peine en leur achetant un bien bullesque!!
Il y a une faille dans votre raisonnement, vous continuez de payer une rente (certes encadrée depuis peu) aux vieux propriétaires. C'est probablement moins juteux pour le propriétaire qu'un loyer bloqué et c'est bien pour cela que la plupart des biens en vente sont vendus louer, néanmoins les rentiers continu de spolier les plus faibles mais jusqu'à quand? Quand la dépendance aura franchie le seuil de la porte?
L explosion de la bulle immobiliere est une bonne nouvelle pour la France. Moins on depense pour se loger, plus il en reste pour le reste et faire tourner l economie
Par contre c est vrai que certains baby boomers vont devoir oublier la magnifique plus value qu ils esperaient mais s ils vendent vite ils en feront quand meme une belle
Quant aux "winners" qui ont achete recement, eh ben, il n y a qu a esperer qu ils ne doivent pas divorcer ou qu ils sont jeunes et doivent plus tard acheter plus grand (il vont dans ce cas perdre sur le logement actuel mais le suivant sera aussi moins cher. ex je vend un logement a 100 pour en acheter un a 150. Si les prix baissent de 50 %, je vend le legement a 50 (belle perte) mais je peux racheter a 75. donc au lieu de mettre +50 (150-100) je dois mettre +25 :-))
Elu par les boomers et pour les boomers. ça pourrait etre la devise de l'ump.
Ils se sont contentés de faire une France de rentiers, quand leur slogan était de remettre la France au boulot, (au boulot pour engraisser les rentiers en fin de compte )le résultat n'est vraiment pas glorieux, vouloir les défendre c'est juste du n'importe quoi.
La descente de croisiere ne sera visible que dans 6 mois minimum (c'est à dire 1 an de descente continue).
Nous n'avons encore rien vu !!
De plus, faut aussi comprendre la physionomie du marché parisien :
- les biens à défaut sont éjecté du marché depuis juillet 2011.
- il ne restait plus que les bien sans défaut et bien placé : donc cher. C'est eux qui fait monter artificiellement la moyenne.
- on voit depuis plusieurs mois que les biens de luxes coincent. Alors même si eux on leur valeur propre qui baissent ou stagne, de part le désengagement des biens à défaut, la moyenne est montée pendant 1 an.
- Maintenant, le désengagement des biens à défaut est très avancé . On commence donc à voir une moyenne "pure" produit sans défaut.
- C'est maintenant que nous allons la voir redescendre au rythme de la descente de ces biens sans défaut.
- Logiquement, certains bien avec défaut vont revenir sur le marché pour être vendu mais beaucoup beaucoup plus bas que le prix lorsqu'ils se sont retirés. La moyenne devraient donc brusquement s'effondrer à ce moment là.
Les phases de la moyenne des prix parisiens devraient donc etre la suivante :
- avant blocage : montée à un rythme "parisien"
- du blocage à la resignation des vendeurs (seul le luxe part) : la montée s'accelere => on bat les records
- resignation à la capitulation (le luxe plafonne, il n'y a plus de bien à defaut) : la courbe plafonne => c'est la periode fin 2012
- debut de la capitulation (le luxe commence à descendre, les biens à defaut revienne doucement beaucoup plus bas) : la courbe amorce sa baisse => on entre dans cette phase
- coeur de la capitulation (le luxe est à la traine, les biens à defaut sont revenus en masse): la courbe est à sa pente decroissante la plus forte
- fin de la capitulation (le luxe poursuit son rattrapage, les bien à defaut sont à un niveau de prix normal): la courbe pente negative se redresse mais ca descend toujours
- retour à une situation normale (equilibre entre prix des biens à defaut et prix du luxe) : la courbe s'aplatie.
Sachant que vu la violence de la chute et l'inertie de marché, on va surement avoir du rebond à l?atterrissage
Ce phenomene ne se produit quasiment pas en province car l'immobilier de luxe y est beaucoup plus marginal (sauf quelques coin cotier de cote d'azur)
La baisse qui avait commencé à s'effectuer en 2008 a été neutralisé par les milliards de l'argent du contribuable déversé par la majorité précédente ( ptz ptz+ borloo scellier de robien ecteect).
La baisse actuelle va être plus franche, car cette fois ci les caisses de l'état qui étaient déjà vides en 2007, sont totalement à sec ( voir les 6 puis 8 puis ect milliards qu'il faudra trouver chaque année pour "essayer" de revenir dans les clous.
C'est une bonne nouvelle pour notre économie.