L'énergéticien allemand E.ON (EOAN.DE) a dévoilé une forte baisse de ses résultats semestriels, pénalisé par la baisse des prix de l'électricité sur le marché de gros et du boom des énergies renouvelables.
Le géant allemand a averti que son activité de production d'électricité en Europe subissait encore une pression intense résultant de la faible demande et du bas niveau des prix de vente.
Les résultats du premier semestre publiés ressortent contrastés, avec une hausse du bénéfice net, grâce aux plus-values de cessions, mais un fort recul du résultat courant après impôts, qui exclut les éléments exceptionnels.
Le bénéfice net d'E.ON a donc atteint 3,07 milliards d'euros au premier semestre, soit une croissance de 6% par rapport à 2,89 milliards d'euros à la période correspondante de 2012. E.ON attribue cette progression à la hausse des plus-values réalisées sur la vente d'actifs. Cependant, le résultat courant après impôts, qui exclut les éléments non récurrents, a chuté de plus de 42% à 1,91 milliard d'euros, dépassant toutefois le consensus, qui tablait sur un ROC de 1,83 milliard d'euros.
Les résultats du premier semestre publiés ressortent contrastés, avec une hausse du bénéfice net, grâce aux plus-values de cessions, mais un fort recul du résultat courant après impôts, qui exclut les éléments exceptionnels.
Le bénéfice net d'E.ON a donc atteint 3,07 milliards d'euros au premier semestre, soit une croissance de 6% par rapport à 2,89 milliards d'euros à la période correspondante de 2012. E.ON attribue cette progression à la hausse des plus-values réalisées sur la vente d'actifs. Cependant, le résultat courant après impôts, qui exclut les éléments non récurrents, a chuté de plus de 42% à 1,91 milliard d'euros, dépassant toutefois le consensus, qui tablait sur un ROC de 1,83 milliard d'euros.
Un excédent brut d'exploitation en net recul
Parallèlement, l'excédent brut d'exploitation, ou Ebitda, a reculé de 15% à 5,7 milliards d'euros, tandis que les analystes tablaient sur 5,53 milliards d'euros.
En guise de perspectives, le groupe a confirmé qu'il prévoyait un Ebitda compris entre 9,2 milliards et 9,8 milliards d'euros pour l'exercice 2013, soit une baisse de 15% par rapport à l'an dernier.
L'électricien a par ailleurs annoncé qu'il étudiait les conséquences pour ses résultats de l'évolution de la législation allemande concernant le stockage des déchets nucléaires, et a précisé que ses résultats d'exploitation et son bénéfice courant après impôts devraient être affectés. Le groupe a souligné que l'impact sur son excédent brut d'exploitation (Ebitda) de 2013 est actuellement estimé à moins de 400 millions d'euros mais la nouvelle loi pourrait avoir un impact total de 2,6 milliards d'euros sur le secteur de l'énergie nucléaire. La publication est saluée par le marché. Le titre bondit de 3,43%, à 12,65 euros.
Parallèlement, l'excédent brut d'exploitation, ou Ebitda, a reculé de 15% à 5,7 milliards d'euros, tandis que les analystes tablaient sur 5,53 milliards d'euros.
En guise de perspectives, le groupe a confirmé qu'il prévoyait un Ebitda compris entre 9,2 milliards et 9,8 milliards d'euros pour l'exercice 2013, soit une baisse de 15% par rapport à l'an dernier.
L'électricien a par ailleurs annoncé qu'il étudiait les conséquences pour ses résultats de l'évolution de la législation allemande concernant le stockage des déchets nucléaires, et a précisé que ses résultats d'exploitation et son bénéfice courant après impôts devraient être affectés. Le groupe a souligné que l'impact sur son excédent brut d'exploitation (Ebitda) de 2013 est actuellement estimé à moins de 400 millions d'euros mais la nouvelle loi pourrait avoir un impact total de 2,6 milliards d'euros sur le secteur de l'énergie nucléaire. La publication est saluée par le marché. Le titre bondit de 3,43%, à 12,65 euros.
Retraités : la volte-face des favorisés d'Emmanuel Macron (45)
Il n'y a actuellement aucun commentaire concernant cet article.
Soyez le premier à donner votre avis !