
C'est le principe de la carotte et du bâton. Un après avoir émis ses recommandations pour éviter une dérive des banques dans les conditions d'octroi d'un crédit immobilier, le Haut conseil de stabilité financière (HCSF), présidé par le ministre de l'Economie, Bruno Lemaire, a finalement décidé de les ajuster, notamment pour ne pas pénaliser les primo-accédants à la propriété.
« Nous souhaitons être au plus près des besoins de ménages et notamment des primo-accédants. C'est un point clé de notre politique » a ainsi justifié Bruno Lemaire, à l'issue de la réunion du Haut conseil.
Taux d'effort porté à 35 %
Ces ajustements portent sur les trois points des recommandations émises le 12 décembre 2019. Le premier concerne le taux d'effort (charge de la dette rapportée au revenu disponible) qui passe de 33 % à 35%. La durée maximale des crédits est allongée de deux ans à 27 ans, pour tenir compte, dans le logement neuf, du délai entre l'achat sur plan et la mise à disposition effective du logement.
Enfin, et c'est sans doute le point le plus important,...
Concernant les prix de l'immobilier dans l'ancien, il est relativement normal que les propriétaires bénéficient des hausses de prix au regard de la tension sur le marché (cf. offre/demande). En revanche, c'est aux acheteurs d'être plus offensifs sur les prix de l'ancien au regard de l'année de construction et de l'état cosmétique du bien car il faut avouer que nombre de logements dans des quartiers historiques ne méritent pas (cf. état de la structure) le prix demandé malgré l'aspect comestique appréciable.
Au secours
Même arnaquer des jeunes peu diplômés qui se ruinent à acheter en sommet de bulle et s'interdisent ensuite toute mobilité professionnelle
On n'est pas près de voir le chômage décroître ...