
C'est passé relativement inaperçu lors de la présentation de la loi de programmation militaire (LPM) en août. Le ministre de la Défense, Jean-Yves Le Drian, a décidé de réduire très sensiblement « la dotation prévisionnelle annuelle » pour les surcoûts des opérations extérieures (OPEX) dans le budget de la mission défense à 450 millions d'euros, au lieu d'une provision habituelle de 630 millions affectée ces dernières années. Cette dotation prévisionnelle est « en adéquation avec les priorités stratégiques et les nouveaux contrats opérationnels définis dans le Livre blanc, a expliqué Jean-Yves Le Drian mardi au Sénat. Cette dotation est un peu inférieure à la précédente mais il s'agit de tenir compte de la nouvelle définition de nos contrats opérationnels qui n'est plus celle du Livre blanc et de la programmation précédents ».
En revanche, le ministre a arraché à Bercy « une clause de sauvegarde », qui était demandée par les parlementaires. Elle précise que « les surcoûts résultant soit de nouvelles opérations extérieures, soit du renforcement des opérations existantes en 2013 seront couverts par un financement interministériel ad hoc ». Clairement, le ministre a obtenu qu'au delà de la provision de 450 millions d'euros inscrite dans le projet de loi de finance initial de 2014, la défense ne prendra pas en charge les surcoûts des OPEX. Il en va de « la soutenabilité budgétaire d'éventuelles décisions d'engagements militaires de la France » de la part du Chef de l'Etat, a estimé Jean-Yves Le Drian. « Et j'en suis particulièrement satisfait », a-t-il affirmé devant les sénateurs de la commission des affaires étrangères et de la défense. Car, selon lui, cette clause de sauvegarde participe à « la sincérité de cette loi de programmation militaire ».
En 2013, le surcoût des OPEX devraient dépasser le milliard d'euros
Avec l'opération Serval au Mali, qui devrait dépasser les 400 millions d'euros à la fin de l'année, le surcoût des OPEX devrait dépasser, comme en 2011, le milliard d'euros. Cette année-là, les OPEX avaient coûté au budget 1,24 milliard d'euros, une facture gonflée notamment par les opérations en Libye (368,5 millions d'euros pour sept mois d'intervention environ) et en Afghanistan. Une telle "perspective est préoccupante", avait souligné au printemps le Chef d'état-major des armées, l'amiral Edouard Guillaud. En 2012, Paris a réduit la facture à 873 millions d'euros. Soit une stabilisation des dépenses par rapport aux montants engagés en 2010 (860 millions d'euros) et en 2009 (870 millions).
Un ministère vit sur le dos des autres c'est à dire les contribuables.
Ce serait bien que les présidents, les ministres et les hommes rattachés aux ministères engagent leur fortune personnelle lors de leur décision.
Aujourd'hui toujours par un jeu d'écriture on passe une dépense d'un ministère à une dépense générale. Mais sur le fond le citoyen se moque de la comptabilité analytique ou des lignes à la sauce politicienne car en fait seul lui paie et l'ancien quinquennat et l'actuel sont des adeptes de la gabegie payé par le contribuable. Les Pieds Nickelés de la politique prestidigitateurs médiocre montrent un peu plus chaque jour leur côté irresponsable pour gérer ce pays qu'ils détruisent. Pour ceux qui ne le savent pas chaque ministère à sa réserve comme les parlementaires et oui en maffia les têtes et les méthodes peu scrupuleuses de la morale et du respect des français sont toujours dans cette république bananière, cette réserve servira t elle à cette mascarade
Les mots les plus simples sont bourrés de sens différents et nécessitent bien souvent un complément ...
On (les politiques) nous a endormi durant des années pour s'apercevoir que nous ne décidons plus de rien. Tout ça pour préparer le nouvel ordre mondial, c'est à dire retour au début du 20ème siècle : 5% de "riches" pour 95% d'esclaves.