Dans un secteur où se multiplient acquisitions (Genentech par Roche, rachats en série pour le français Sanof-Aventis) et fusions (Pfizer-Wyeth, Merck-Schering Plough), le groupe pharmaceutique américain Bristol -Myers Squibb (BMS), devenu en comparaison un acteur de taille moyenne, n'entend pas rester à l'écart.
Son PDG James Cornelius indique au wall Street Journal vouloir réaliser 6 ou 7 acquisitions ou partenariats sans viser une grande fusion. Il dispose pour cela d'une trésorerie disponible de 9 milliards de dollars.
Depuis fin 2007, Bristol -Myers, à la tête notamment de l'anti-coagulant Plavix, a conclu des accords avec plusieurs homologues pour développer des molécules.
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