
"Il y a urgence" pour le président du Conseil scientifique. "Les prochains jours seront décisifs" pour le porte-parole du gouvernement : face à la circulation en France des variants du coronavirus, la probabilité d'un troisième confinement s'accroît.
"Il faudra probablement aller vers un confinement" dont les conditions relèvent d'une "décision politique", a déclaré sur BFMTV le président du Conseil scientifique Jean-François Delfraissy.
"Plus on prend une décision rapide, plus elle est efficace et peut être de durée limitée. On est dans une semaine un peu critique", a ajouté le président de cette instance chargée de conseiller l'exécutif.
Car sur le plan sanitaire, la circulation des variants, qui doit être mesurée plus finement après une nouvelle enquête "flash", programmée mardi et mercredi, "change complètement la donne", ajoute le médecin. Atteignant déjà des niveaux de 7% à 9% des cas dans certaines régions, ils entraînent "l'équivalent d'une deuxième pandémie", selon lui.
"Il n'y a pas [encore] de décision prise", selon Attal
Côté gouvernement, le ministre de la Santé Olivier Véran a dit attendre "d'être fixé sur les effets du couvre-feu" généralisé. "On le sera la semaine prochaine", précise-t-il au Journal du Dimanche.
"Si ça ne baisse pas et si les variants [du Covid-19] commencent à se diffuser partout", le gouvernement "prendra des mesures supplémentaires", prévient-il. "Et cela s'appelle le confinement."
"Il n'y a pas de décision prise, et les prochains jours seront décisifs", a ajouté le porte-parole du gouvernement Gabriel Attal, lors de l'émission de France 3 Dimanche en Politique. Mais "par principe, tous les scenarii sont sur la table".
Pour les médecins, il n'y a pas à tergiverser: il faut reconfiner
À l'instar de Jean-François Delfraissy, les médecins estiment la question tranchée. Le confinement est "nécessaire pour nous permettre de repartir et de rebondir à la fin du printemps et de l'été avec toute la France qui veut se mettre au travail", a déclaré sur Franceinfo Denis Malvy, membre du Conseil scientifique et chef du service des maladies infectieuses et tropicales au CHU de Bordeaux.
"Le confinement apparaît vraiment irrémédiable, la question qui se pose maintenant, c'est dans quel délai", a renchéri Karine Lacombe, cheffe de service des maladies infectieuses à l'hôpital parisien Saint-Antoine, dans Le grand jury sur RTL/Le Figaro/LCI. Plusieurs indicateurs montrent que "nous arrivons à un seuil de saturation du système hospitalier".
Et le nombre de malades hospitalisés a encore augmenté dimanche, à 26.357, soit un bon millier de plus qu'il y a une semaine. Les services de réanimation --où sont les cas les plus graves-- comptent eux près de 3.000 malades (2.955), contre 2.766 sept jours auparavant.
Fermeture des écoles, une "décision éminemment politique"
Faudra-t-il fermer ou non les écoles cette fois ? "C'est une décision éminemment politique", a précisé le président du Conseil scientifique, qui plaide également pour un "auto-isolement volontaire" des personnes âgées et fragiles en attente de vaccination, alors que "toute une génération de jeunes ne vit plus" du fait des mesures sanitaires.
"La situation permet la continuité scolaire. Mais nous sommes vigilants", assure pour sa part le ministre de l'Education nationale Jean-Michel Blanquer au JDD. "Tout notre travail consiste à éviter" une fermeture des établissements, "même si elle reste concevable en cas de nécessité absolue. L'école reste essentielle pour nos enfants".
Par ailleurs, depuis la nuit de samedi à dimanche, présenter un test PCR négatif réalisé 72 heures avant est devenu obligatoire pour les voyageurs en provenance de l'Union européenne (UE) dans les ports et aéroports français. Cette obligation s'appliquait déjà depuis la mi-janvier aux voyageurs en provenance des autres pays.
Les travailleurs frontaliers et le transport terrestre en sont exemptés.
Planning de vaccination impossible à tenir et Big Pharma à la peine
Sur le front du vaccin, un total de 1.026.000 personnes ont été vaccinées contre le virus responsable du Covid-19, au moins avec une première injection. Fixé pour la fin janvier, le palier du premier million avait été dépassé samedi, quatre semaines après le début de la campagne française de vaccination.
Mais Jean-François Delfraissy "ne partage pas" la conviction du gouvernement que l'ensemble de la population pourrait être vaccinée d'ici l'été. "On va vacciner le maximum de gens d'ici à la mi-avril, probablement 6 à 8 millions de personnes", et arriver à la fin de l'été à vacciner peut-être 40% de la population française "mais pas plus", a-t-il ajouté, constatant que "l'industrie pharmaceutique (ne parvient pas) à fournir de façon massive" les doses.
éolien off shore, énergie hydrolienne,etc). Ces énergies vont dans le sens de l'Histoire contrairement au pétrole qui est appelé à la disparition.
COVID-19 : L’Allemagne ouvre un camp de détention pour ceux qui ne respecteraient pas la quarantaine.
Dictature sanitaire nous y voila.
«Non, les enfants, ne chantez surtout pas. ... Car depuis lundi, le Canton interdit le chant dans les structures d'accueil des enfants. En fait, c'est la suite d'une décision du Conseil fédéral à la fin de l'année dernière, qui interdisait le chant hors de la famille. Une pétition pour lever l'interdiction du chant dans les crèches.Le chant a été dernièrement prohibé pour lutter contre le coronavirus, et les crèches ne font pas exception. Pour beaucoup de professionnels et parents, c'est l'incompréhension. Une pétition en ligne a été lancée en fin de semaine dernière à Genève. Elle défend le fait que le chant soit une activité pédagogique importante qui est empêchée pour les petits enfants.
Quant au vaccin, il semble qu'il n'y en a pas suffisamment. Les Suisses ont trouvé une solution, lorsque Pfizer a annoncé la réduction de ses livraisons, ils ont cessé la vaccination et conserve les vaccins dont ils disposent pour la seconde injection.
Nous on vaccine, sans savoir s'il sera possible de faire la seconde injection dans le délai qui est indiqué par Pfizer.
Heureusement que nous ne sommes pas en guerre contre une grande puissance, parce que les zozos qui gouvernent montrent la limite de leur compétence.
Pour l'instant 100% des annonces faites dans les médias de masse ont été traduites dans les actes du gouvernement, comment pourrions nous encore croire une telle phrase ?
Nous avons aussi le droit de désobéir aux allem... euh à l'UE et à l'OMS et même au FMI si on le veut. C'est ça la souveraineté et c'est bien pour cela que les riches essayent autant de l'anéantir cette si puissante souveraineté alors que ce n'est pas possible puisque détruire la souveraineté c'est tout simplement, comme on peut le constater d'ailleurs, tuer un peuple or plus de peuple plus de pays, plus rien pour se cacher derrière et c'est pas les autres pays qui cacheront les magouilles de nos riches ou en leur faisant payer bien cher.
Mais bon je parle à des aliénés hélàs.
Et l'année prochaine peut être plus tard la présidentielle qui permettrait a nos incapables de garder leur place plus longtemps...
La situation épidémique le justifie-t-elle ?
Si on examine les différents indicateurs sanitaires, voici ce que nous constatons :
Selon le réseau Sentinelles, réseau qui surveille l’évolution des épidémies en médecine de ville, le taux d’incidence des Infections Respiratoire Aigües à Covid 19 (c’est-à-dire les patients présentant des symptômes en rapport avec le virus) en Semaine 2, est de 19 cas pour 100 000 habitants ( environ 12 000 cas).
Ce taux est en baisse puisqu’il était la semaine précédente de 26 cas pour 100 000 habitants. À noter que ce taux est stable autour de 16 cas/100 000h depuis mi novembre.
À titre de comparaison le seuil épidémique de la grippe, c’est-à-dire le taux d’incidence à partir duquel on considère que l’épidémie démarre, est de 170 cas pour 100 000h. Au pic de l’épidémie le taux d’incidence peut varier entre 300 et 500 cas pour 100 000h.
Selon SOS médecin, le nombre d’actes pour suspicion de Covid effectués par cette structure est stable, voire en légère baisse de 1% en Semaine 2 par rapport à la Semaine 1. Cette activité est également stable depuis mi-novembre.
Selon Santé Publique France, le nombre de tests positifs en Semaine 2 est stable par rapport à la semaine 1 avec une légère augmentation de 1%.
L’ensemble de ces indicateurs concorde et montre donc qu’il n’y a pas d’accélération de l’épidémie actuellement, alors même que l’on nous prédisait une reprise épidémique après les fêtes de fin d’année.
On note également qu’il n’y a pas de saturation ni des services hospitaliers ni des réanimations, et le nombre de personnes hospitalisées et d’admis en réanimation est stable depuis plusieurs semaines.
Le confinement a-t-il une balance bénéfice risque favorable ?
Comme l’ont déjà montré différentes études, les mesures de confinement strict n’ont pas d’incidence sur l’évolution de l’épidémie et sur la réduction de la mortalité. La Suède, pays qui n’a pas mis en place de mesures de confinement et s’est appuyé sur la responsabilité de sa population, voit le nombre de cas diminuer et présente un taux de mortalité plus faible que la France.
Outre le coût économique, force est de constater que le coût sanitaire est énorme et que les effets négatifs du confinement sont nombreux et touchent l’ensemble de la population :
- Augmentation des troubles anxio-dépressifs avec augmentation de la délivrance des anxiolytiques et antidépresseurs,
- Syndrome dépressif et perte d’autonomie chez les sujets âgés,
- Retard au diagnostic et de prise en charge de pathologies cancéreuses,
- Augmentation de la surcharge pondérale et de l’obésité chez les enfants.
Notons également que la précarité et les troubles psychiques chez les étudiants, secondaires à l’arrêt des cours en présentiel, ne pourront être qu’aggravés par un nouveau confinement.
Le confinement est donc une mesure dont la balance bénéfice risque est défavorable.
Des alternatives à la politique sanitaire actuelle sont-elles possibles ?
Oui, il existe des alternatives aux mesures sanitaires actuelles.
Il faut dans un premier temps mettre un terme à la politique de la peur néfaste pour l’état psychique de l’ensemble de la population toutes classes d’âge confondues.
L’exécutif se doit, dans une situation de crise, de rassurer par un discours pédagogue qui doit s’appuyer sur la confiance en la responsabilité de ses concitoyens et non sur la culpabilisation ou l’infantilisation.
La population a très bien intégré depuis bientôt un an de crise les bons gestes à adopter :
- Consulter son médecin traitant afin de se faire tester dès les premiers symptômes, encore faut-il laisser aux médecins de ville la possibilité de faire leur métier et de prescrire les traitements nécessaires et adaptés à chaque patient qu’ils reçoivent.
- S’isoler dès la suspicion d’une maladie à Covid 19 et dès la réception du test positif. La diminution des infections saisonnières habituelles s’explique sans doute en partie par le respect de cet isolement dès l’apparition de symptômes suspects ainsi que par l’application des gestes barrières.
- Signaler les cas contacts afin d’assurer leur dépistage précoce.
La mise en place d’un nouveau confinement du fait de la situation épidémique est donc totalement disproportionnée. Il serait également injustifié du fait de son inefficacité démontrée.
De plus ses effets négatifs entraineront des conséquences sanitaires, psychiques économiques et sociales dramatiques et durables.
Par le hashtag « JeNeMeConfineraiPas » et par cette tribune, nous n’appelons pas à la désobéissance civile, mais souhaitons lancer un grand appel à la réflexion.
D’autres choix sont possibles et doivent être débattus de façon démocratique. Il n’est plus possible de laisser un conseil scientifique décider seul des mesures impactant le pays dans son ensemble, alors que les mêmes nous ont prévu depuis maintenant dix mois une apocalypse qui n’a jamais eu lieu.
Aussi, nous invitons dès à présent tous les décideurs à lancer une grande réflexion pour lutter d’une autre façon contre l’épidémie du covid-19.
En effet, si l’objectif des mesures sanitaires est de sauver des vies, la mise en place de mesures toujours plus restrictives et disproportionnées risquent à terme d’en détruire bien plus.
Nous lançons également un appel solennel au Président de la République, en lui demandant de prendre la décision courageuse de sortir de la logique infernale des confinements successifs.
Il n’est plus possible d’écouter les voix qui appellent à toujours plus de restrictions, d’enfermement et de coercition envers une population en détresse qui ne pourra en supporter davantage.
Ce confinement sera celui de trop. De toutes nos forces, nous nous y opposerons.
Docteur Fabien QUEDEVILLE, Médecin généraliste
Se joignent à cette tribune :
Jean-François TOUSSAINT, professeur de physiologie et directeur de l’IRMES, Laurent TOUBIANA, épidémiologiste, directeur de l’IRSAN, Laurent MUCCHIELLI, sociologue et directeur de recherches au CNRS, Alexandre JARDIN, écrivain, Thibault MERCIER, avocat, pour le Cercle Droit & Liberté, Clarisse SAND, avocate, Frédéric NIEL, avocat, Emmanuelle E., Association « Victimes Covid-19 France
vous ne suivez pas les bons indicateurs.
Incidence Gilets Jaunes: Il faut reconfiner
Incidence contestation de la poliitique du gouvernement: Il faut reconfiner.
incidence Vidéo Didier Raoult, Perronne, Toussaint.. En augmentation ces derniéres semaines il faut reconfiner d'iurgence.
J'espére que vous avez compris le drame sanitaire que nous vivons. O.Veran va bientot nous refaire une crise.
Une maladie qui a un taux de mortalité moyen à 84 ans est dangereuse pour quelle part de la population ?
Vous inversez la vérité, c'est cette peur chez nombreuses personnes qui ne risquent rien qui est illogique seulement générée par des médias de masse hystériques, complètement abrutis d'ailleurs, ne sachant plus qu'aboyer, au moins c'est foncièrement répulsif me direz vous c'est déjà ça.
J'ai bien quelques noms à proposer : le docteur schnok, le docteur maboul, ou encore le professeur Tournesol, pourquoi pas ?
Tant que c'est pas le Dr Petiot ou Mengele.