45 000 morts en France d'un arrêt cardiorespiratoire

Chaque année en France, environ 45 000 individus décèdent d'un arrêt cardiorespiratoire. Ainsi, le ministère des Solidarités et de la Santé a engagé, en 2007, des actions en faveur du développement de l'implantation des défibrillateurs automatisés externes (DAE) sur l'ensemble du territoire et notamment dans les établissements qui reçoivent du public (ERP). Spécialisé depuis 45 ans dans la technologie médicale et le diagnostic cardio-pulmonaire, l'entreprise internationale SCHILLER joue un rôle important en France et en Europe pour diminuer le nombre de décès. « Nous avons d'abord équipé les professionnels, comme le SAMU, le SMUR et les pompiers, avant d'installer des défibrillateurs en accès public », précise Christophe Lévêque, DG de SCHILLER France. Ainsi, depuis 2009, l'entreprise équipe les infrastructures de la SNCF, par exemple.

Des défibrillateurs pour le personnel médical, comme pour tous les citoyens

Parce qu'on ne rigole pas avec la santé, surtout dans ces instants où la vie ne tient qu'à un fil, SCHILLER est extrêmement exigeant sur la qualité et la fiabilité de ses défibrillateurs. Installée entre la France, la Suisse, l'Allemagne et l'Autriche, l'entreprise équipe aussi bien les hôpitaux et les urgentistes, que les ERP et les collectivités territoriales. C'est ainsi que le défibrillateur DEFIGARD Touch 7 est à destination des professionnels, tandis que le FRED PA-1, équipé de la même technologie, est installé sur la voie publique ou dans les ERP. En plus d'une technologie et d'une production de haute qualité, SCHILLER met à disposition de ses clients une division commerciale propre à chaque secteur professionnel, afin d'être toujours en phase avec les attentes spécifiques de chacun, ainsi qu'un réseau de techniciens pour assurer la maintenance de 75 000 machines installées sur le territoire français.

Une prise en charge sur l'ensemble de la chaîne de survie

Avec des appareils autant sur la voie publique que dans les centres hospitaliers, SCHILLER accompagne une victime sur l'ensemble de la chaîne de survie. « Il est nécessaire que l'ensemble des données médicales du patient tombé dans la rue puisse aller jusque dans les logiciels de l'hôpital. Cela va permettre de gagner en productivité, en qualité de soin et en traçabilité, pour par exemple un cardiologue qui va pouvoir retrouver les premiers chocs qui ont été faits par le défibrillateur », ajoute Christophe Lévêque. Mais, même équipé d'un défibrillateur, il est important de rappeler qu'en cas d'arrêt cardiorespiratoire, il faut agir, même maladroitement. L'appareil de SCHILLER ne choquera pas à tort, il captera lui-même le rythme cardiaque pour intervenir si nécessaire. Avant, il faut prévenir les secours puis opérer à un massage cardiaque qui, même mal fait, peut sauver une vie.

D'ailleurs, c'est une nouvelle innovation en projet pour SCHILLER : une planche à masser, qui associerait un massage cardiaque avec un défibrillateur.

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