Le financement de la dépendance par la Sécurité sociale, avec l'hypothétique création d'un « cinquième risque », s'apparente de plus en plus à un serpent de mer. La question reste donc posée à tout un chacun : comment anticiper et quelles solutions choisir? L'assurance-vie présente de nombreux atouts.
Aujourd'hui, pour anticiper les dépenses liées à la dépendance, les particuliers peuvent souscrire un contrat d'assurance classique qui nécessite de cotiser à fonds perdus. L'assuré contribue ainsi pendant de nombreuses années alors même que, dans une génération, seule une personne sur quatre sera dépendante.
L'autre solution consiste à utiliser l'assurance-vie pour se constituer une épargne de précaution en prévision d'une éventuelle perte d'autonomie. Ceci permet de mettre de l'argent de côté régulièrement tout en bénéficiant d'une fiscalité toujours avantageuse. « L'assurance-vie est un outil adapté à plusieurs objectifs, dont celui de financer sa propre dépendance », explique Olivier Farouz, directeur général d'Arcade Patrimoine. « En cas de besoin, le titulaire du contrat peut procéder à des retraits ponctuels ou programmés, selon les cas. » S'il décède sans avoir eu besoin de...
Assurance-vie et rente viagère au secours de la dépendance
Article réservé aux abonnés
Déjà inscrit ou abonné ? Connectez-vous
Se connecter
Réagir
Merci pour votre commentaire. Il sera visible prochainement sous réserve de validation.
a le à :
ce qu'on a . Comment va-t-on faire?
Depuis 2004 les employeurs paient la Contribution Sociale Autonomie qui est justement déjà destinée à financer ce "risque" de dépendance pour les personnes âgées en handicapées.