Le mal logement, victime collatérale de la rente foncière

3,5 millions de personnes sont toujours mal logées ou sans abri. Le résultat de plus de 40 ans de déconnexion croissante entre les prix de l'immobilier et les revenus des ménages.
Mathias Thépot
3,5 millions de personnes mal logées ou sans abri en France

Ce samedi 1er février, les 60 ans de l'appel de l'Abbé Pierre en faveur des sans abris sont célébrés. 60 ans et toujours 3,5 millions de personnes mal logées ou sans abri et près de 10 millions concernées par la crise du logement. La situation atteint un tel point de non-retour, que les politiques économiques semblent s'être totalement détournées de ces problèmes.

Une politique du logement basée sur la défiscalisation

"On sépare le débat de fond sur la politique de l'immobilier et la politique du logement", regrette la sénatrice et ancienne secrétaire d'État au logement Marie-Noëlle Lienemann. "C'est Bercy qui maitrise désormais la plus grande partie de la politique du logement en France par une stratégie de défiscalisation qui a pourtant coûté une ruine au pays !", ajoute-t-elle. Ce, de surcroît "pour produire des logements inadaptés aux besoins de la population", s'atterre la sénatrice. "Cette politique de gaspillage de l'argent public a favorisé la rente foncière depuis les lois Barre des années 1970. Cette rente a été captée par une partie de la population au détriment des plus démunis", déplore-t-elle encore.

Décalage structurel entre les prix de l'immobilier et les revenus des ménages

En laissant majoritairement le pouvoir du logement au marché, l'État a en fait laissé les prix du foncier croître de manière vertigineuse. "Le foncier a augmenté de plus de 500% depuis les années 70, soit beaucoup plus que les salaires et le PIB. Ce qui a entrainé un décalage structurel entre les prix de l'immobilier et les revenus des français ; et a par ailleurs perturbé la capacité du pays à construire des logements", explique Marie-Noëlle Lienemann.

"Avec l'emballement des prix de l'immobilier, et notamment du foncier, certains ménages ne peuvent plus se loger, ou déménager pour se loger dans des appartements qui correspondent à leurs besoins", constate pour sa part Christine Rifflart, économiste à l'Observatoire français des conjonctures économiques (OFCE). Le développement de telles situations "montre que les efforts des gouvernements au fil des années n'ont pas été à la mesure de ce qu'il fallait faire", ajoute-t-elle.

Impuissance de l'État planificateur

La crise économique de 2008 n'a fait qu'empirer la situation avec la multiplication des situations de chômage.
Remettre une politique de régulation des prix au centre des préoccupations paraît donc indispensable, tout en remédiant en parallèle à l'impuissance de l'Etat planificateur.

"Il faut prévoir où l'on doit construire dans les 5 à 10 ans, et quantifier le nombre de logements à produire", propose Maire-Noëlle Lienemann. "L'État doit être plus volontaire sur le foncier pour produire massivement des logements variés, en concentrant les aides sur les logements à bas coût", ajoute-elle.

Le logement social, meilleure arme publique pour maitriser les prix

C'est à dire brandir l'arme du logement social, "le principal contrepoids de l'État pour contrôler les prix", selon Christine Rifflart. "Avant l'adoption de la loi SRU, qui a imposé 20 puis 25% de logements sociaux dans les communes, il y avait clairement une absence de mobilisation de l'État dans ce domaine", se souvient l'économiste. Depuis, la situation s'est de ce côté améliorée même si certaines communes préfèrent toujours payer des pénalités plutôt que de respecter les quotas de la loi SRU.

Mais la situation du mal logement "ne pourra pas se régler uniquement avec la politique du logement", juge Marie-Noëlle Lienemann. Il faudra en plus "que l'État investisse massivement dans l'accompagnement social pour suivre humainement les gens et leur apporter des réponses diverses à leurs problèmes", ajoute la sénatrice. Reste à savoir si Bercy l'entend ainsi...

Mathias Thépot

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Commentaires 67
à écrit le 10/02/2014 à 12:47
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Le prix de location d'un logement est fonction de l'offre et de la demande mais il l'est aussi et surtout dépendant du prix de l'entretien dudit logement. Example 2 pièces 40 m2 en location à Clichy proche Porte Pouchet Réfection peintures et remise...

à écrit le 09/02/2014 à 18:50
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On conçoit très bien, dans le système capitaliste, une fonction directe entre le prix de vente et le prix de location pour tenir compte de ce qu’il est convenu de nommer le rendement, qu’il soit brut ou net compte tenu des charges d’entretien, d’imp...

à écrit le 05/02/2014 à 10:40
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Encore des généralités et des propos de Bobo parisienne dogmatique. Regardez à Dijon, par exemple, Près de 3000 biens à vendre, souvent à des prix bradés, plus de 2500 biens à louer, y compris des T4 à moins de 400 euros par mois (source Leboncoin).....

le 09/02/2014 à 0:19
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"La mairie a permis le lancement de milliers de constructions, en oubliant que les habitants ont aussi besoin d'emplois...." : Mon dieu quelle horreur, un maire qui fait baisser le prix du logement... L'enfer socialiste : Des familles qui peuvent se ...

le 09/02/2014 à 0:23
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"y compris des T4 à moins de 400 euros par mois (source Leboncoin)" : Sur seloger, 3 pièces 50/60 mètres carrés, 450/500 euros CC... Reste à savoir si vous considérez qu'on doit pouvoir louer 3 pièces avec un SMIC 40h?

le 13/02/2014 à 18:44
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Dijon:cas d'école.Un immense quartier neuf avec centre commercial de standing en construction mais pas d'acheteurs.. Mairie,promoteurs,constructeurs ont poussé ce projet..au nom de l'emploi à préserver dans le bâtiment.Des profits,évidemment aussi....

à écrit le 03/02/2014 à 15:35
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Au lieu d'investir dans des dispositifs coûteux d'allègements fiscaux bénéficiant aux plus aisés, pourquoi notre Etat n'investirait-il pas dans la justice de façon à ce qu'elle soit rapidement rendue et exécutée. Ainsi louer à des gens modestes ne se...

le 03/02/2014 à 19:59
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"davantage d'investisseurs s'intéresseraient à ce segment dont le ticket d'entrée est relativement attractif" : Les investisseurs ne sont pas la solution, ils sont le problème, de parfaits innutiles dès lors que les prix sont en corrélation avec les ...

à écrit le 02/02/2014 à 21:39
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Tous coupables tous responsable, les banques se sont beaucoup enrichi aussi. dans le temps le patron logeait ses salariés gratuitement, ensuite les HLM ont repris le relais avec des loyers modérés mais maintenant le problème c est le chômage. une...

à écrit le 02/02/2014 à 19:08
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Le logement est un bien de première nécessité, les prix n'ont pas a s'y fixer librement, POINT BARRE! Que ceux qui sont contre ce principe payent ce qu'ils peuvent payer là où la modération des prix les arrange bien quand ils sont en position de cli...

le 02/02/2014 à 23:12
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+100000

le 03/02/2014 à 8:12
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Avec ce genre de raisonnement, on a des logements pas chers mais inexistants. Le secteur privé représente environ 55% des logements. Sans une rentabilité minimale (aujourd'hui quasi-nulle soit en général 3 ou 4%) tous les investisseurs disparaitront...

le 03/02/2014 à 13:38
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Il est évident que les logements disparaissent lorsqu'ils cessent d'être loués... Un certain temps peut-être, mais jamais très longtemps (sauf taudis de toute façon inlouables).

le 03/02/2014 à 15:37
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C'est pas assez rentable? Mais vendez-donc.

le 03/02/2014 à 19:46
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"Appeler des parasites, les personnes qui prennent un risque " : Ils ne prennent aucun risque tant que l'état est la pour maintenir les prix à la hausse comme nous l'avons vu en 2008/2009! Les 2% d'impayés, c'est peanuts par rapport aux sommes spolié...

le 04/02/2014 à 7:12
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l'expression panier de crabes: c'est exactement ça.

à écrit le 02/02/2014 à 12:15
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82 millions d'euros auraient pu sauver beaucoup de sans abris cet hivers , mais tout le monde regarde ailleurs, je pense que l'Abbé Pierre lui l'aurait dénoncer !

à écrit le 02/02/2014 à 11:24
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Le vrai responsable est l état et toutes les normes qui multiplient le coût de construction par deux ,simplifions ,libérons du foncier et les prix baisseront .

le 02/02/2014 à 16:45
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non c'est faux le vrai coupables ce sont les français qui refusent de se salir les mains et de travailler dans le batiment, car c'est trop fatigant, vaut mieux etre un fonctionnaire ou un cadre petit chef.

le 02/02/2014 à 19:09
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problème c'est qu'on l'a bien cherché, ces professions sont dévalorisées et ont une mauvaise image auprès des gens, alors que c'est le contraire qu'il aurait fallu faire, et LES PAYER décemment.

le 02/02/2014 à 20:33
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Les Français sont plus chers que les Polonais et les Espagnols, je ne vois pas en quoi ça ferait baisser le prix du neuf.

à écrit le 02/02/2014 à 10:53
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Y a tout de même quelque chose que je ne comprends pas; pourquoi y a tant de personne vivant dans la rue en plein Paris alors qu'il y a temps de campagne où les loyer sont beaucoup moins élevé et pour lesquels ils ne paierais même pas le logement ni ...

le 02/02/2014 à 19:03
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Non a la campagne aussi les rats profiteurs proprietaires profitent aussi de la misere pour se gaver

le 03/02/2014 à 9:09
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@Fred : non pas tous les propriétaires sont des profiteurs. J'ai vecu dans le sud dans un studio où les propriétaires me faisaient payer bien moins cher que le marché. De l'autree j'ai mon frère qui est propriétaire dans le nord mais qui fait payer l...

le 04/02/2014 à 19:31
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"De l'autree j'ai mon frère qui est propriétaire dans le nord mais qui fait payer le loyer à peine plus cher que son credit." : Grand seigneur dites donc! Heureusement que l'état lui pique 45% de ces rentes sans quoi ils rembourseraient l'intégralité...

à écrit le 02/02/2014 à 10:07
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Les gens n'ont pas d'argent pour se loger mais ils n'en manquent pas pour le téléphone mobile, internet, la high-tech, les cigarettes, les dépenses de loisir.....La vraie différence avec des décennies en arrière c'est que le logement n'est plus consi...

le 02/02/2014 à 10:29
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Discours politiquement incorrect mais pourtant bien réel, mais ça il ne faut pas le dire....

le 02/02/2014 à 11:01
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tout a fait d'accord avec "témoin" revenons tous aux priorité et au bon sens.

le 02/02/2014 à 18:33
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Pitoyable commentaire quand un studio coutent aujourd'hui plus cher à la location que le remboursement d'un prêt pour un pavillon 15 ans plus tôt... Vous vous planquez derrière des dépenses qui ne permettraient même pas de gagner 5 mètre carré à l'a...

le 03/02/2014 à 13:40
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+1 @témoin !

le 03/02/2014 à 15:10
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Témoin, quel âge avez-vous??? 100 ans???? Savez-vous que sans internet, il est impossible de nos jours de décrocher un emploi, et que les administrations nous l'imposent petit à petit??? Allons, sortez, voyez du monde, vous n'etes plus dans la vraie ...

à écrit le 02/02/2014 à 9:48
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Taxons les bailleurs comme par exemple les boulangers et baucoups mettront la clef sous la porte. La valeur réelle de leur fond de commerce sera évaluée a son juste prix et bon nombre de locataires pourront se payer leur toi. Mais il est vrai que bau...

le 02/02/2014 à 10:01
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avant de faire de la politique de café du commerce faudrait déjà apprendre le français !!

le 02/02/2014 à 10:20
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Pensez vous que l'état a les moyens de construire des logements sociaux? Moins 35 % de mise en chantier l'an dernier, s'il n'y a plus d'investisseurs privés il y aura moins de locations donc une augmentation des loyers. Voilà le résultat de l'effet D...

le 02/02/2014 à 10:27
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Ca n'empêche pourtant pas qu'il a parfaitement raison.

à écrit le 02/02/2014 à 8:57
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Puisque nous avons déjà un nombre respectable de mal-logés et que l'Etat n'arrive plus à faire face, pourquoi continuer à vouloir laisser rentrer en France entre 150.000 et 200.000 personnes? Michel Rocard n'avait-il pas constaté voici plus de 15 ans...

le 02/02/2014 à 12:02
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les gens qui disent la verite ne sont jamais ECOUTE

à écrit le 02/02/2014 à 8:36
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Il est étonnant de voir la Tribune reprendre sans analyse les propos de mme Lindemann. Un rapide calcul montre que même en prenant comme base de départ le SMIC en 1980 (fin des années 1970) et en appliquant 500% nous nous retrouvons avec une multipli...

le 02/02/2014 à 9:55
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Merci d'expliquer votre calcul. Elle dit que le foncier a augmenté de 500/100. Vous de 2800/100.

à écrit le 02/02/2014 à 1:24
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Le problème pourrait être réglé si on ne s'obstinait pas à construire des villes toujours plus grandes, où l'activité économique est concentrée, alors que des milliers de Km2 de France sont désertifiés.

le 02/02/2014 à 10:03
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Mais bien sur !!! En effet il est bien là le vrai problème, et quand on sait que les socialos veulent encore densifier l'habitat urbain on comprend une fois de plus qu'ils ne comprennent rien !!!

le 13/02/2014 à 19:00
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Vous mélangez VOLONTAIREMENT activité économique et densification urbaine. --Un nouvel aménagement du territoire aurait un effet à long terme sur la densité de population. --Par contre il y a urgence de logements dans les zones tendues. --Déjà sar...

à écrit le 01/02/2014 à 23:25
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le terme "le rente foncière" exprime une forme de réalité, une réalité où les prix s'emballent, où une partie de la population peine à se loger, où la part du revenu captée par la simple possession d'un bien devient une charge pour l'économie entière...

à écrit le 01/02/2014 à 19:22
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Vous êtes gonflé d'écrire cela ... Ce n'est pas la rente foncière qui fait la pénurie de logements en raison des frontières grandes ouvertes et de l'hyper immigration ...

le 01/02/2014 à 23:50
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"Ce n'est pas la rente foncière qui fait la pénurie de logements " : 3000 euros du mètre carré habitable pour 1500 euros en construction de qualité, ça ne joue pas sur les prix de la construction? Vous n'escroquerez que les naîfs en pointant du doig...

le 02/02/2014 à 10:03
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Il faut taxer les bailleurs et leurs BIENS comme les entrepreneurs et au meme taux sur leur revenues, leurs machines et leurs locaux. On se rendra vite compte que leur affaire n'est pas rentable et qu'ils vivent de defiscalisation au dela de l'achat....

le 02/02/2014 à 19:10
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"Il faut taxer les bailleurs et leurs BIENS comme les entrepreneurs" : Comptez le nombre de bailleurs et le nombre d'entrepreneurs, vous comprendrez pourquoi les premiers bénéficient d'une énorme niche fiscale sur les plus values!

à écrit le 01/02/2014 à 18:45
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Et combien de ces 3,5 millions sont entrés "récemment" en France, y compris sans papiers ? Tout le monde voit les bidonvilles renaître autour des grands axes aux portes des grandes villes, mais on n'a pas le droit d'en parler sans être accusé de tous...

le 01/02/2014 à 19:26
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effectivement, vous tendez la verge pour vous faire battre! mais vu que c'est interdit d'en parler sous peine de goulag juste ( yodok, p ex) , faites attention... dans la majorite des cas, il est autorise par les traites europeens d'aller voir ailleu...

à écrit le 01/02/2014 à 17:35
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Avec des analyses a ce niveau on est pas d'evoluer. La rente fonciere et les mal loges ou l'equivalent de la lute des classes dans le logement. Cette rente fonciere c'est 57 58% des francais qui pour la tres grande majorite ne sont pas des rentiers p...

à écrit le 01/02/2014 à 17:02
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A loger en plus chaque année ? C est sur on peu faire tourner les betonnieres encore longtemps .

le 01/02/2014 à 19:07
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Environ 150.000 "nouveaux entrants" par an en France

le 03/02/2014 à 13:57
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Grossièrement exagéré. Le solde migratoire annuel n'a jamais été supérieur à 112000 (2006), est régulièrement en baisse et tourne autour de 40000 depuis 2009. Pour comparaison, le solde naturel est également en baisse quasi régulière depuis 10 ans et...

à écrit le 01/02/2014 à 15:51
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Dire que certains propriétaires ont 10 appartements dans l'ancien a louer et peuvent vivre sans rien faire et d'autres qui travaillent n'ont rien pour se loger.

le 01/02/2014 à 17:35
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Il y en a qui pourraient avoir l'équivalent en placement bancaire et boursier, plus rémunérateur, sans charges, sans tracas, sans travaux, sans impayé et nous aurions 10 familles de plus à loger.

le 01/02/2014 à 23:53
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Quand les propriétaires de 10 appartements ont bossé et épargné comme des malades, ça ne me choque pas... Le hic, c'est qu'ils travaillaient généralement moins que leurs locataires actuels...

le 02/02/2014 à 11:32
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avec des raisonnements comme celui là,pas étonnant que des gens dorment dans la rue,

le 02/02/2014 à 14:41
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Vous savez que nombre de personne dorment dans la rue à Paris depuis que nos très utiles investisseurs dans l'ancien ont transformé les chambres de bonne en "studio" à 700 euros?

le 03/02/2014 à 15:50
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que les investisseurs sont utiles, ils ont fait exploser la demande ces dernières années avec toute les subventions et les merdes défiscalisantes qui ont été déversées sur le marché sous l'UMP je rappelle (France de propriétaires, n'est ce pas?)

à écrit le 01/02/2014 à 15:32
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Alors que nous avons plus de 3 millions de mal logés,nous n'avons aucun Batisseur pour donner l'impulsion à ces mises en chantier, que font la CDC,NEXITY,le ministère du logement,et surtout les Maires,qui connaissent les disponibilités foncières,ma...

le 27/04/2019 à 5:22
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benoit H. il s'en fout des mal logés il veut acceuillir des millions d'étrangers et leur donner le droit de vote dans l'espoir qu'ils voteront pour lui

à écrit le 01/02/2014 à 15:21
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Le mal logement, victime collatérale aussi de l'instabilité législative, fiscale (impots locaux qui ont explosé) et des sauts d'humeur et de la théologie agressive de Duflot qui surenchérissent les prix à la construction et font en même temps fuir le...

le 01/02/2014 à 16:13
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Les acheteurs payent le prix qu'ils peuvent payer pour se loger et le prix qu'ils peuvent payer pour que l'opération soit rentable pour louer. La fiscalité ne joue que sur la somme encaissée par le vendeur, ce sont les subventions qui ont remontée ...

le 01/02/2014 à 20:15
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Mais vous avez tout-à-fait raison : changeons de voie : la politique UMP qui n'a rien réglé au problème du logement, qui a juste servie à enrichir les rentiers : dans les cabinets.Et ce que fait Cécile Duflot.

à écrit le 01/02/2014 à 13:31
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Fuyez l'investissement immobilier le plus rapidement possible!!!!!!!!!!!!!!!!

le 01/02/2014 à 13:36
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merci : c'est fait depuis longtemps car trop de contraintes, d’impôts, trop cher, pour ne pas être payé de surcroît par des locataires indélicats !

le 01/02/2014 à 20:23
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Ca doit rester inconfortable pour pas trop attirer les branleurs, mais ceux qui ont besoin de se loger.

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