PODCAST. «Les valorisations trop élevées amènent de bonnes comme de mauvaises choses», Thomas Rebaud (Meero)

ÉPISODE 26. Avec la photographie au coeur de son business, la licorne Meero se développe sur de nombreux marchés, autant pour les professionnels que pour les particuliers, à travers de nombreux produits. Une réussite qui s'explique par une succession de choix de marchés, d'orientations business et de décisions entrepreneuriales. Par Olivier Mathiot et Thomas Benzazon. (*)
(Crédits : DR)

"40 nuances de Next" est un podcast conçu pendant le confinement par (*) Olivier Mathiot, le président de The Camp, un campus dédié aux nouvelles technologies basé à Aix-en-Provence et (*) Thomas Benzazon, multi-entrepreneur, en partenariat avec La Tribune, Maddyness, l'association France Digitale et la French Tech, le label créé par le ministère de l'Économie.

Pour rappel, le Next 40 est une initiative lancée par Bercy à l'automne 2019. Il regroupe les 40 plus grosses startups françaises, déterminé sur la base de critères économiques (montant des levées de fonds, chiffres d'affaires, taux de croissance annuelle) porté par le Secrétaire d'Etat au Numérique Cédric Ô. Il est une référence explicite au CAC 40, les 40 plus grosses capitalisations boursières françaises. Ce Next 40 sera-t-il le prochain CAC 40 ? Ou bien est-il encore un CAC 40 en devenir ? Car la question du monde d'après se pose désormais.

Dans chaque épisode, un ou une entrepreneur du Next 40 (sélection 2019).

Voici le numéro 26, avec Thomas Rebaud qui revient sur la rémunération des photographes et ne fait l'impasse sur aucun sujet ; l'occasion aussi pour lui de répondre à certaines attaques ou questionnements sur certains partis pris de Meero.

Première partie

Seconde partie

Lire aussi : A quoi sert le French Tech 120 et qui sont les startups sélectionnées ?

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Commentaires 3
à écrit le 09/05/2021 à 8:47
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la seule chose qu'amene une valorisation trop elevee, c'est une correction brutale c'est rarement bon

à écrit le 08/05/2021 à 20:14
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Les valorisations artificielles n’amènent que des déceptions. Les valorisations ( celles qui sont authentiques) viennent de la satisfaction des clients ( la notoriété et l’éthique d’une entreprise font sa valeur ) Une entreprise qui fabrique des fa...

à écrit le 07/05/2021 à 12:49
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Tout dépend ce que l'on en fait et surtout qui valorise l'entreprise étant donné que Tesla est survalorisé depuis toujours sans que qui que ce soit ne l'ai remise en question.

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