
Le président de la République française, Emmanuel Macron, a avec courage réitéré, lors de sa récente rencontre avec Angela Merkel à Brégançon, l'engagement de la France aux côtés des forces de la paix et de la stabilité dans la Méditerrané orientale. La Grèce et Chypre comme aussi la Libye sont des victimes du révisionnisme de l'Histoire que le président de la Turquie Recep Tayyip Erdogan essaie d'imposer par le chantage, la force ou la "négociation forcée". La doctrine de M. Erdogan se base sur la révision du traité de Lausanne de 1923, proposition publiquement avancée déjà par lui-même en décembre 2017.
Paris et Athènes protègent les intérêts de l'Europe
La France et la Grèce sont des alliées historiques dont les intérêts en termes de sécurité régionale convergent tout autant plus dans la conjoncture actuelle. Le nouveau "pivot asiatique" des Etats-Unis a créé un vide géopolitique dans la région du Proche-Orient. Un vide que des forces comme la Turquie essayent de combler. Néanmoins, la Méditerranée est un espace stratégique pour l'Europe et M. Erdogan est bien au courant de cela. Des forces comme la France et la Grèce avec leurs actions protègent les intérêts de toute l'Europe dans la région.
De son côté, la Turquie d'Erdogan vise à devenir un pôle géopolitique régional, qui interviendra de manière directe ou indirecte dans toute la région....
la lune tremblera .
Les Pays-Bas ne représentent qu'eux-même, il suffirait de leur demander à eux de négocier avec les Anglais au nom de l'U.E. Or il me semble que ce n'est pas le cas.
En suppriment les accords de Schengen on supprime la Libre circulation de certains ennuis mais aussi la libre circulation de 180.000 frontaliers Français qui entrent en Suisse pour des raisons professionnelles. Ils sont 100.000 à passer la frontière Luxembourgeois, 40.000 en Allemagne.
Schengen c'est aussi une base de données policière, lorsque on a quelque chose à se reprocher en France il ne suffit plus de passer la frontière pour pouvoir continuer à vivre tranquille.
Ce qui implique qu'un migrant qui débarque en Grèce (frontière externe ) y est enregistré, et doit y attendre une décision sur sa demande. Il est donc traçable. Si il devait arriver illégalement en France Schengen dit qu'il sera renvoyer en Grèce.
Très mauvais système évidement, tout serait bien mieux sans Schengen, arrivé en France illégalement il y demanderait l’asile en France. Si débouté il passe en Allemagne, si encore débouté il revient en France puis essaye en Belgique etc ..
Mais en fait "il n'y a qu' à .." c'est tout simple, il n'y a qu'a s'informer.
Donc oublions les réactions affectives et laissons la Grèce se débrouiller seule ,nous n'avons rien à gagner à supporter la Grèce.
A tous ceux qui parlent de "solidarité européenne" je répondrai que cette notion n'est qu'un concept sémantique .
l'Europe nation n'existe pas et n'existera jamais.
La crise actuelle aura un effet sain, en exacerbant les rivalités entre nations européennes elle réveillera les nationalismes ,et alors il sera bon à ce moment d'avoir d'autres bons partenaires.
La Grèce est en tant que « nain » ne cherche pas à intervenir dans les election françaises à travers sa diaspora..
Erdogan a donné directement et publiquement des consignes de vote lors des élections allemandes.
On l’eut évidemment penser que peu importe les élections, ve qui compte c’est que « la nation soit forte ».
Certains iraient jusqu’a penser que les elections affaiblisse las nations.
Qu’en penser vous ?
Un peu primaire comme réaction j’en conviens. C’est ce à quoi mène l’absence d’affect.
Pourquoi ne pas réactualiser des pourparlers et des négociations pour intégrer la Turquie à l'UE, sachant que des liens socio économiques st déjà très forts entre les 2 entités ??
Ça apporterait probablement des perspectives nvelles et enviables en terme de niveau de vie et d'évolution politique au peuple turc de nature à mettre en difficultés le pouvoir hégémonique d'Erdogan et de l'AKP et favoriser une alternance politique bénéfique.
De plus, la géopolitique locale ds cette zone très instable et très convoitée en serait fortement modifiée en rendant la Grèce et la Turquie alliées et non plus concurrentes et dc prêtes à des concessions, tt en renforçant la géostratégie européenne, sous le couvert d'un OTAN renforcé par la réaffirmation forte de la Turquie à son integration.
Une bascule de la Turquie sous cette zone d'influence menaçante serait catastrophique sur cet équilibre géostratégique fragile.
La France, seul bras armé actuel de l'influence extra territoriale de l'UE, par sa capacité à projeter et déployer des forces d'intervention extérieures, n'est pas en mesure car trop impliquée, pour tenter de réduire par la force diplomatique cette escalade à laquelle elle contribue avec l'aval de l'UE.
Il est dc tps pour les US de déployer leur capacité diplomatique pour trouver un compromis acceptable entre les protagonistes et se partager les immenses ressources gazières locales ( qui de plus fournirait une alternative crédible à la dépendance de l'UE au gaz russe) diplomatie qui fit ses preuves ds la crise des Balkans de 91 ou ds la relance des accords de paix au Proche-Orient à la fin des années 70.
Vite un frexit.
Ce ne sont pas des guignols sur le terrain militaire.
Je pense même qu'ils ont la supériorité technologique et la maîtrise des airs et des mers face aux Turcs, qui d'ailleurs le savent bien, ce pourquoi ils aboient tant.
Décidément , on en fini pas de la 1ère guerre mondiale.
Pourvu que les espagnols ne rappellent pas les traités des Pyrénées et les anglais ne ravivent la guerre de cent ans !