Les déclarations concernant une deuxième tranche d'aides d'Etat à Air France se précisent. La semaine dernière, dans l'émission "Quoi qu'il en coûte" de BFM Business, le ministre des Finances Bruno Le Maire a répété que l'Etat serait présent "s'il y avait, à un moment donné, un besoin financier supplémentaire pour Air France". Ce vendredi au Paris Air Forum, un événement organisé par La Tribune, le ministre des Transports, Jean-Baptiste Djebbari, est allé un cran plus loin, en précisant la nature de cette aide, "une recapitalisation", et les objectifs que ce soutien financier doit accompagner sur le plan stratégique pour Air France-KLM.
"L'État a dit qu'il était prêt à monter au capital dans des proportions importantes", a expliqué Jean-Baptiste Djebbari.
Autrement dit, six mois après avoir accordé une aide publique de 7 milliards d'euros sous forme de prêts (3 milliards d'euros de prêt direct de l'Etat, et 4 milliards de prêts bancaires garantis par l'Etat), la deuxième tranche d'aides aujourd'hui en discussion pour la compagnie française se traduira cette fois par une augmentation de la part de l'Etat français dans le capital de la maison-mère, Air France-KLM, bien au-delà des 14,3% qu'il détient aujourd'hui, aux côtés de l'Etat néerlandais (14%).
Renforcement des fonds propres
Le scénario peut paraître évident depuis que le groupe a indiqué, dès l'accord sur les prêts accordés à Air France fin mai, qu'une opération de renforcement des fonds propres serait nécessaire d'ici à la prochaine assemblée générale du groupe, en mai...
Rectification, votre argent et celui de vos enfants, nuance.
Pour les petits salariés d'AF ,comme pour tout le peuple de France et du monde, cette crise est dramatique.
Mais AF n'est pas le centre du monde, elle n'a pas de mission régalienne et ce n'est pas la seule entreprise de France , beaucoup d'entreprises traversent cette épreuve et survivent comme elles le peuvent .
Chez AF, Direction et syndicats sont responsables du marasme car incapables de se réfomer, de s'entendre et de progresser dans l'interet général et dans l'interet de l'entreprise et c'est le contribuable qui doit réparer les dégats d'une telle gestion?
voyez donc les dirigeants d'AF ,Mme Anne Rigail à sa tete, courir les médias pour quémander quelque milliards.
On ne voit pas les petites compagnies françaises concurrentes monopoliser l'espace médiatique ,ni les low cost qui eux aussi traversent la meme crise et survivent comme ils/ elles le peuvent .
L'avenir le dira, et j'espére me tromper mais je crains que tout cet argent soit donné et jeté par les hublots car il ne sera jamais remboursé !
il est scandaleux de preter/donner les yeux fermés ,autant d'argent public sans aucune contrepartie et sans aucune veŕification préalable quant à la capacité de remboursement et curieusement , il n'existe aucun taux d'endettement maxi!
Avec ces aides publiques systématiques le sentiment d'immortalité d'AF est acquis aux yeux des dirigeants et syndicats . Enfin, avec ces aides d'Etat récurrentes ,c'est à se demander si nous sommes dans une économie capitaliste ou dirigée .
En tant qu'ex salarié AF ,J'irais demander moi aussi à nos généreux ministres , donateurs ou preteurs , Mrs Lemaire et Djebarri, de me preter des sous pour survivre et éviter de me faire expulser de mon blême hlm car Mme Rigail et sa brillante équipe de dirigeants aux salaires astronomiques ,m'ont éjecté de la compagnie sans préavis ni indemnité sans aucune pitié en pleine crise sanitaire et economique.
Là aussi c'est l'Etat qui va payer leur désastreuse politique RH.
La luftansa reconverti ses pilotes en pilote de train
Air France lui continue comme si de rien n’était !
Le covid a bon dos , il faut réinvestir dans une nouvelle entité avec de nouvelles têtes et arrêter de dilapider l'argent des contribuables.
Tellement facile de jouer avec l'argent des autres!
Dans le cas général, ils travaillent entre 30 et 70% de leur activité normale, pour le salaire minimum qui est garanti par leur contrat, justement prévu pour couvrir les crises : 8 à 11 000 euros par mois.
En sous activité , ils ne reçoivent que le minimum garanti , ce qui ampute leur salaire de 40 à 50 %
Aucun CDB ne touche 20000€ au mini, même sur A380.
Sur 777, c’est plutôt 12000€.
De plus, TOUS les pilotes volent chaque mois donc ils ne sont pas payés à rester à la maison.
Sympa pour les générations futures.
Observez les prix a la conso, tout devient cher.
Les taxes deguisees, c'est vous qui les payez au quotidien.
Les impots explosent, il y en aura pour tout le monde.
Il faut payer l'argent magique.
La fuite en avant continue, le mur approche et ca va faire tres mal.
Mais les français ne s'en rendent pas compte. .. ou font une déni
macron +2% de bonne opinion
on n'est pas sorti des ronces