
Derrière les transports, le bâtiment reste le premier consommateur d'énergie et le deuxième émetteur de dioxyde de carbone. Ce secteur "doit être complètement décarboné pour que la France atteigne son objectif de neutralité carbone en 2050", alerte le Haut conseil pour le climat. Selon sa présidente Corinne Le Quéré, citée par l'AFP, la "massification" de la rénovation des logements, bâtiments publics et tertiaires, est nécessaire.
Dans le même temps, le gouvernement a présenté ce 24 novembre sa nouvelle réglementation environnementale, baptisée RE 2020, pour les bâtiments neufs. L'objectif est double: "donner la primauté à la sobriété énergétique et à la décarbonation" et les "adapter aux vagues de chaleur". Ces normes, qui devaient s'appliquer dès le 1er janvier 2021, entreront finalement en vigueur le 1er juillet 2021 du fait de la crise sanitaire. Il s'agit, en définitive, de réduire d'au moins 30% la consommation d'énergie au quotidien ainsi que les émissions de gaz à effet de serre tout au long de leur cycle de vie.
L'accent mis sur le bois et les matériaux biosourcés
Les bâtiments qui sortiront de terre demain devront donc consommer le moins...
et ne pas les pénalisé avec des mesures que nous somme seule a appliquer
deja que la 1ere pénalité est que la france verse des cotisation social aux monde entier.
environ 50milliards par an a quoi sert les nouvelles central a gaz que l'on voit fleurir dans toutes les campagnes.
visiblement oublier de nos enarques il est vrais que ceci ne fréquente pas la campagne
et que leur déchets ne sont pas valorisables
les normalisateurs l'ont bien compris et s'appliquent avec constance en à défendre le principe . on va donc continuer à développer des normes de performance ruineuses autant qu'injustifiées et impossibles à respecter pour la majorité des programmes de construction. l'interdiction envisagée d'énergie carbonée dans les programmes de constructions neuves va créer une rente de situation pour les producteurs d'énergies alternatives , beaucoup plus onéreuses et donc propres à décourager un peu plus les investisseurs .
Vive le bois.