Eoliennes, photovoltaïques, hydrogène… Ces filières à bâtir de zéro, ou presque

Après les batteries, l'Etat soutient en priorité le développement de quatre filières industrielles : l'hydrogène, le photovoltaïque, l'éolien et la géothermie. Ces secteurs bénéficient déjà de subventions, de crédits d'impôts et d'autres facilités réglementaires. Est-ce pour autant suffisant afin de surmonter le retard accumulé et les incertitudes qui entourent ces technologies ?
La France va chercher en quelques années à combler des décennies de désindustrialisation.
La France va chercher en quelques années à combler des décennies de désindustrialisation. (Crédits : Vincent Kessler)

Tous les spécialistes en conviennent. L'ambition assignée par le chef de l'Etat aux industries « vertes » est vertigineuse, d'autant plus après des décennies de délocalisations et de pertes de savoir-faire.

« Avec seulement 10% d'industrie dans le PIB, la France part de relativement loin, voire de très loin. Pour se retrouver en queue de peloton, on a raté beaucoup de rendez-vous », confesse Olivier Lluansi, associé chez Pwc Strategy&, en charge des sujets industriels, et auteur du livre « Les néo-industriels » (2023, Les Déviations).

Quand on l'interroge sur la bonne manière de (re)faire du made in France dans l'éolien, le solaire ou l'hydrogène, l'expert de l'industrie met en garde contre les méthodes « toutes faites », tant ces technologies diffèrent entre elles. Des réussites de nos concurrents, il tire tout de même une leçon : « Les industriels préfèrent les commandes aux subventions ». L'hydrogène, le photovoltaïque, l'éolien et la géothermie constituent désormais les priorités gouvernementales. La Tribune fait le point sur l'état de chacune de ces filières.

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Eolienne : le maritime décolle, le terrestre s'effondre

Dans le sillage de l'éolien en mer qui essaime le long du littoral atlantique, une première base industrielle s'est déjà structurée. La France abrite quatre des douze sites de production européens d'éoliennes maritimes, bâties par de grands turbiniers internationaux : General Electric à Saint-Nazaire et Montoir-de-Bretagne, sa filière LM Wind Power à Cherbourg et Siemens Gamesa au Havre. Ces groupes lorgnent les futurs champs éoliens dans la Manche, l'océan Atlantique et la mer Méditerranée. Les contraintes de transport des pâles et des nacelles convainquent les turbiniers à s'établir à proximité des parcs.

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A défaut d'un champion mondial comme le Danois Vestas, le tissu industriel français se compose essentiellement de nombreuses PME et ETI. Celles-ci fournissent les composants des éoliennes. Au total, 80% d'entre elles viennent de secteurs éloignés des renouvelables, comme l'entreprise de BTP Eiffage Métal qui fournira à Siemens les flotteurs de ses éoliennes au large de la Provence.

Loin de tourner à pleine puissance, les usines attendent d'être certaines d'avoir des débouchés.

« On a réussi à avoir quatre usines d'éoliennes offshore en France. Avant d'en accueillir d'autres, il faut leur donner de la visibilité sur les appels d'offres pour s'assurer qu'elles restent », réclame Jérémy Simon, délégué général adjoint du Syndicat des énergies renouvelables (SER).

Face aux milliards de dollars de l'Inflation Reduction Act (IRA) de Joe Biden, ce dernier attend de pied ferme des subventions à l'installation d'éoliennes. Objectif, compenser la différence de coûts de production en France. Les rumeurs de désengagement de General Electric à Saint-Nazaire témoignent des nuages d'incertitudes qui planent au-dessus de l'éolienne made in France.

Le pacte éolien, signé avec l'Etat en mars 2022, garantit à la filière 2 GW de nouveaux parcs par an dès 2025. En retour, la filière promet 40 milliards d'euros d'investissements et 20.000 emplois en 2035, soit trois fois plus qu'aujourd'hui. Pour l'instant, en attendant les 50 parcs éoliens offshore que vise la France, les pouvoirs publics manquent à leurs objectifs éoliens.

Contrairement à l'éolien en mer, qui semble avoir pris son envol, la filière éolienne terrestre, plus ancienne, s'embourbe dans les oppositions locales. 4,5 GW d'éoliennes terrestres attendent encore la signature des préfets pour être déployés. Les dossiers sont ralentis, voire abandonnés par la vive opposition des particuliers, préoccupés par les nuisances des éoliennes à proximité de chez eux ou d'espaces naturels.

« L'éolien terrestre français est de moins en moins attractif en raison du cadre économico-réglementaire. Aucune éolienne terrestre n'est plus fabriquée en France. Elles viennent du Royaume-Uni, d'Allemagne et de Chine. Les industriels chinois sont particulièrement dynamiques et agressifs », s'alarme Jérémy Simon du SER, qui craint pour la sécurité de cet approvisionnement, ô combien stratégique.

Photovoltaïque : sortir de l'ombre chinoise

En moins de deux décennies, l'industrie photovoltaïque chinoise a totalement éclipsé ses concurrents américains et surtout européens. Les panneaux chinois, dopés aux subventions pour être exportés à des prix cassés dans une stratégie - redoutablement efficace - de dumping, déferlent sur le monde. Huit panneaux sur dix proviennent de l'Empire du milieu.

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Dans cet océan de panneaux chinois, quelques îlots de production demeurent en France, espérant sortir la tête de l'eau à la faveur d'un changement de politique industrielle.

« Longtemps, le discours était que la bataille était définitivement perdue. Le discours ambiant a changé depuis la crise Covid qui nous a montré que compter sur les marchés asiatiques sera risqué pour s'approvisionner, à plus forte raison si les industriels chinois donnent la priorité à l'avenir à leur marché national », observe David Gréau, délégué général d'Enerplan, le syndicat de l'énergie solaire.

Aujourd'hui, la France compte quelques PME et ETI producteurs de PV : Voltech dans le Bas-Rhin, Systovi à Carquefou près de Nantes ou DualSun dans l'Ain. « Ce sont des producteurs présents sur certains maillons de la chaîne qui fabriquent un petit volume au regard de la demande française et européenne. Même si les volumes augmentent, le PV tricolore représente autour de 1% du marché », nuance David Gréau. Vendus 15% à 25% plus chers que leurs concurrents, les panneaux tricolores trouvent un marché de niche chez les particuliers et les collectivités qui consentent à payer plus pour acheter français. Voilà pour l'état de la filière après vingt ans de marasme.

D'autres usines doivent maintenant sortir de terre au moment où l'Etat a pour ambition de décupler les installations solaires d'ici à 2050 et que le reste du monde se couvre de panneaux. A Fos-sur-Mer, à proximité du grand port de Marseille, la startup lyonnaise Carbone implante une giga-usine de 60 hectares pour 1,5 milliard d'euros. Elle devrait générer 3.000 emplois.

Loin des rivages ensoleillés de la Méditerranée, l'avenir du PV français s'écrit aussi à Sarreguemines, en Moselle. Un premier projet d'usine porté par l'entreprise Rec Solar sous pavillon indien a été abandonné en décembre par l'entreprise, aimantée par les promesses de subvention de l'IRA aux Etats-Unis, où son futur site sera construit. Ce désistement avait renvoyé le temps de quelques semaines la filière à ses doutes quant à son attractivité... avant que le grenoblois Holosolis ne le reprenne en mai pour investir 700 millions d'euros.

Jusqu'à 10 GW de panneaux solaires sortiront en cumulé des chaînes de Fos et Sarreguemines. Signe d'ambitions encore très modestes, la filière ne se fixe pas d'objectifs de production. Comme leur collège du renouvelable, ses représentants se contentent de réclamer des « perspectives claires de marché, assorties de quotas de production locale et européenne », dixit David Gréau d'Enerplan. En somme, des contrats plus que des subventions. David Gréau considère que la loi sur les énergies vertes colle bien à ses attentes, notamment avec des crédits d'impôts de 20 à 40%, couvrant 20 à 45% des investissements par site. « Fos et Sarreguemines ont vu leur jour avec des promesses de crédit d'impôt », rappelle-t-il à l'adresse du gouvernement, comme un exemple à suivre.

Hydrogène : des brevets en attendant des débouchés

Première brique du chantier : produire de l'hydrogène dit « vert » à partir d'énergie décarbonée. « La technologie reine est l'électrolyse. On a quatre usines en construction en France : McPhy à Belfort-Montbéliard, John Cockerill à Hansbach, Elogen à Vendôme et Genvia à Béziers », explique Philippe Boucly, président de France Hydrogène. Le procédé consiste à casser la molécule d'eau pour n'en garder que les atomes d'hydrogène et rejeter l'oxygène... à grand renfort d'électricité.

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Les sites de production d'hydrogène doivent donc se brancher sur des installations éoliennes, solaires ou nucléaires à proximité. 1,3 GW supplémentaire d'électricité sera nécessaire à cet effet d'ici à 2030 pour assurer le développement de l'hydrogène. Vient ensuite l'étape du stockage de l'hydrogène. Des réservoirs à hydrogène sortent déjà de l'usine Faurecia dans le Doubs et du site Plastic Omnium à Compiègne.

L'hydrogène vert apparaît pour l'instant comme un moyen d'alléger le bilan carbone des grands industriels, chimie et sidérurgie en tête. Il pourra se substituer à l'hydrogène « gris », formé à 90% à partir d'énergies fossiles, qui occupe une place centrale dans les processus de fabrication industriels, très gourmand en gaz. Air Liquide, leader historique du marché de l'hydrogène, bâtit à Port-Jérôme en Normandie le plus grand électrolyseur au monde, d'une capacité de 200 MW.

France Hydrogène appelle néanmoins les pouvoirs publics à ne pas voir dans l'hydrogène un simple moyen de décarboner l'industrie, mais de voir ses applications dans la mobilité.

« L'Etat a injecté dix milliards d'euros de financement d'ici à 2030. Ce n'est pas rien. Mais il faut voir que la France a des acteurs sur l'ensemble de la chaîne de l'hydrogène. Sur les 41 projets importants européens d'intérêt commun (PIECC), dix sont français : dans l'électrolyse et les réservoirs, mais aussi dans la mobilité avec la filiale de Renault Hyvia ou les trains à hydrogène d'Alstom », insiste Philippe Boucly de France Hydrogène.

Dans les transports, l'hydrogène pourrait être - le conditionnel s'impose - une alternative à l'électrique pour déplacer des engins de grande taille, impossible à électrifier parce qu'ils emporteraient une batterie trop massive. La technologie de pile à combustible est censée produire de l'électricité à partir d'eau et d'hydrogène décarboné. En somme, produire de l'hydrogène fait en utilisant de l'électricité... pour regénérer in fine de l'électricité. L'efficacité d'une telle démarche soulève encore des interrogations, notamment en termes de contraintes techniques, de l'importance des infrastructures et de la quantité d'énergie nécessaires.

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« La filière n'est pas encore mature et aura besoin de temps pour trouver le bon design d'électrolyseurs, de réservoirs, trouver la bonne dimension d'usine », appuie Olivier Lluansi.

« Le changement d'échelle sera considérable », admet Philippe Boucly de France Hydrogène.

La tâche s'annonce en effet herculéenne, avec l'ambition d'arriver à « 8000 à 10.000 MW d'électrolyse d'ici à 2030, contre 8 actuellement, et 300.000 véhicules à hydrogène contre 400 aujourd'hui ». Derrière l'Allemagne, la France se place comme le deuxième pays européen en nombre de brevets déposés dans l'hydrogène, en particulier le CEA, l'IFPEN, le CNRS et Air Liquide. De quoi donner à la filière des motifs d'espoir, mais pas encore des certitudes.

La géothermie : une niche à creuser

La géothermie méritait-elle de figurer aux côtés des batteries, des éoliennes ou du photovoltaïque dans la liste établie par l'Elysée des secteurs prioritaires de réindustrialisation ? « La géothermie est autant une activité d'énergie que d'industrie », reconnaît Robin Apolit, responsable de la géothermie au sein du Syndicat des énergies renouvelables.

Jusqu'ici peu exploité, son potentiel mérite bien d'être creusé, ne fournissant pour l'instant que 1% de la chaleur en France, et 3% de la chaleur renouvelable. A écouter les experts du secteur, la géothermie de surface, qui consiste à utiliser la chaleur enfouie à moins de 200 mètres du sol, pourrait se démocratiser massivement dans les prochaines années. Il est possible d'installer des pompes à chaleur (PAC) de surface sur 95% du territoire français, capables de chauffer une maison, un immeuble ou des bureaux d'entreprise.

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Ces pompes à chaleur individuelles de surface représentent encore « un marché de niche, de petits foreurs locaux, de PME » qui installe les PAC selon Emmanuel Boonne, directeur technique et grands projets de Dalkia, filiale d'EDF spécialisée dans l'efficacité énergétique. Il s'en écoule 3.000 unités chaque année, soit deux fois moins qu'il y a dix ans. Alors que le coût d'une PAC, entre 10.000 et 15.000 euros, reste un obstacle pour les particuliers, le plan géothermie du gouvernement met sur la table une aide de 5.000 euros à l'achat accessible à tous les revenus. Objectif, doubler le nombre de pompes à chaleur chez les particuliers en 2025.

« Le plan géothermie a détoné dans la profession. Toute la filière a commencé à se mettre en ordre de bataille pour réussir à suivre la cadence », témoigne Sylvain Florian Rémond, directeur du pôle Smart Building chez Dalkia, qui anticipe une explosion des volumes dans les prochaines années de projets de PAC géothermique de surface, à condition que la filière change de dimension.

Du côté de la production, les chaînes de production existent déjà. Les Français Atlantic et De Dietrich fabriquent des pompes à chaleur dans leurs usines de l'Hexagone, tout comme les groupes étrangers Carrier et Bosch via leurs filiales françaises CIAT et ELM Leblanc.

« Ce sont des technologies matures, éprouvées. Il y aura de l'innovation en termes de régime de température, de fluides puissance, d'efficience mais il n'y a pas de rupture technologique majeure à prévoir à court terme sur les pompes à chaleur », observe, confiant, Emmanuel Boonne de Dalkia

Selon lui, les pompes à chaleur devraient avoir un usage de plus en plus collectif, dans l'habitat, le tertiaire ou les réseaux de chaleur urbains. Au-delà de 300 mètres de profondeur se développe aussi la géothermie profonde. Elle nécessite de lourdes capacités de forage, plus complexes et plus rares. Cette géothermie profonde impose en effet de nombreux travaux exploratoires, avec des usages possibles dans le chauffage de grandes sites.

Les 78 installations de géothermie profondes existantes en France servent pour l'essentiel à des réseaux de chaleur urbains. L'eau géothermale prélevée dans les profondeurs de la Terre présente également du... lithium dans sa composition. En Alsace, la centrale de Soultz-les-Bains combine ainsi les activités de géothermie et d'extraction de lithium. A l'aube d'une révolution industrielle gourmande en minerais, le sous-sol français recèle peut-être d'inattendus trésors.

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Commentaires 14
à écrit le 20/07/2023 à 16:45
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Depuis quelques mois, les industriels européens de l'éolien, dont Vestas, sont en grande difficulté face à leurs concurrents chinois, tout comme il y a 10 ans ceux du photovoltaïque, disparus depuis. Est-ce bien le moment de se lancer dans ces filièr...

à écrit le 20/07/2023 à 9:31
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Pas d'énergies renouvelables sans puissantes centrales pilotables et je crains que dans une trentaine d'années avec la fermeture de nos centrales Nuc la France ne manque d'électricité.

le 20/07/2023 à 11:00
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Les sources d'énergie pilotables appartiennent au passé. Le développement de l'internet et de la téléphonie mobile ont profondément changé la notion de réseau. Une centrale nucléaire "pilotable" a des coûts identiques qu'elle produise 900 ou 450 MW e...

le 20/07/2023 à 11:26
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@Officer Fred Ce discours n’est pas fondé. C’est un discours enthousiaste qui cherche à s’auto convaincre, mais qui n’est pas fondé. Le besoin d’énergie pilotable n’a pas changé d’un iota, les ENR n’y répondent pas. Sur la question des coûts, ils...

le 20/07/2023 à 12:52
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@Math Je m'avoue amusé par le "discours enthousiaste qui s'auto convainc"... Péremptoire sans être méchant, un bel effort de langage. Mais il n'en est rien. La France fait des choix solitaires en contradiction avec ses voisins, (fournisseurs et clien...

le 20/07/2023 à 16:48
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@OfficierFred - En ce cas, essayez d'expliquer pourquoi l'Allemagne, champion de l'éolien et du solaire, garde assez de centrales pilotables pour couvrir tous ses besoins d'électricité, y compris de pointe, en l'absence de vent et de soleil. D'ailleu...

le 20/07/2023 à 18:08
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@officer Fred Pourtant, l’éolien et le photovoltaïque fonctionnent avec le Gaz et le charbon. Comment justifiez vous les besoins en GNL Allemands et la réouverture des mines de charbon? Nous, on en a pas. Concernant les coûts du nucléaire, ils ...

le 20/07/2023 à 19:18
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@George Je n'ai pas vocation à détricoter toute la propagande pro nucléaire martelée par 200 000 retraités du secteur et un nombre indéterminé de trolls étrangers dont la mission est de promouvoir la vente de combustible nucléaire, semer la zizanie e...

à écrit le 19/07/2023 à 19:33
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Pourquoi les panneaux ne peuvent pas être mis au dessus de 1m80 ? Pourquoi pas 2m ou 2m40 ? On sent bien cette volonté de mettre des bâtons dans les roues du particulier.

à écrit le 19/07/2023 à 12:52
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On rêve au "toujours plus" ! Mais pas au "faire autrement" ! Tout changer pour ne rien changer ! Continuer à pédaler dans la semoule pour avoir l'air d'avancer ! ;-)

à écrit le 19/07/2023 à 12:43
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Et en attendant le banquier des français fait tomber le bouclier tarifaire de l'électricité depuis la nationalisation d'EDF. Pas le choix, car il fallait bien d'abord refinancer la filière nucléaire (l'arbitrage entre le borgne et l'aveugle). EDF a é...

à écrit le 19/07/2023 à 12:19
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Un fros frein aux installations solaires de particuliers : La déclaration obligatoire des revenus de revente d'électricité au titre de Bénéfice Non Commercial lorsque l'installation dépasse 3 kWc. 3 kW de panneau ne produisent pas du tout la même cho...

le 19/07/2023 à 12:58
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Oui, pourquoi pas un forfait tout court? La déclaration obligatoire des revenus de revente d'électricité au titre de Bénéfice Non Commercial lorsque l'installation dépasse 3 kWc est en effet vexatoire. Et que dire des des boucles locales d'autocons...

à écrit le 19/07/2023 à 11:44
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Partir de zéro montre aussi l'incohérence dans des sources d'énergies qui nécessite de la continuité dans tous les sens. A l'image de la catastrophe climatique a venir, tant que cela ne sera pas assez visible, rien ne se passera ! pas de par...

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