Le secteur a généré 3,4% du PIB des treize pays les plus développés en 2009, selon l'étude commandée à Mc...
Fort de son monopole national dans les sels de quinine employés contre la fièvre et le paludisme, la société africaine de 2.000 personnes prospère à l'étranger.
Cette opération faciliterait le développement sur les marchés asiatiques présentant un potentiel important en épargne.
Le groupe du milliardaire Gautam Adani profite des programmes de privatisation et dépense 2,2 milliards d'euros pour des bassins miniers dans le Centre-Queensland.
Ses revenus augmentent plus vite que ceux de ses grands concurrents nationaux. Son directeur général, Vineet Nayar, table sur un maintien de ses marges malgré l'inflation des salaires dans son métier.
La bataille pour la succession de DSK s'organise. Si l'Europe n'a pas renoncé à récupérer le poste, l'Inde, la Turquie, Singapour ou l'Afrique du Sud sont aussi en course.
Cette opération faciliterait le développement sur les marchés asiatiques présentant un potentiel important en épargne.
Un membre important du gouvernement brésilien interrogé par l'agence Reuters assure que son pays préfèrerait que le prochain directeur général du Fonds monétaire international provienne d'un grand pays émergent, mais il ne prévoit pas de fa...
Alors que Dominique Strauss-Kahn devrait quitter le FMI, qui continue "à suivre l'évolution de la situation", les guerres de succession sont déjà ouvertes. L'Europe, sauf le Royaume-Uni, aimerait faire perdurer la tradition et que le poste...
La presse indienne, qui s'insurge régulièrement de la mainmise européenne sur le FMI, présentait ce lundi matin Montek Singh Ahluwalia comme l'un des prétendants les plus crédibles à la succession de DSK.
La presse indienne, qui s'insurge régulièrement de la mainmise européenne sur le FMI, présentait ce lundi matin Montek Singh Ahluwalia comme l'un des prétendants les plus crédibles à la succession de DSK.
Bruxelles veut raboter le système des préférences généralisées, qui permet à de nombreux pays d'exporter vers l'Union européenne sans payer de droits de douane. Motif : certains pays bénéficiaires du système, comme la Chine, l'Inde ou le Br...
Selon Ernst & Young, les projets d'investissements ont bondi de 87 % sur le continent noir entre 2003 et 2010.
Après avoir affiché un résultat en hausse au premier trimestre porté notamment par l'Inde, la Thaïlande et le Maroc, Ciments Français s'attend à une amélioration de ses résultats pour l'ensemble de l'année.
Les ventes du groupe de vins et de spiritueux au troisième trimestre de son exercice 2011-2011 soulignent des performances bien plus solides dans les pays émergents que dans ses marchés matures. Aucune acquisition n'est envisagée.
Au premier trimestre, Legrand a dégagé une hausse de près de 14% de son activité dont un tiers provient des pays émergents en 2011.
Le spécialiste des infrastructures d'énergie et de transport Alstom a publié ce mercredi des résultats 2010-2011 en forte baisse, en particulier à cause de ses activités dans l'énergie. Si le groupe confirme ses objectifs pour l'exercice en...
La filiale d'Allianz enregistre un bénéfice net en hausse de 16,9 % en 2010.
Le métal blanc a chuté, après un envol impressionnant de 46 % cette année.
Entré en fonctions en février dernier, le nouveau président de l'opérateur de télécoms indien veut accélérer sa stratégie d'internationalisation.
En mars, la hausse des prix a atteint 4,7 % sur un an, au plus-haut depuis trois ans. Les banques centrales veillent.
L'indice MSCI Emerging Markets a regagné son niveau de juin 2008. Le FMI craint l'afflux de capitaux vers l'Asie.
Le Rafale de Dassault et le Typhoon d'Eurofighter sont en finale pour le contrat de 126 avions de combat. EADS est actionnaire des deux constructeurs à 46 %.
L'indice MSCI dédié à ces régions a retrouvé son niveau de la fin mai 2008. Et les flux de capitaux dédiés aux fonds émergents repartent à la hausse.
Le Rafale de Dassault et le Typhoon d'Eurofighter sont en finale pour le contrat de 126 avions de combat. EADS est actionnaire des deux constructeurs à 46%.
Par Gerard Lyons et Thomas Costerg, économistes chez Standard Chartered Bank.
