Les lourdes conséquences de la chute de l'industrie auto française d'un point de vue macro...
La baisse d'activité des constructeurs automobiles en France depuis la fin 2007 explique à elle seule un peu plus du quart du recul de la production industrielle. Et donc une perte d'un point du PIB.
Avec un prix moyen de 111,65 dollars en 2012, le Brent boucle sa 4ème année en hausse, dépassant de peu son record 2011 établi à 110,91 dollars. Une fois encore les oracles s'accordent pour prédire une baisse du prix du baril pour l'an proc...
Malgré un coût du travail jugé trop élevé en France, les exportations tricolores progressent faisant du commerce extérieur le principal pilier de la croissance. Qui l'eut cru ?
Entre 1999 et 2010, la population française est passée de 60 plus de 64 millions d'habitants. Certaines régions ont attiré tout particulièrement les Français. Une seule a fait exception : la Champagne-Ardenne !
Depuis de nombreuses semaines, les Cassandre de tous bords le clament haut et fort : l'exercice 2013 sera catastrophique pour l'économie française. Est-ce si certain ?
Au cours du troisième trimestre, le produit intérieur brut français devrait avoir augmenté de 0,1% selon l'Insee. Dans sa précédente estimation, l'institut de statistiques avait avancé le chiffre de 0,2%.
En décembre, l'indicateur de confiance des ménages gagne deux points, d'après les statistiques de l'Insee. Cet indice (86 points) - revu à la hausse pour la première fois depuis le mois de mai dernier- reste toutefois inférieur à sa moyenne...
C'est entendu, le millésime 2012 ne fut pas vraiment flamboyant pour l'économie française. La récession a été évitée de peu, le chômage ne cesse de grimper et les défaillances d'entreprises se maintiennent à un niveau élevé. Néanmoins, quel...
Amorcé au deuxième trimestre, le recul du prix du baril de brut pourrait atteindre les 105 dollars au premier semestre 2013, le marché étant largement excédentaire. Il oscille actuellement entre 108 et 112 dollars. La demande mondiale resta...
La récente note de conjoncture produite par l'Insee avance les nombreuses raisons structurelles à la perte de vitesse de l'industrie tricolore. La concurrence internationale n'explique pas tout.
Le Premier ministre Jean-Marc Ayrault affirme que la France maintiendra ses prévisions de croissance (+0,8%) et de déficit public (3% du PIB) pour l'année 2013.
Les baisses de prix des télécommunications ont fait refluer l'inflation à hauteur de 0,3 point, selon l'Insee.
Le climat des affaires s'est à peine réchauffé en décembre selon l'enquête de conjoncture réalisée par l'Insee. L'indicateur se situe toujours très loin de sa moyenne de longue période.
Malgré une prévision de croissance de seulement +0,1% pour les deux premiers trimestres de 2013, le président de la République réitère sa promesse d'une inflexion de la courbe du chômage dans un an.
L'Insee prévoit une stagnation de l'économie au premier semestre 2013. La prévision de Bercy (+0,8% de croissance en 2013) ne pourrait être atteinte qu'avec un second semestre de surchauffe économique, largement improbable
L'Insee estime que les hausses d'impôt pourraient ne pas affecter outre mesure l'économie en 2013. Les ménages puiseraient dans leur épargne pour maintenir leurs dépenses
Selon la dernière note de conjoncture de l'Insee, l'emploi marchand devrait encore perdre 75.000 postes au premier semestre 2013, après 86.000 pertes sur l'ensemble de l'année 2012. Le taux de chômage, lui, grimperait de 9,9% à la fin 2012...
L'insee est catégorique : l'économie française va commencer l'année 2013 sans aucun élan de croissance et elle continuera à détruire des emplois au premier semestre. Toutefois, l'Institut écarte l'hypothèse d'une récession
Les prévisions de l'Insee refont surgir le spectre des années 1994 et 1997 où le chômage avait atteint un taux "record" de 10,8%.
François Bourguignon, ancien économiste en chef de la Banque mondiale, dirigera le groupe d'experts chargé de conseiller le gouvernement sur l'évolution du smic
Les créations d'entreprises ont chuté de 12,1% entre octobre et novembre selon l'Insee, essentiellement du fait de l'effondrement du nombre des nouvelles auto-entreprises. L'avenir du dispositif est incertain.
Le principal syndicat patronal du bâtiment craint une forte contraction de l'activité dans son secteur l'an prochain.