BlogManutan sur chariot élévateur
En hausse de 15% depuis le début de l'année, l'action est soutenue par la bonne santé des activités historiques du groupe. Reste maintenant à huiler la machine des acquisitions.
En hausse de 15% depuis le début de l'année, l'action est soutenue par la bonne santé des activités historiques du groupe. Reste maintenant à huiler la machine des acquisitions.
Le groupe paraît bien engagé pour s'extirper d'une longue phase de turbulences. Notamment parce que la direction est enfin décidée à prendre le problème de la dette à bras le corps.
Repositionnement autour de ses deux marques phares, plan de réduction de coûts...Le groupe fait peau neuve en attendant la reprise.
A l'image des résultats annuels de la marque au tartan, l'industrie de luxe semble bel et bien s'être extirpée d'une période difficile. La faiblesse de l'euro constitue un vecteur de croissance supplémentaire.
Après la "belle décennie" (1997-2007), la Grande-Bretagne fait face à une montagne de dette -de l'Etat et des ménages- et à une zone euro -où elle réalise 60% de ses exportations- en berne. Le début d'une décennie perdue ?
La marque au losange s'enfonce en bourse. Le constructeur plus endetté que les autres fait les frais, comme après la crise post-Lehman, de la défiance des investisseurs pour les profils trop endettés.
Depuis la chute de Lehman Brothers, le marché semble avoir prix l'habitude de noircir le tableau à la moindre incertitude. D'ailleurs, bien qu'ayant franchi un nouveau point bas annuel, le CAC40 n'a peut-être pas fini d'intégrer le scénar...
La start-up incubée à Sciences po vend une solution d'accès wi-fi et de location de "netbooks" aux commerçants et hôtels.
Avec le vote au Sénat américain, la réglementation financière prend tournure aux États-Unis. Londres y voit des prémices inquiétantes.
Le groupe vient d'approuver l'offre de 1,1 milliard d'euros, soit 1,4 milliard de dollars, d'Honeywell. Au-delà du prix de la tranquillité, celui-ci paie celui des synergies et de la rareté.
Le groupe reste seul en lice pour le contrat des eaux en Ile-de-France. Le titre en profite mollement en bourse. Il faut dire qu'au terme de cet appel d'offre, Veolia devrait sûrement faire des concessions sur ses prix et revoir ses marges...
Comme chez un dentiste, les Britanniques ont la bouche ouverte, et ils savent que ça va faire mal. Le bruit strident de la roulette des coupes budgétaires se rapproche... Bzzzzzzzzzzzzzzziiiiiiiiiiiiiiii.
Très entouré depuis une semaine, le titre s'enflamme sur des perspectives d'OPA à un prix supposé généreux. Une bataille boursière entre fonds d'investissement et industriels pointe à l'horizon.
En quête de parts de marché à l'étranger, la SSII préfère racheter des entités déficitaires à prix bradé plutôt que de pénétrer des segments de niche à plein tarif. Quitte à déplaire au marché...
Alors que les indices européens dévissaient fortement vendredi, le titre du géant de l'aéronautique s'adjugeait, à contre-courant des marchés, plus de 5 % et poursuit ce matin sur sa lancée. La chute de l'euro n'est pas un mal pour tout le...
Les marchés britanniques ont accueilli avec soulagement George Osborne et Vince Cable, les nouveaux chancelier de l'échiquier et ministre des entreprises. Elle pourrait le regretter...
Seul grand indice européen dans le vert depuis début janvier, le DAX se maintient à des niveaux très proches de ceux précédant la chute de Lehman Brothers. Le bond de 18% de Siemens au cours des cinq derniers mois y est pour beaucoup.
Plus que jamais, la relique barbare profite des craintes de dépréciation monétaire induite par le piètre état des finances publiques des pays occidentaux
Un guichet unique pour voir toute l'offre disponible en vidéo à la demande sur Internet.
A David Cameron premier ministre, les conservateurs reviennent à Downing Street. Mais ce n'est pas le retour des thatchériens.
Le violent décrochage boursier de Nicox tend à montrer que la Bourse n'est pas la meilleure structure de financement pour les jeunes sociétés de biotechnologies.
Après l'enthousiasme excessif de lundi, les marchés redescendent sur terre aujourd'hui. Ils ont bien raison. Le passé nous éclaire sur le fait qu'après sa plus forte hausse historique le 13 octobre 2008, le CAC 40 n'a atteint son point bas...
En démissionnant, Gordon Brown espère sauver le parti travailliste. Mais la manoeuvre souligne surtout à quel point le "New Labour" est avant tout une machine de pouvoir.
L'indice parisien s'est repris lundi de 9,66 % après l'annonce d'un accord européen d'envergure. Il s'agit de la troisième plus forte hausse de son histoire après celle de 10,09 % de novembre 2008 et surtout celle de 11,18 % en octobre de l...
Les indices américains ont vivement décroché jeudi soir. Sur une erreur dont on ne connaît pas encore la nature
Jusqu'au bout, jusqu'au dernier espoir, Gordon Brown se battra. Impopulaire, perdant presque 100 sièges à la chambre des communes, il refuse de lâcher. Il pourrait ne pas y avoir de vainqueur clair d'ici plusieurs jours.
L'indice parisien termine en baisse de 2,26 %, le recul depuis le début de la semaine atteignant 7%. A 3.556,11 points, celui-ci fait un bond de huit mois en arrière.
Les conservateurs semblent favoris, selon les derniers sondages. Mais que ce soit eux ou un autre parti, il leur faudra reconstruire le système politique, complètement discrédité.
Selon le cabinet ADP, le secteur privé américain a crée 32.000 emplois en avril. La vraie croissance - celle qui crée des emplois - semble bien repartie outre-Atlantique. Pas étonnant que les investisseurs préfèrent les places américaines à...
Le décapant humour britannique se confirme à chaque élection. Les partis les plus fantaisistes, et les plus drôles, se présentent.
BHP et Rio Tinto poursuivent leur chute en bourse après l'annonce la semaine passée d'un projet de taxe sur les bénéfices des groupes miniers australiens.
Cette start-up française veut devenir un "secrétaire familial", en vendant des services à côté de son coffre-fort numérique.
Le titre qui perd encore aujourd'hui près de 1,5 %, recule de plus de 12 % en bourse depuis le 20 avril. Les dégâts causés par la catastrophe se chiffrent en milliards de dollars.
Dernière ligne droite avant les élections britanniques ce jeudi. A trois jours du scrutin, les conservateurs ont retrouvé une longueur d'avance. Mais tout reste possible.