Ce projet de pipeline, évalué à 7,4 milliards d'euros et auquel participe GDF Suez, doit permettre de livrer le gaz russe à l'Europe occidentale sans passer par l'Ukraine.
Invité ce mardi matin sur RTL, le PDG de Renault s'est félicité de la progression des parts de marché de son groupe en France tout en signalant que les immatriculations de février traduisent avant tout les commandes passés avant le 31 décem...
Le bénéfice du groupe russo-britannique n'a baissé que de 6% l'an dernier malgré un plongeon des ventes de 33%.
Le brasseur danois porte désormais à au moins 1,5 milliard d'euros son bénéfice opérationnel pour 2009 grâce à une hausse des volumes en Russie.
Renault détient actuellement 25% du constructeur de l'emblématique Lada, très endetté et confronté à une chute de ses ventes.
Le PDG, Carlos Ghosn, se dit confiant quant à l'avenir d'Avtovaz, dont Renault détient 25%. Toutefois, aucune proposition concrète de soutien n'est encore apportée malgré les pressions du gouvernement russe.
Le groupe français est pressé par le gouvernement russe, qui détient 25% d'Avtovaz au même titre que Renault, d'apporter son soutien au constructeur en difficultés. Une réunion est programmée mi-novembre entre les trois parties.
D'après la presse russe, le groupe français pourrait participer au projet South Stream, le gazoduc qui reliera la Russie à l'Europe. Tandis que les Echos évoquent un retrait du français du dossier Constellation. Les marchés apprécient.
D'après la presse russe, le groupe français pourrait obtenir au moins 10% d'actions dans le projet de construction du gazoduc reliant la Russie à l'Europe. Les marchés appércient.
D'après la presse russe, le groupe français pourrait obtenir au moins 10% d'actions dans le projet de construction du gazoduc reliant la Russie à l'Europe.
Le gouvernement russe s'attend à une chute du produit intérieur brut (PIB) du pays de 10,2% au premier semestre 2009, puis de 6,8% au second.
Le constructeur automobile russe Avtovaz, dont l'alliance Renault Nissan détient 25% du capital, a annoncé jeudi être tombé dans le rouge en 2008, avec une perte nette de 24,7 milliards de roubles (563 millions d'euros) .
Le produit intérieur brut russe a plongé de 7% sur les trois premiers de l'année. Pour 2009, le gouvernement continue de tabler sur une contraction de 2,2% du PIB.
La Banque Mondiale prévoit une chute d'au moins 4,5% du produit intérieur russe en 2009 et suggère aux autorités d'aider davantage la population afin d'atténuer l'impact social de la crise, dans un rapport publié ce lundi à Moscou.
