Hausse modérée à la Bourse de Tokyo
La Bourse de Tokyo a terminé la séance de ce mecredi en hausse très modérée de 0,18%,
La Bourse de Tokyo a terminé la séance de ce mecredi en hausse très modérée de 0,18%,
Le premier constructeur américain n'a pas encore jeté l'éponge, d'après son PDG, Fritz Henderson. Les négociations se poursuivent avec les créanciers et les syndicats afin d'éviter le dépôt de bilan.
Les autorités américaines envisageraient la possibilité de convertir une partie des 13,4 milliards de dollars d'aide fédérale accordée au constructeur automobile en action du groupe, croit savoir ce mercredi le Wall Street Journal.
Par David Spector, professeur associé à l'Ecole d'Economie de Paris.
Alors que Berlin souhaite l'autonomisation d'Opel par rapport à General Motors, an grande difficulté, un responsable du constructeur américain évoque des discussions avec des investisseurs et des fonds souverains.
Washington impose au constructeur une alliance avec l'italien avant d'accepter de lui venir en aide. Un accord entre les deux groupes semble proche.
A trois jours du G20 de Londres, Peter Mandelson, ministre britannique et ancien commissaire européen chargé du Commerce, tire à son tour la sonnette d'alarme contre les tentations protectionnistes. Selon lui, la crise n'a pas discrédité la...
Le gouvernement va dévoiler ce lundi après-midi son décret anti-bonus. la question de la rémunération des dirigeants d'entreprise et de son encadrement continue d'agiter la classe politique tout autant que celles des syndicats et du patrona...
Le président Barack Obama se déclare prêt à mettre plus d'argent pour sauver l'industrie automobile américaine de la faillite. Il réclame en retour une restructuration "douloureuse" et "drastique", à l'approche d'une échéance capitale.
Semaine bien calme à la Bourse de Paris. Hormis une belle hausse lundi après la présentation du nouveau plan de relance du secteur financier américain, l'activité a été limitée sur les marchés parisiens, comme le montrent les volumes d'écha...
Les 21,6 milliards de dollars que les deux constructeurs automobiles demandent à l'Etat pourraient ne pas être suffisants.
La Chambre des représentants à mis sa menace à exécution : les primes accordées aux salariés des groupes ayant reçu des aides plubliques seront imposées à hauteur de 90%.
Le premier constructeur américain ne réclamera pas les deux millions de dollars demandés aux autorités américaines pour le mois de mars.
Dans un contexte de crise, les deux filiales européennes du constructeur automobile américain luttent pour leur survie. Opel plaide pour une aide auprès de Berlin, quand Saab se cherche un nouveau repreneur.
Barack Obama a présenté son plan destiné à soutenir le marché immobilier et à limiter les saisies de logements. Il devrait faciliter le refinancement des dettes détenues par la classe moyenne et permettre aux plus vulnérables de rester dans...
Par Hervé Gourio, délégué général d'entreprise et Progrès.
Les deux constructeurs automobiles américains ont demandé à eux deux 22 milliards de dollars d'aides à l'Etat américain, lors de la présentation de leur plan de restructuration mardi. Ils ont également annoncé avoir conclu un accord avec le...
Le troisième constructeur américain affiche des objectifs ambitieux de développement pour se remettre à flot. Mais pour cela, il a besoin de 5 milliards de dollars d'aides publiques, soit 2 milliards de plus que prévu.
Le plan de restructuration de GM prévoit 47.000 suppressions d'emplois en 2009. Le constructeur américain prend des mesures extrêmes pour éviter la faillite et estime l'aide publique nécessaire à 30 milliards de dollars.
L'idée d'un administrateur fédéral ("tsar") chargé de chapeauter la restructuration du secteur automobile ne devrait pas être retenue par le président Barack Obama, selon la presse américaine.
L'annonce du constructeur automobile américain s'inscrit dans le plan de restructuration soumis au Congrès le 2 décembre.
La première banque américain souhaite rembourser dans les trois ans les 45 milliards de dollars d'aides publiques. Son PDG assure qu'elle n'a plus besoin de capitaux et exclut une nationalisation.