Accord sur la Grèce à l'Eurogroupe sur un financement de quatre mois
La Grèce a obtenu un financement pour les 4 mois à venir. Elle pourra constituer son propre programme de réformes, mais la surveillance reste étroite.
La Grèce a obtenu un financement pour les 4 mois à venir. Elle pourra constituer son propre programme de réformes, mais la surveillance reste étroite.
Le refus par Berlin des propositions grecques soulève cette question : pourquoi ? Revue des objectifs du gouvernement allemand dans cette partie de bras de fer...
Alors que la situation est toujours bloquée entre la Grèce et ses créanciers, la réunion de l'Eurogroupe de ce jeudi s'annonce décisive. Quel est l'état d'esprit des différents acteurs ?
Le gouvernement grec a cédé beaucoup de terrain dans sa demande de financement de six mois. Mais l'Allemagne veut pousser son avantage.
Le fonds de liquidités d'urgence (ELA) pour les banques grecques va être renforcé à 68,3 milliards d'euros, contre 65 milliards précédemment. La BCE accès en partie seulement à la demande d'Athènes qui demandait une hausse de 5 milliards.
Les objectifs d'excédents primaires sont une pomme de discorde centrale entre les Grecs et les Européens. Car l'enjeu est bien plus large.
Le gouvernement grec a révélé ce qu'avaient été ses propositions à l'Eurogroupe du 11 février et qui fondera sans doute ses propositions de ce mercredi.
Pour être en position de négocier avec le reste de l'Europe, le nouveau gouvernement grec doit pouvoir agiter la menace d'une sortie du pays de la zone euro. Mais serait-elle profitable à la Grèce ? Par Dani Rodrik, professeur en sciences s...
Athènes devrait proposer d'accepter un prêt moyennant des conditions aménagées au programme du gouvernement. Une proposition éloignée des demandes de l'Eurogroupe.
A l'Eurogroupe, la ligne dure incarnée par Wolfgang Schäuble l'a emporté. La question est désormais de savoir si Angela Merkel soutiendra cette ligne jusqu'au bout.
A Bruxelles, Grecs et Européens n'ont pu se mettre d'accord. L'Eurogroupe demande la poursuite de l'ancien programme, ne veut plus négocier et donne une semaine aux Grecs pour accepter. Athènes refuse de renouveler les conditions et les but...
Présentée comme la réunion de la dernière chance, l'eurogroupe se réunit aujourd'hui avec un défi difficile à relever. Celui de trouver un accord sur la dette grecque. Les ministres des Finances de la zone euro auront donc la lourde tâche d...
Les pays jadis "sous programme" montrent beaucoup de fermeté à l'égard de la Grèce. Seulement au nom de la morale ?
Athènes va tenter lundi d'arracher un accord sur un nouveau programme de financement lors de la réunion des ministres des Finances de la zone euro.
A la veille d'une réunion déterminante des ministres des Finances de l'Eurogroupe, l'ancien Premier ministre socialiste Georges Papandréou, qui avait été pourtant le premier à accepter en 2010 que son pays soit mis sous programme d'assistan...
A l'issue de la réunion à Bruxelles des chefs d'Etat et de gouvernement de l'Union européenne, le président de l'Eurogroupe, Jeroen Dijsselbloem, a laissé entendre qu'un compromis "technique" pourrait être atteint et qu'une réunion préparat...
Une annulation de la dette grecque serait beaucoup moins coûteuse pour la France qu'envisagé par nombre de commentateurs. par André Grjebine, directeur de recherche à Sciences Po, Centre d'Etudes et de Recherches Internationales
Les ministres des Finances de la zone euro ne renoncent pas pour autant à poursuivre les discussions en vue d'un accord. Yanis Varoufakis espère aboutir à un compromis à la prochaine réunion prévue lundi.
Européens et Grecs négocient avec une seule idée en tête : éviter le "Grexit". Mais qui a le plus à perdre d'un tel scénario ? Revue des conséquences pour les deux camps.
Regain de défiance des investisseurs sur la dette grecque alors que se tient aujourd'hui une réunion de l'eurogroupe où les ministres des finances de la zone euro qui vont tenter de trouver un compromis entre le gouvernement grec et ses cré...
Le nouveau Premier ministre a recueilli les voix des députés de son parti de gauche radicale, Syriza, ainsi que celles de son allié, les Grecs indépendants.
Il paraît difficile qu'un accord final soit conclu mercredi, lors de la réunion exceptionnelle de l'Eurogroupe, ou jeudi, à celle du Conseil européen. Mais un compromis pourrait être signé au tout début de la semaine prochaine, à l'occasion...
L'aversion au risque a grimpé d'un cran alors que le nouveau premier ministre grec Alexis Tsipras a déclaré qu'il n'accepterait pas une prolongation du programme d'aide, censé s'achever à la fin du mois. Le Dow Jones devrait céder 0,56%, à...
Le bras de fer qui oppose le gouvernement grec à l'Union européenne renforce les incertitudes ainsi que l'aversion pour le risque sur les marchés obligataires, comme en témoigne le taux d'emprunt de la Grèce qui se tend nettement ce matin p...
Le président du Parlement européen estime que la Grèce pourrait rendre compte directement à l'Union européenne et au FMI plutôt qu'à la troïka (Commission, BCE, FMI) .
Deux jours après le coup de force de la BCE, Athènes demande un financement-relais afin de disposer de plus de temps. Au même moment, Standard & Poors annonce la dégradation de la note souveraine de la Grèce de B à B-.
L'ultimatum de la Banque centrale européenne (BCE) remet la pression sur le gouvernement grec et consacre son rôle politique dans la crise grecque. Mais le jeu est très serré et très risqué, pour tous.
L'annulation d'une partie significative de la dette (ou, à tout le moins, sa transformation en rente perpétuelle) est la seule solution pour permettre au pays de se relever. par Gabriel Colletis, professeur, Université de Toulouse
Ce jeudi matin, le principal indice reculait de 5,66% vers 9 heures GMT (10 heures, en France) . Pourtant, mercredi soir, la Bourse avait refait le terrain perdu lors de la semaine suivant l'élection de Syriza.
La décision de la BCE, mercredi, de priver les banques grecques d'une de leurs sources de financement n'a "pas de répercussions négatives" sur le secteur financier du pays qui reste "totalement protégé" grâce aux autres canaux de liquidités...
Les solutions préconisées par le nouveau gouvernement grec sont de bon sens, et elles auraient dû être celles de l'Europe depuis longtemps : les politiques contra-cycliques sont évidemment celles qui réussissent. Elles auraient en outre pour...
La BCE a annoncé ce mercredi soir qu'elle cessait d'accepter les titres grecs comme collatéraux. Le système bancaire grec n'est désormais relié à la zone euro que par le programme d'accès à la liquidité d'urgence qui est soumis à un accord...
Berlin réclame l'abandon des promesses de campagne de Syriza. Athènes s'apprête à relever le salaire minimum. Les positions sont aux antipodes entre les deux capitales.
En dix jours, le nouveau gouvernement grec n'a pas fait qu'effrayer les marchés. Il a aussi remis en question un des fondements de l'UE : la supériorité de la "rationalité" économique sur le pouvoir démocratique.
Des experts au plus haut niveau estiment qu'un effacement de la dette grecque provoquerait nécessairement une hausse des impôts, notamment en France. Une affirmation erronée, liée au mythe d'un remboursement de la dette publique par les con...
Le ministre grec des Finances, Yanis Varoufakis, a présenté des projets pour alléger le poids de la dette de son pays et changer de logique. Les données de la question grecque sont désormais entièrement sur la table.
Le constat fait par Syriza ne relève pas de l'utopie millénariste ou du discours révolutionnaire mais du simple bon sens, au vu de la situation économique de la Grèce. par Alexandre Kateb*
Ils ont grimpé de 35,7% sur les mois qui ont suivi les mesures d'austérité renforcées prises en juin 2011. Un pic a été atteint en mai et juillet 2012, selon une équipe de chercheurs grecs et américains.
Chaque matin, l'actualité commentée par Marc Fiorentino...